Il y a dix ou quinze ans, nous ne connaissions pas grand-chose à l'islam.
Nous avions des préjugés.
Maintenant que nous le connaissons davantage, nous pouvons confirmer tous nos préjugés : c'est vraiment une idéologie totalitaire, mortifère, dangereuse pour la démocratie et pour la sécurité de tous les pays qui ont le malheur d'avoir comme citoyens un certain pourcentage de ses dévots fanatisés.
samedi 29 octobre 2016
jeudi 27 octobre 2016
Quelques réflexions sur la "culture du viol"
Spontanément, cette expression me semble être un abus de langage. Encore un concept du lobby subventionné, ou non, des féministes pour culpabiliser tous les hommes, les fixer dans une sorte de stupeur conceptuelle, en les assommant de statistiques que personne ne vérifie, et que l'on gonfle à volonté : une femme sur deux, blablabla.
Mais en y réfléchissant, que pourrait-on appeler la culture du viol?
1) Je pense à la guerre. C'est un comportement vieux comme le monde. La guerre suspend les règles de la civilisation et la barbarie autorise les pires comportements.
Déjà les Amérindiens se faisaient la guerre, prenaient des esclaves. Avant et après eux, toutes les armées du monde. Encore dernièrement les troupes de l'ONU...
2) Dans les prisons que je n'ai jamais eu le loisir de connaître (Dieu merci!). On dit que c'est un comportement assez répandu. Vrai? Faux? Dans quelle proportion?
3) Les agressions collectives qu'on a vues à Cologne et en Égypte pendant le printemps arabe : taharrush ginsy ou taharoch gensi5 (تحرّش جنسي taḥarruš ǧinsī « harcèlement sexuel ») ou taharrush gamea.
Je vous réfère à l'article de Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Agression_sexuelle_de_masse
4) Alex Jones dénonçait Michele Obama qui a invité des rappeurs qui, dans leurs paroles, mentionnent la drogue que l'on glisse dans le verre d'une femme pour ensuite pouvoir abuser d'elle.
5) Les proxénètes de Montréal et d'ailleurs, souvent membres des gangs de rue, qui séduisent nos jeunes femmes pour ensuite les exploiter comme prostituées.
Bref, ce sont tous des comportement que l'homme civilisé déplore et qui n'appartiennent pas à la normalité, qui ne l'ont jamais été. Le viol a toujours été sévèrement puni (faites des recherches) et il l'était encore plus autrefois quand on infligeait des punitions corporelles.
Le féminisme occidental a une cible : l'homme occidental, plus précisément le Blanc, de tradition catholique. Son marxisme culturel ne lui permet pas de dénoncer les agressions quand elles sont faites par une personne qui appartient à une minorité.
On le voit en Suède. On l'a vu en Allemagne.
C'est sans doute pourquoi les hommes occidentaux, qui se sentent depuis quelques années sur la défensive, ne vont pas adhérer en masse à cette dernière indignation conceptuelle de l'idéologie féministe. Quel père encouragerait son fils à violer une femme? C'est dans ce sens que ce concept de "culture du viol" est absurde.
Il y a sans doute des zones grises, mais une approche idéologique ne me paraît pas la meilleure façon d'aborder ce problème.
Pour plus d'infos, avec des statistiques à l'appui, on peut écouter (si vous avez le temps et la patience) Stefan Molyneux qui fait le tour de la
question et examine tous les cas de figure qu'on oublie parfois, comme les lesbiennes qui agressent d'autres lesbiennes : https://www.youtube.com/watch?v=k9s5H-RNjxY
Mais en y réfléchissant, que pourrait-on appeler la culture du viol?
1) Je pense à la guerre. C'est un comportement vieux comme le monde. La guerre suspend les règles de la civilisation et la barbarie autorise les pires comportements.
Déjà les Amérindiens se faisaient la guerre, prenaient des esclaves. Avant et après eux, toutes les armées du monde. Encore dernièrement les troupes de l'ONU...
2) Dans les prisons que je n'ai jamais eu le loisir de connaître (Dieu merci!). On dit que c'est un comportement assez répandu. Vrai? Faux? Dans quelle proportion?
3) Les agressions collectives qu'on a vues à Cologne et en Égypte pendant le printemps arabe : taharrush ginsy ou taharoch gensi5 (تحرّش جنسي taḥarruš ǧinsī « harcèlement sexuel ») ou taharrush gamea.
