dimanche 26 mars 2017

Pourquoi le Québec "bashing"?

Pourquoi le Québec "bashing"?

En deux mots : parce que nous sommes Blancs et que nous parlons français.

Et même pas le bon français ! Ce que nos contempteurs vont aussi nous reprocher. Évidemment, si nous parlions le français de France, ils nous 
détesteraient tout autant. Il en faut peu aux États-Unis pour que les Américains se laissent aller à leur détestation de la France ( en parallèle avec un certain respect), allant même jusqu'à boycotter les "french fries".
 
Quand il existe une différence, la plus minime des différences, celle-ci sera une source de conflits et même de guerres.
C'est vieux comme le monde. Peut-être même est-ce universel?
Par exemple, qu'est-ce qui différencie les Hutus et les Tutsis et qui a mené à ces tueries génocidaires?
On le cherche encore.
Tout le monde déteste tout le monde. La civilisation essaie de contenir la chose.

Pour revenir au cas du Québec, ne vous faites plus d'illusions. Cessez de vous émouvoir! Pourquoi voulez-vous que le Canada anglais aime le Québec? Le Canada ne l'a jamais fait et tout sera un prétexte pour alimenter cette haine plus ou moins contenue.
La Nouvelle-France a été conquise: le reste en découle. Le Québec devait rester à sa place : inférieure.

Sautons quelques siècles...
Dans les années soixante, Le Canada n'a pas encaissé le désir des Québécois de vouloir l'indépendance.
What Quebec wants? répétait-il.
 
Victoire du PQ en 1976 et insulte suprême à la langue des maîtres : la loi 101. 

Plus tard, la crise d'Oka leur a donné une autre raison de nous détester. D'ailleurs, depuis cet épisode, la cause des Amérindiens n'a jamais autant 
rencontré de sympathie au Canada anglais. (Mais qu'attendaient-ils pour s'occuper de leurs bons "Indiens"?)

Notre ambiguïté compose le parfait mélange pour permettre aux autres d'exprimer les sentiments les moins avoués chez l'être humain : majoritairement Blancs, une minorité mais qui est aussi une majorité. 
Donc, nous détester ce n'est pas comme si on cassait du sucre sur le dos des Noirs, ou des Juifs, ou des Arabes ;  victimes, pendant un temps, quand nous étions la minorité francophone conquise, nous sommes devenus bourreaux des minorités au fur et à mesure que nous prenions le contrôle de notre destin.

Et, surtout, il y a cette langue. Comment peut-on ne pas parler anglais? Speak White ! La langue des civilisés, des aristocrates. Cet étrange sentiment, que l'on devine chez certains anglophones, que quelque chose ne va pas avec quelqu'un qui parle une autre langue : peut-être que ces primitifs sont moins intelligents?  

De notre côté, paradoxalement, plus l'indépendance s'éloigne, plus les Québécois deviennent sensibles et susceptibles. Trop. 
Un Français qui n'aime pas leur accent et les voilà montés sur leurs grands chevaux! C'est la réaction de personnes qui ne sont pas sûrs d'elles-mêmes et qui cherchent l'approbation. 
Jouer à la victime n'est pas la bonne stratégie. 
Quand on sait qui on est, on ne cherche pas l'amour inconditionnel des autres. On apprécie d'être aimés, d'être appréciés; sinon, cela ne change pas notre estime de soi.

Et puis la liberté d'expression existe aussi pour nos ennemis. Savoir à qui on a affaire est une bonne chose. Il faut préférer un franc adversaire à un 
hypocrite flatteur.

Enfin, tout n'est pas du Québec "bashing". On peut commenter sur le Québec, sur ses défauts, sur ses qualités. Après tout, on le fait nous-mêmes.
L'essayiste, Jean Larose, n'est pas complaisant avec ce qu'est devenu le Québec.
"Le Québec n'existe pas", telle est le titre d'un roman qui fait un bilan mitigé de l'expérience québécoise. De la même façon, Éric Zemmour écrit sur la 
"Mélancolie française" et sur le "Suicide..." de la société française.

Tout ça pour écrire que le tollé concernant l'article d'Andrew Potter dans le magazine Maclean's m'a semblé exagéré. Il soulevait quelques bons points 
sur l'éclatement sociétal de la société québécoise post-référendums...

