jeudi 21 septembre 2017

L'avenir du travail... c'est trop dur, mais voler...

Il y a plein d'endroits dans le monde où les gens ont des vies de misère, à travailler comme des chiens.
Mais certaines sociétés ont besoin de se développer. Leurs rues ne sont pas pavées. Il n'y a pas de magasin. Ça pue.
Haïti, par exemple. Il y a des gens qu'ils l'ont, d'autres pas.
Pourquoi nous sommes-nous développés ici?
Nos ancêtres ont travaillé fort. Nous l'oublions parfois.
Conjugués au dynamisme commercial du monde anglo-saxon? Peut-être. Mais les Français ou les Espagnols, les Portugais et les Hollandais à une autre époque, étaient aussi industrieux.
D'après ceux qui considèrent le QI, les Européens n'ont pas le plus gros QI, pourtant ils ont presque tout inventé de ce qui fait le monde contemporain.
Les États-Unis, qui ont dominé le vingtième siècle, sont aussi une variante de l'Europe.
Il y a toujours deux côtés à une médaille. Malgré ses inconvénients, le capitalisme a amélioré la vie ordinaire. Il n'y a qu'à considérer le prolongement de la durée de la vie.
Il est si efficace qu'il produit une réserve de main-d'oeuvre.
On commence à penser au revenu universel (c'est en Norvège ou en Finlande qu'on a tenté l'expérience?). Le candidat Bernard Hamon a amené l'idée en France à la dernière élection présidentielle.
Chaque personne aurait 1000 dollars, disons, qu'elle travaille ou non.
Google (?) a fait l'expérience en Afrique. C'est peut-être la solution pour ne pas être submergé par le flot des migrants. Nous allons vous payer, mais, surtout, restez chez vous !

(Photo : fainéants qui jouent au soccer.)