Je vous réfère à l'article de Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Agression_sexuelle_de_masse
4) Alex Jones dénonçait Michele Obama qui a invité des rappeurs qui, dans leurs paroles, mentionnent la drogue que l'on glisse dans le verre d'une femme pour ensuite pouvoir abuser d'elle.
5) Les proxénètes de Montréal et d'ailleurs, souvent membres des gangs de rue, qui séduisent nos jeunes femmes pour ensuite les exploiter comme prostituées.
Bref, ce sont tous des comportement que l'homme civilisé déplore et qui n'appartiennent pas à la normalité, qui ne l'ont jamais été. Le viol a toujours été sévèrement puni (faites des recherches) et il l'était encore plus autrefois quand on infligeait des punitions corporelles.
Le féminisme occidental a une cible : l'homme occidental, plus précisément le Blanc, de tradition catholique. Son marxisme culturel ne lui permet pas de dénoncer les agressions quand elles sont faites par une personne qui appartient à une minorité.
On le voit en Suède. On l'a vu en Allemagne.
C'est sans doute pourquoi les hommes occidentaux, qui se sentent depuis quelques années sur la défensive, ne vont pas adhérer en masse à cette dernière indignation conceptuelle de l'idéologie féministe. Quel père encouragerait son fils à violer une femme? C'est dans ce sens que ce concept de "culture du viol" est absurde.
Il y a sans doute des zones grises, mais une approche idéologique ne me paraît pas la meilleure façon d'aborder ce problème.
Pour plus d'infos, avec des statistiques à l'appui, on peut écouter (si vous avez le temps et la patience) Stefan Molyneux qui fait le tour de la
question et examine tous les cas de figure qu'on oublie parfois, comme les lesbiennes qui agressent d'autres lesbiennes : https://www.youtube.com/watch?v=k9s5H-RNjxY
mardi 25 octobre 2016
Vivent les petits pays: "Small is beautiful"
Comme tous les peuples, les Québécois ont des qualités et des défauts.
Quand leurs ancêtres sont arrivés dans les Amériques, ils n'ont pas massacré les populations indigènes.
Évidemment, ils se sont défendus quand ils ont été attaqués.
En général, les Québécois sont pacifiques.
Une des plus grosse manif contre la guerre d'Irak a eu lieu au Québec.
Nous avons l'avantage des petits pays.
Small est beautiful!
Plus un pays est gros, plus il cherche à s'étendre et à chercher à devenir un empire.
Il est obligé de devenir centralisateur pour contrôler et maintenir l'unité de sa périphérie
qui l'amène à l'éclatement.
Un des arguments de l'immigration est la démocratie.
Il faudrait devenir toujours devenir plus gros ou maintenir sa population à un certain niveau.
C'est une idée empruntée au capitalisme où les prix augmentent et augmentent.
Je ne suis pas anti-capitaliste (quoique c'est un système non rationnel), mais sa tendance inflationniste
n'est pas son meilleur aspect.
Bref, l'idéal serait que le monde soit composé de petits pays qui conservent une dimension humaine.
Quand leurs ancêtres sont arrivés dans les Amériques, ils n'ont pas massacré les populations indigènes.
Évidemment, ils se sont défendus quand ils ont été attaqués.
En général, les Québécois sont pacifiques.
Une des plus grosse manif contre la guerre d'Irak a eu lieu au Québec.
Nous avons l'avantage des petits pays.
Small est beautiful!
Plus un pays est gros, plus il cherche à s'étendre et à chercher à devenir un empire.
Il est obligé de devenir centralisateur pour contrôler et maintenir l'unité de sa périphérie
qui l'amène à l'éclatement.
Un des arguments de l'immigration est la démocratie.
Il faudrait devenir toujours devenir plus gros ou maintenir sa population à un certain niveau.
C'est une idée empruntée au capitalisme où les prix augmentent et augmentent.
Je ne suis pas anti-capitaliste (quoique c'est un système non rationnel), mais sa tendance inflationniste
n'est pas son meilleur aspect.
Bref, l'idéal serait que le monde soit composé de petits pays qui conservent une dimension humaine.
lundi 24 octobre 2016
MGTOW, Safe Space et Social Justice Warriors : définitions d'expressions du monde anglo-saxon
- MGTOW est l'acronyme de Men Going Their Own Way ( plus communément abrégé, prononcé ( / m ɪ ɡ t aʊ / )) est un individu qui croit que les imbroglios juridiques et romantiques avec les femmes ne résistent pas à une analyse coûts-avantages et risques-avantages.
