mardi 9 juin 2020

Séparons-nous de Montréal !

Il le faudra un jour.

Pour que le Québec soit ancré pour toujours au Canada, le gouvernement fédéral a attaché au Québec le boulet rouge.ca de l'immigration de remplacement qui a envahi Montréal et continue de l'envahir de toutes les façon et même de façon illégale puisque les faux réfugiés du chemin Roxham franchissent illégalement la frontière avec la bénédiction du gouvernement Trudeau et la stupidité gauchiste de la mairie de Montréal qui est devenue "ville sanctuaire" depuis le mandat de Denis Coderre, autre fédéraste inconditionnel prêt à vendre son peuple, comme le fait présentement la jovialiste Valérie Plante qui, à tous les conseils de ville, cède le territoire aux Mohawks, ces grands amis du Québec.

Il y a un mot pour cela : c'est de la traîtrise. Mais les Québécois connaissent bien le phénomène car ils ont presque toujours été trahis par les leurs : Papineau, Laurier, Trudeau père et fils, Couillard, Coderre, Plante, etc. Tous ces "French-Pea-Soups" de service ont fait et font le sale boulot au nom des maîtres invisibles qui contrôlent le Canada, comme dans tous les pays occidentaux, une élite financière apatride qui se reproduit entre elle, se coopte, s'élit, se félicite et se rencontre parfois dans des réunions plus ou moins secrètes auxquelles le citoyen moyen ne sera jamais invité, s'il sait qu'elles ont lieu, je pense aux réunions du Bildeberg qui tire les ficelles loin de nos gardiens de la démocratie, les journalistes (j'ironise ici).

Si vous êtes souverainistes, il faudra bien vous y résoudre un jour:  cette belle ville de Montréal qui était si vibrante dans les années soixante quand les Québécois ont pris leur envol n'est plus une ville québécoise. Les francophones y sont devenus minoritaires. Ils ont fui instinctivement vers les banlieues au sud, au nord, Dieu sait pour quelles raisons, diverses.

Montréal, c'est fini. À quoi bon essayez de convaincre cette masse épaisse du bien-fondé de la souveraineté? Ce sont des gens qui ont déjà deux nationalités: celle de leur pays d'origine auquel ils gardent une fidélité indélogeable et la citoyenneté de papier que donne le Canada... à tout le monde en fait ! Il suffit de franchir la frontière et vous voilà assurés de vivre une année aux frais des contribuables canadiens! Ensuite, vous serez de fidèles électeurs fédéralistes. Vous serez contre la loi 101, contre la loi sur la laïcité, contre la souveraineté du Québec, bien sûr, bref vous serez un anti-Québécois systématique et vous défilerez dans les rues de Montréal et de Québec avec des pancartes écrites de slogans anglophones où vous accuserez les Québécois (les Blancs vraiment) de racisme systémique, de xénophobie, d'islamophobie, etc.

Les souverainistes doivent réaliser une chose, s'ils veulent la souveraineté, il faudra se départir d'une partie du Québec : Montréal, peut-être Laval... peut-être le sud-ouest du Québec, parce que la québécitude de l'Outaouais n'est pas très grande, Sherbrooke, les territoires Mohawks, Algonquins, etc. Sans doute aussi qu'il faudra s'entendre avec les Autochtones qui n'ont jamais été sympathiques à la souveraineté du Québec et leur céder une partie du territoire dans le Nord.

Il restera ce qui restera. Il y aura des ententes pour le maintien des lignes d'Hydro-Québec, pour les droits de passage,etc. 

Il restera assez de territoire pour exploiter ce qu'il y a à exploiter. De toute façon, chaque projet d'envergure de nos jours rencontre inévitablement l'opposition de groupes gauchistes ou écologistes ou amérindiens.
Est-il possible de faire quoi que ce soit dans le Québec actuel ? Je vous le demande !

Donc tous les gauchistes resteront à Montréal avec tous les pseudo-traîtres de tout acabit. Je ne parierais pas fort sur la survie du français dans un Montréal séparé du Québec ! La petite élite médiatique du Plateau va soudainement se sentir très seule loin de cette fausse appartenance qu'elle maintient avec le reste du Québec et qu'elle traite de haut.

On ne vous réservera pas le sort peu enviable des fermiers Blancs de l'Afrique du Sud ou des colonisateurs d'Haïti, mais ce sera tout comme, vous deviendrez des marginaux, et vos beaux discours sur le vivre-ensemble frapperont le mur de la réalité.

Vive le Québec libre ! 






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