La détestation du Québec ne va pas cesser... comme la détestation des Américains, des Cubains, des Français.

Il n'y a pas d'amour sans haine. Y a-t-il de la haine sans amour?


 

dimanche 19 mars 2017

Lili B. et Impressions de la jeune femme québécoise

"Sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur; ... il n'y a que les petits hommes, qui redoutent les petits écrits."
Pierre Augustin Caron de Beaumarchais , Le mariage de Figaro (1784), V, 3.

Lili Boisvert, charmante jeune femme qui vit dans un monde parallèle, entre Judith Lussier et Rafaële Germain, entre Léa Clermont-Dion et Coeur de Pirate.

Elle est libre, elle est jeune, belle, ingénue, un peu baveuse ;  elle se promène seins nus : elle vous emmerde.

Là où Carole Laure était troublante et sensuelle, Lili est naturelle et a le sexe relaxe.
Ben quoi !
Il n'y a rien là !

En effet, il n'y a plus rien là! Même pas l'ombre d'un désir inavoué, d'une émotion érotique.
Vive le sexe hygiénique!
Comme les nudistes, si puritains au fond.

Lili vit dans un monde parallèle entre une rue du Plateau... et la rue du Plateau! On ne te conseille pas, belle Lili, d'aller dans certains quartiers!
Lili a quarante ans de retard : les trois années entre "Deux Femmes en Or" de Claude Fournier, 1970, et "La Mort d'un bûcheron" de Gilles Carle, 1973.
Le Québec d'aujourd'hui est aux antipodes du libertinage (et si vous avez croisé une "mosselime" qui porte des lunettes et un hidjab, vous savez ce que je veux dire).
C'est dommage.

Comme cela eût été bien. Un érotisme post-féministe où on jouerait de notre corps en toute liberté.
Un jour, je te montre ma petite culotte, mais aille! ne t'y crois pas là!
Le lendemain, un topo sur le harcèlement sexuel pour bien garder les choses en mains (façon de parler!).
Mot-clic : je te rajoute une couche de culpabilité, mon cochon!
Tu banderas quand j'en aurai envie!

Et pis, la beauté, c'est quoi au fond? Une construction sociétale liée aux critères dictées par eux, là! Les méchants! qui n'acceptent pas la vraie femme, la femme plurielle et multiple, si changeante.
La femme de la pub, la femme du quotidien, plus ordinaire qu'ordinaire à force de censure. La grosse rigolote (tu as ton permis de camion?). Surtout pas celle de Trivago!

Ben, ça fait partie du jeu! Si tu veux être avec moi, tu vas t'adapter.
T'as rien compris au féminisme, toi!
T'as pas lu le Manifeste de la Classe?

Endure! et tu auras en retour.
Peut-être même que tu deviendras un tatouage... quand je te laisserai.
Ces fichus tatouages qu'elles en ont toutes!

(Peintures d'après Corno)



samedi 18 mars 2017

Politique Fiction: La Possibilité d'une île Québec

(J'imagine un Québec où les souverainistes auraient perdu tout espoir de créer un pays sur le territoire actuel du Québec. Dans la conjecture actuelle, est-ce vraiment plus utopique de concevoir une création "ex-territorial"?)


Tout se délitait, Tout éclatait. Tout foutait le camp. Il n'y avait plus de centre pour tenir ce non-pays. Les citoyens s'identifiaient à ce qui leur semblait le plus immédiat : la famille, la race, la religion, le dépanneur, le club de hockey Canadien, le quartier, la ville.

Les Québécois étaient toujours les plus pauvres du Canada, des citoyens de troisième catégorie, les dindons de la farce canadienne.
Qui étaient-ils au fond? Juste des immigrants de la première heure qui avaient volé la terre sacrée des Autochtones, leur disaient les immigrants et les réfugiés qui venaient de descendre de l'avion. De plus, ils n'avaient ni plus ni moins de droits que les immigrants et les réfugiés... qui venaient de descendre de l'avion... plutôt moins en fait parce qu'ils ne demandaient pas de prier pendant le travail. Le vote massif des minorités pour les fédérastes les neutralisait politiquement. Les minorités ethniques avait le pouvoir comme dans les dictatures.