Pour en savoir plus, les vidéos de Sandman sur YouTube permettent de comprendre cette attitude? cette philosophie? (Sandman refuse le terme "communauté MGTOW") qui est en réaction à la féminisation de la société surtout en Amérique du Nord, et dans tous les pays qui vivent, plus ou moins, sous le même joug idéologique.
- Un Safe Space est un endroit où tout le monde peut se détendre et être en mesure d'exprimer pleinement, sans crainte sans la peur de se sentir mal à l'aise, à cause de remarques importunes ou dangereuses, en raison de leur sexe biologique, de leur race / ethnicité, de leur orientation sexuelle, de leur identité sexuelle, de leur appartenance religieuse, de leur âge ou de leur capacité physique ou mentale. Un endroit où les règles permettent le respect de soi et la dignité de chaque personne et encouragent fortement tout le monde à respecter les autres.
Une traduction neutre. le Safe Space est une réaction hystérique à la moindre critique que les Social Justice Warriors, individus qui défendent toutes les minorités par rectitude politique, affirment ressentir quand leur petit monde idéal est remis en cause.
dimanche 23 octobre 2016
Les limites du cosmopolitisme (sketch)
Première "diversité":
- D'où venez-vous?...
- Ah! Intéressant, racontez... ;
Deuxième "diversité":
- Vous venez d'où?
- Ah, bon. C'est le fun... ;
Cinquante millième "diversité" :
- Allez, on se dépêche, on remplit les formulaires...
La civilisation occidentale aura vécu de belles années
Twitter : "Hier, des centaines de musulmans ont prié devant le Colisée de Rome pour réclamer l'ouverture de nouvelles mosquées."
Les invasions barbares. L'Europe, à cause de la folle à Merkel, à cause des dirigeants de divers pays comme la Suède, des libéraux de droite et des gauchistes humanitaires qui se fichent du sentiment national, va perdre son unité.
Cela peut finir en guerre civile. C'est peut-être inévitable.
Déjà les policiers français sonnent la fin de la récréation. Les prochaines racailles qui essaient de les tuer en lançant des cocktails Molotov vont le payer de leur vie.
Contrairement aux policiers américains, ceux de France n'utilisent pas leur arme ou alors exceptionnellement. Ils demandent au gouvernement la permission de le faire mais, un jour, ils le feront sans demander.
Habituellement, notre sympathie pour les policiers est variable. Si ça se trouve, un jour, ce sera nous, les simples citoyens qui deviendront les policiers de nos villes, de notre pays.
Le citoyen lambda s'est laissé endormir par la démocratie pacifiée et généreuse, donatrice de services sociaux qui rendent la vie douce et calme.
Les guerres lointaines sont menées par une armée de métier. Les combats sont de papier ou se vivent par procuration dans les jeux vidéo.
La société s'est féminisée et policée correctement au point où un politicien peut perdre son emploi pour cause de sexisme.
Des civilisations de rustres machos au point d'en être dégénérés ont senti comme un appel d'air et envahissent l'Occident.
S'il n'y a pas bientôt une forme de résistance, politique, idéologique, martiale, il faudra dire adieu à une forme de démocratie et de civilisation.
Adieu Bach, adieu Mozart, adieu le plafond de la Chapelle Sixtine, adieu la tour Eiffel. La civilisation occidentale aura vécu de belles années. Sa sophistication aura causé sa perte.
Les plus optimistes espéreront un changement de paradigme en voyant une ville comme Dubaï qui, visiblement, cherche à plaire aux touristes occidentaux.
Qui sait, un jour, les disciples fanatiques de leur soi-disant prophète de leur prétendu religion, en auront assez de cette idéologie totalitaire ; et comme, le communisme, comme le nazisme, celle-ci sera jetée aux poubelles de l'Histoire.
mercredi 19 octobre 2016
Le mononcle contre la salope : troisième débat à la présidentielle américaine
Troisième débat des candidats à l'élection présidentielle américaine : le mononcle Trump et la salope du système. Tout le système est contre Trump, donc il doit avoir quelque chose de bon.
Si la Clinton est élue, tout va continuer comme prévu par les lobbys, les banques, le complexe militaro-industriel.
Depuis que la guerre est devenue payante, les États-Unis s'embarquent dans d'immorales aventures à l'étranger, où ils dictent, manu militari, la politique que les autres pays doivent adopter, tout en faisant, au passage, des milliers (si ce n'est pas des millions) de victimes.
