mardi 9 juin 2020

Coup d'État militaire en Suède (fiction politique)

Après une série de viols particulièrement odieux qui avaient défrayés les manchettes et que les médias avaient essayé de cacher ou de minimiser, l'opinion publique suédoise s'était retournée.

Le citoyen suédois, souvent discret, silencieux, obéissant, était devenu sceptique sur la gouvernance du gouvernement socialo-féministe qui avait encore accepté un lot de réfugiés de ces pays du tiers-monde totalement incompatibles avec les mœurs et les valeurs occidentales ; les mœurs et les valeurs de tout pays normal en fait, de tout pays qui a à cœur la sécurité de ces citoyens et qui leur donne la première place.

La première ministre féministe, la blonde glaciale, lesbienne et sans enfant, s'était targué d'un discours contre le patriarcat qu'il fallait continuer à combattre quand un journaliste l'avait interrogé sur les viols à répétition.

Le pays socialo-féministe détenait le triste record du plus haut taux de viols en Europe et ce taux augmentait d'année en année. Les violeurs n'étaient jamais expulsés du pays après avoir purgé des sentences parfois ridicules où une juge gauchiste leur trouvait des circonstances atténuantes.

C'était sans parler des incivilités et des délits de toutes sortes qui sévissaient dans ces villes suédoises autrefois si calmes et sereines, presque ennuyeuses. Maintenant des hordes de jeunes hurlaient pendant la nuit. On entendait des explosions. Le trafic de drogues étaient à son apogée. On ne circulait plus dans ces quartiers. À Malmö, les Juifs avaient fui en Israël ou en Norvège. Les vieux qui le pouvaient prenaient leur retraite au Portugal.

Il advint que parmi la vague des récents viols plusieurs jeunes filles de haut gradés de l'armée suédoise avaient subi ce crime répugnant. La fille d'un général, entre autres, violée en bande, puis égorgée. Son corps nu avait été retrouvé dans une forêt. 

L'ambiance du mess était devenue lourde. 

Un soir, on passa le film "La Source", d'Ingmar Bergman, le grand cinéaste qui s'était pratiquement exilé de son pays, excédé par les impôts abusifs du gouvernement socialiste. Maintenant, ces impôts servaient à l'accueil du tiers-monde. On négligeait les vieux. Les retraites devenaient de plus en plus chiches, celle de l'armée en particulier, à qui on demandait des tâches subalternes comme d'aider les migrants à s'installer dans le pays en construisant des campements provisoires en attendant que les services sociaux payent et assurent aux néo-Suédois un train de vie qui les gardait dans le désœuvrement tout en leur donnant les aides pour que leur famille prospère et grossisse les fidèles d'Allah, le plus souvent.

Le général était entré dans le grand mess et le silence se fit pesant. Cependant, pris d'un élan de sympathie, tous les militaires s'étaient mis à applaudir. Le général, d'ordinaire si flegmatique, était ému, et avec un bref sourire avait remercié ces hommes et ces femmes qui n'avaient jamais été aussi prêts à tous les combats.

En parallèle, les incidents se multipliaient avec les migrants qu'on installait généreusement, mais qui trouvaient toujours à redire, se plaignant de la nourriture, des lits inconfortables, des horaires. Un soldat en vint aux mains avec l'un d'entre eux, puis un autre. Les migrants manquaient de respect aux femmes militaires.

Ce fut bientôt tout le bataillon qui refusa de continuer à être le bouffon des migrants. Quand la ministre des armées se présenta, elle ne montra aucune sympathie envers ses militaires et menaçait les indisciplinés de la cour martiale. Le général se montra solidaire de son armée. Quand il fut destitué, ce fut la goutte qui fit déborder le vase. Tous les militaires se solidarisèrent avec lui.

On en parla à Stockholm à l'Assemblée nationale. La ministre des armées fut applaudie une dernière fois... avant l'entrée du bataillon dans l'hémicycle parlementaire. 

Le général exigea de la première ministre qu'on lui donne l'accès à toutes les chaînes de télévision et il annonça que l'armée prenait le pouvoir. La colère qui sourdait silencieusement chez tous les Suédois qui avaient encore la raison trouva enfin une oreille attentive.

L'Union européenne était médusée. Cependant l'opinion publique en France, en Angleterre, aux Pays-Bas, comprenait et établissait des parallèles avec la situation de leur pays respectif.

En Suède, bizarrement ou pas, les banlieues immigrantes devinrent soudainement très calmes. La chienlit était terminée.

Il n'y eut aucune ratonnade punitive, juste une expulsion systématique des immigrants des dix dernières années, la fermeture des frontières, interdiction des religions exogènes, la fin des programmes sociaux offerts aux étrangers, la fin de l'accueil des réfugiés.

On offrit l'exil à la première ministre. Certaines ministres finirent en prison.

C'est ainsi que la Suède redevint la Suède. Puis ce fut la France. Après une série d'attentats islamistes tout aussi salauds les uns que les autres, une mini guerre civile avait éclaté, puis l'armée et ;la police se rangèrent du côté des citoyens (pour une fois). Les pays du Maghreb furent forcés de rapatrier leurs compatriotes qui se retrouvèrent enfin dans leur culture d'origine.

L'Europe redevint peu à peu l'Europe, c'est-à-dire le phare de la civilisation et du bien-être de vivre.







  


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