Justement, après la victoire attendue des libérastes fédérastes en 2018, les souverainistes déçus se demandaient que faire de leur espoir de vivre un jour dans le pays Québec?

Souverainistes québécois, éternels perdants ; l'Êtres Québécois : pire qu'être Juifs (quand ils étaient ostracisés dans les sociétés où ils vivaient), non pas, bien sûr, dans le sens qu'ils auraient connu les pogroms, les camps de la mort, même s'ils avaient connu leur lot d'événements historiques déconstructeurs; mais dans le sens de peuple qui disparaissait dans l'indifférence quasi générale et sans alliés.

Nous, souverainistes, envions l'État des Hébreux, même s'ils le payaient cher (mur, militaires, attentats).
Nous ne pouvions faire notre alya. Il n'y avait pas de seconde maison pour nous, Québécois. Nous n'avons pas la double nationalité comme tous ces immigrants que les fédérastes chérissaient.
Notre seul maison était le Québec.
Toute révolte eut été inutile. La singularité du projet souverainiste québécois était d'être restée dans un cadre démocratique. On ne libérerait pas une majorité contre son gré.

Montréal, ville sanctuaire du vivre-ensemble (ironie), était devenue un territoire bilingue d'immigrants, la population ayant été remplacée à coup de cinquante mille par an à laquelle s'ajoutait de nombreux réfugiés venus d'on ne sait où; et la ville de Québec, ville qu'on jugeait trop "blanche",
prenait le même chemin.

La secte des auditeurs des radios de Québec étaient trop occupés à avancer son projet de nouveaux convertis de la droite, libertarien, la dernière version américaine d'un projet politique pour nos colonisés, nos émules d'Elvis Gratton, trop occupés donc pour comprendre que même la ville de Québec allait subir le même destin que Montréal.
Leur aversion pour le Québec s'exprimait par le rejet du PQ, du nationalisme.
André et Jeff, faux jumeaux d'antenne, vraies grandes gueules narcissiques, allaient régner longtemps sur ce village endormi.
Ces Québécois de souche étaient encore plus à blâmer que les habitants de Montréal pour le dénigrement inconscient d'eux-mêmes et de leur Histoire, leur absence de gratitude envers leurs ancêtres et leur manque de solidarité avec leurs compatriotes.

Que resterait-il de nous dans vingt ans, dans cinquante ans?

À force de reculer pour mieux sauter, l’obstacle s'était métamorphosé en montagne , et nous avions rebroussé chemin sans reconnaître la direction qui nous avait menés ici.

Les choses avaient mal commencé de finir quand les Yvettes avaient voté  en 1980 contre la souveraineté, dans le dos de leurs hommes.

Puis la Constitution de 1982, le multiculturalisme, ses politiques illimitées favorisant l'immigration, son projet post-national, ses cinquante Nations tribales. Date marquante du début de la fin quand a été créé, un fait accompli comme aurait pu dire de Gaulle,  la terre sacrée de la crise d'Oka. Une
zone de non-droit qui signifiait que le territoire québécois ne nous appartenait plus tout à fait.

Le Liban deux point zéro se poursuivait. Nous ne l'avions pas réalisé à l'époque.
Depuis, les Innus revendiquaient l'Île d'Anticosti. La Cour Suprême pencherait probablement en leur faveur.

Développer quoi que ce soit qui impliquait le territoire semblait une tâche ardue. Il fallait parlementer, entre écolos, gauchos et citoyens de tous côtés, une paix des Braves qui était en réalité la soumission des pleutres.

Par conséquent, nous avions choisi un autre territoire (l'île d'Anticosti aurait été l'idéal) pour abriter ce qui restait de la nationalité québécoise, patrimoine génético-historique qui en valait bien un autre.

Nous avons donc acheté cette île avec les parts du million de souverainistes qui ont donné cent dollars chaque année pendant cinq ans, puis une partie de riches donateurs souverainistes ont gonflé les fonts baptismaux (dont le fameux PKP).

C'est ainsi qu'est née l'Île du Québec en 2023!

Une île vierge et ensoleillée pour reprendre la route abruptement interrompue en 1980.