L'air de rien, c'est une dictature.
Trump pourra-t-il y changer quelque chose? On voit que les médias veulent l'abattre d'une façon ou d'une autre.
Comme ici avec le PLQ, les démocrates ont le vote des minorités, de l'immigration et des femmes.
La féminisation des sociétés amènent des gouvernements de tendance socialiste avec ses bons et ses mauvais côtés.
L'exemple modèle est la Suède qui se dirige vers une catastrophe. avec sa politique larmoyante d'accueil des réfugiés.
Si la Clinton est élue, tout va continuer comme prévu par les lobbys, les banques, le complexe militaro-industriel.
Depuis que la guerre est devenue payante, les États-Unis s'embarquent dans d'immorales aventures à l'étranger, où ils dictent, manu militari, la politique que les autres pays doivent adopter, tout en faisant, au passage, des milliers (si ce n'est pas des millions) de victimes.
L'air de rien, c'est une dictature.
Trump pourra-t-il y changer quelque chose? On voit que les médias veulent l'abattre d'une façon ou d'une autre.
Comme ici avec le PLQ, les démocrates ont le vote des minorités, de l'immigration et des femmes.
La féminisation des sociétés amènent des gouvernements de tendance socialiste avec ses bons et ses mauvais côtés.
L'exemple modèle est la Suède qui se dirige vers une catastrophe. avec sa politique larmoyante d'accueil des réfugiés.
lundi 17 octobre 2016
L'avenir du Québec : la partition régionale ?
"Depuis une décennie ou deux, la littérature scientifique laisse entendre que les États-nations perdent rapidement de leur importance. Le pouvoir et l’influence, indique-t-elle, sortent de l’État-nation et évoluent tant « vers le haut » (les réseaux mondiaux) que « vers le bas » (les régions et des villes)."
(L’histoire et le futur de l’édification des nations. Introduction du rédacteur en chef
par Christopher Pollitt? (http://www.cairn.info/mythes-et-ideologies--9782600040280-page-173.htm))
Même si le souverainiste en nous a de la difficulté à l'admettre, Montréal, c'est le Québec. La souveraineté au fond, c'était conquérir Montréal.
Or, ce n'est pas ce qui s'est passé.
Depuis 1980, nous assistons plutôt à la balkanisation du Québec, certains diraient sa libanisation.
D'une part, l'immigration massive à Montréal est en train de changer inexorablement la démographie de cette ville. On dit que dans trois ans, les francophones y seront minoritaires.
Le vote massif des immigrants de plusieurs générations et des anglophones va vers le parti fédéraliste du Québec (d'où son clientélisme), avec des scores qui rappellent les dictatures.
Nous arrivons ainsi à une situation où Montréal décide en grande partie de la politique au Québec.
Le reste du Québec pourrait ne pas exister que Montréal n'en saurait rien.
D'autre part, le reste du Québec illustre cette balkanisation d'une autre façon ; la ville de Québec par le clivage gauche-droite a relégué les souverainistes aux oubliettes, ceux-ci étant perçus comme de méchants gauchistes ; les régions frontalières (l'Outaouais, la Beauce, l'Ouest) échappent à l'identification avec le centre par le magnétisme du monde anglo-saxon (l'Ontario et les États de la Nouvelle-Angleterre), un phénomène courant des zones frontières (exemple : la région de l'Alsace-Lorraine en France) ; le vote souverainiste se concentre dans certaines régions spécifiques (voir ci-dessus la carte des élections fédérales de 2014
, le bleu clair montre la concentration de ce vote) ; enfin, comme la crise d'Oka nous l'a rappelés par le meurtre d'un policier québécois, les Premières "Nations" sont autant de mini-républiques qui refuseront ultimement la souveraineté du Québec, pris dans leur ressentiment ancestral envers l'homme Blanc.
Par conséquent, quel sera l'avenir de cette nation virtuelle qui n'a jamais eu le courage de se mettre au monde?
Les populations continueront à s'identifient au pouvoir qui leur est le plus proche, le plus souvent la ville.
Les nations qui semblaient aller vers de grands ensembles avec la mondialisation voient de plus en plus leur population la rejeter.
Le Québec est dans un cas particulier parce que ce rejet ne ramène pas la population totale du Québec à s'identifier à un centre qui n'existe pas.