Les actionnaires ont obtenu la double nationalité et ils font le va-et-vient, le temps de parachever le projet sioniste québécois.

Quand les Québécois de l'île retournent à Montréal, ils ont peur. Ils se sentent des étrangers dans l'ancienne ville francophone. Ils constatent sans surprise que le maire joue toujours le rôle de "french pea soup" de service, comme le premier ministre qui fait croire à l'unité du Québec et que "nous
sommes tous des Québécois".

Ici, le tourisme est florissant. La construction des premières habitations ont donné du travail à beaucoup de Québécois et de Québécoises.
Qui sait, un jour nous nous ennuierons de nos hivers...
Mais pour l'instant tout va bien.

La direction est commune. Les Québécois votant par ordinateur sur les grandes orientations. Il n'y a pas encore de Constitution, ni de palabres à ne plus finir sur une "Constituante".

Immigration : interdite sauf pour les mariages.
Politique nataliste: trois enfants pour toucher le gros lot des allocations.
Religion : islam interdit. Pratique privée pour les autres religions.
Écologie : oui, mais sans idéologie.












vendredi 17 mars 2017

Pépère de Gaulle n'avait pas la langue dans sa poche !

Citations rapportées par Alain Peyrefitte
« C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns.
Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France . Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne.

Qu’on ne se raconte pas d’histoire ! Les musulmans, vous êtes allés les voir ? Vous les avez regardés avec leurs turbans et leurs djellabas ? Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français. Ceux qui prônent l’intégration ont une cervelle de colibri, même s’ils sont très savants. Essayez d’intégrer de l’huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d’un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront vingt millions et après-demain quarante ? Si nous faisions l’intégration, si tous les Arabes et les Berbères d’Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherez-vous de venir s’installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ? Mon village ne s’appellerait plus Colombey-les-Deux-Églises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées..
CHARLES DE GAULLE

lundi 13 mars 2017

Les Quatre Québec

Combien y a-t-il de forces qui divisent notre Québec?

1) Celle qui domine depuis 1982 est celle du Canada multiculturaliste. Elle influence l'économie, l'éducation ; elle cherche à diviser le Québec pour mieux régner ; elle noie le noyau originel des Québécois de souche par l'immigration massive. Ce plan fonctionne dans la grande région de Montréal où les francophones sont ou seront minoritaires d'ici peu.

2) L'autre force est celle des forces souverainistes. Ils adhèrent ou non au parti Québécois, votent pour le Bloc. Ils sont concentrés au nord de Montréal et dans le Nord-Est du Québec. (Les zones en bleu pâle sur la photo ci-dessus.)

3) Les identitaires de droite dont l'identité se ramène à être de droite. Ils sont concentrés dans la ville de Québec. Vont sûrement voter pour la CAQ. Ils ont voulu remplacer le débat souverainisme / fédéralisme par la dualité droite/gauche. Voudraient en finir avec le modèle québécois, avec eux-mêmes en fait? Colonisés qui s'ignorent, ils se voient en Américains du Nord. Cependant le débat sur la laïcité les rattrape, titille leur racine, et leur fait sentir qu'ils ne sont pas des multiculturalistes.

4) Une force que l'on néglige souvent parce qu'elle ne représente qu'un petit pourcentage de la population, les Autochtones. La Constitution de 1982 leur a donné le statut pompeux de "Nations", sans qu'il y ait de débat sur la pertinence de leur donner une telle importance (le parti Québécois les
avait déjà reconnus comme nations). Avait-on mesuré ce que cela signifie? Cinquante nations dans une nation. On aurait tort de ne pas prendre au sérieux le découpage territorial que cela représente. Le territoire Mohawks est déjà une zone de non-droit.

On sent que les forces du multiculturalisme et celle des souverainistes continuent leur lutte.
Comme le disait Pierre Falardeau, les peuples comme les empires peuvent mourir, mais ils le font lentement. L'agonie est longue. Se résigner serait une forme de suicide, mais quand cette lutte deviendra-t-elle inutile? En 2018?



samedi 11 mars 2017

Le petit vernis de la civilisation

J'imagine une situation où il y aurait une grève des plombiers. En quelque temps, manque d'eau, manque d'hygiène, les toilettes bouchées. Une odeur pestilentielle se répand dans les villes. Des maladies contagieuses se développent à grande vitesse. Bientôt, il y a des morts.
Les gouvernements pris au dépourvu, ils le sont toujours!
Saurions-nous rester grands? Ou deviendrons-nous cette bête, cet animal qui ne pense qu'à sa survie quotidienne, accessoirement, à celle de ses proches?
C'est "La Peste" de Camus. Ou Martin Gray qui a connu l'enfer du ghetto de Varsovie (pages ci-dessous).






dimanche 5 mars 2017

ABBA proteste contre l'immigration...


ABBA proteste contre l'immigration qui détruit la Suède... Mais non ! ils sont trop conditionnés par le socialisme pour sortir du rang.

"Money, money,money / must be funny / in a rich man world." Abba.
Je regardais un documentaire sur Abba sur YouTube. La blonde a 67 ans, et j'imagine que les autres ont environ le même âge.
La brune vit en Suisse... où elle doit payer moins d'impôts. Elle était Norvégienne d'origine, je crois.
Et que pensent-ils de la Suède envahie par l'immigration?
Un suicide social. Comme au Québec, comme en France, en Allemagne, en Angleterre. Les pays occidentaux sont devenus fous. dirigés par des élites mondialistes.
Quand on habite les beaux quartiers, qu'on envoie ses enfants à l'école privée, on ne vit pas vraiment le choc culturel que crée cette cohabitation forcée. C'est facile de se montrer ouvert en théorie, protégé par une grille en fer forgée, quand ce n'est pas des gardes du corps armés.
Le taux de viol dans la Suède socialo-féministe : le deuxième en importance après l'Afrique du Sud. Stockholm, la capitale du viol en Europe. Le monde est devenu dingue !


samedi 4 mars 2017

Un violeur ordinaire

https://www.youtube.com/watch?v=Yi4VQvt51KM

Le journaliste de Rebel Media, Ezra Levant, se demande pourquoi ce "fait divers" (voir le vidéo) n'a pas fait les manchettes d'un océan à l'autre, comme les crimes de Paul Bernardo. Les actions reprochées à ce triste individu sont plus étendues que celles de Bernardo, sauf le meurtre
évidemment : dix filles, dont une qui était mineure, ont été violées et ont subi du chantage, de l'extorsion.

Pourquoi est-ce qu'il n'y a pas eu une hystérie de mots-clés (hashtags), comme celle qui a accompagné l'histoire de Jian Ghomeshi ?

Pourquoi cette affaire n'a pas occupé les médias pendant des semaines?

On sait bien pourquoi.

C'est parce que le coupable est issu d'une minorité, parce qu'il est immigrant, et que le militantisme à la sauce multiculturaliste et celui du féminisme s'arrêtent quand il s'agit de remettre en question la vache sacrée idéologique de nos sociétés devenues folles, c'est-à-dire la célébration béate du "vivre-ensemble" et de la diversité.

On n'a même pas besoin de mettre en lumière la culture de cet individu pour ne pas stigmatiser toute une communauté. Cependant tout sociologue ne pourrait pas se permettre d'ignorer la culture d'origine de cet individu et le rôle qu’elle a joué dans ces crimes. Oui, il y a une culture du viol, mais elle n'est peut-être pas sur le campus des universités occidentales...

Walid Mustafa Chalhoub a écopé de onze ans de prison, mais il pourrait sortir dans quelques années. Va-t-il être déporté? Ce serait douteux, surtout si le frère de Justin Trudeau ou un autre avocat complaisant plaide sa cause auprès des tribunaux.

Ce sera juste un individu de plus qui va s'ajouter à nos proxénètes montréalais, à nos gangs de rue, aux violeurs et aux criminels de tout acabit qui gonflent les statistiques de la police.

Cela me paraît de plus en plus évident que le Québec va se transformer en Suède si les choses évoluent de la même façon : immigration de masse incontrôlée, cultures importées incompatibles avec l'Occident, complaisance des gouvernements multiculturalistes, idéologies relativistes de la gauche sociétale, médias bien-pensants et journalistes censeurs.

Les mêmes causes produisent les mêmes effets. Le Québec ne sera pas l'exception qui confirme la règle.