On imagine, en revanche, que Montréal devienne complètement autonome, comme Venise l'était autrefois.
Cependant, le reste du Québec va-t-il continuer longtemps à accepter le joug d'une ville multiculturelle qui ne lui ressemble absolument pas?
Quant aux régions périphériques (l'Outaouais, la Beauce), elles vont être absorbées par les régions limitrophes.
En conclusion, il est aussi réaliste d'imaginer le découpage du Québec en quatre que d'assister au grand soir où le Québec serait unifié, non pas de façon artificielle, mais par le cœur et l'esprit.
Si le club de hockey des Canadiens de "Mountreehall" représente notre seul pôle d'identification, le pays Québec qui n'existe pas, sauf si on le ramène au degré zéro de la simple habitation du territoire, n'existera jamais.
(L’histoire et le futur de l’édification des nations. Introduction du rédacteur en chef
par Christopher Pollitt? (http://www.cairn.info/mythes-et-ideologies--9782600040280-page-173.htm))
Même si le souverainiste en nous a de la difficulté à l'admettre, Montréal, c'est le Québec. La souveraineté au fond, c'était conquérir Montréal.
Or, ce n'est pas ce qui s'est passé.
Depuis 1980, nous assistons plutôt à la balkanisation du Québec, certains diraient sa libanisation.
D'une part, l'immigration massive à Montréal est en train de changer inexorablement la démographie de cette ville. On dit que dans trois ans, les francophones y seront minoritaires.
Le vote massif des immigrants de plusieurs générations et des anglophones va vers le parti fédéraliste du Québec (d'où son clientélisme), avec des scores qui rappellent les dictatures.
Nous arrivons ainsi à une situation où Montréal décide en grande partie de la politique au Québec.
Le reste du Québec pourrait ne pas exister que Montréal n'en saurait rien.
D'autre part, le reste du Québec illustre cette balkanisation d'une autre façon ; la ville de Québec par le clivage gauche-droite a relégué les souverainistes aux oubliettes, ceux-ci étant perçus comme de méchants gauchistes ; les régions frontalières (l'Outaouais, la Beauce, l'Ouest) échappent à l'identification avec le centre par le magnétisme du monde anglo-saxon (l'Ontario et les États de la Nouvelle-Angleterre), un phénomène courant des zones frontières (exemple : la région de l'Alsace-Lorraine en France) ; le vote souverainiste se concentre dans certaines régions spécifiques (voir ci-dessus la carte des élections fédérales de 2014
Par conséquent, quel sera l'avenir de cette nation virtuelle qui n'a jamais eu le courage de se mettre au monde?
Les populations continueront à s'identifient au pouvoir qui leur est le plus proche, le plus souvent la ville.
Les nations qui semblaient aller vers de grands ensembles avec la mondialisation voient de plus en plus leur population la rejeter.
Le Québec est dans un cas particulier parce que ce rejet ne ramène pas la population totale du Québec à s'identifier à un centre qui n'existe pas.
On imagine, en revanche, que Montréal devienne complètement autonome, comme Venise l'était autrefois.
Cependant, le reste du Québec va-t-il continuer longtemps à accepter le joug d'une ville multiculturelle qui ne lui ressemble absolument pas?
Quant aux régions périphériques (l'Outaouais, la Beauce), elles vont être absorbées par les régions limitrophes.
En conclusion, il est aussi réaliste d'imaginer le découpage du Québec en quatre que d'assister au grand soir où le Québec serait unifié, non pas de façon artificielle, mais par le cœur et l'esprit.
dimanche 16 octobre 2016
Le sens de la vie
La vie est mystérieuse car sa signification ultime, si celle-ci existe, est inintelligible. En effet, cette question se pose à nous en fonction d'une finalité, ce qui implique que cette dernière se situe sur une échelle temporelle. Or le temps est une donnée immédiate de la conscience (Kant), une partie inhérente de la psyché humaine. Par conséquent, ne pouvant pas échapper à la contingence constitutive intrinsèque à la pensée, l'humain spécule sur l'avenir du monde matériel situé sur les axes spatio-temporelles, l'empêchant ainsi d'atteindre à l'intention, si intention il y a, à l'intemporalité de sa question initiale.
Suis-je assez clair?
Et n'aurais-je pas dû acheter un sac d'oranges hier?
Et n'aurais-je pas dû acheter un sac d'oranges hier?
On oublie toujours quelque chose.
samedi 15 octobre 2016
Poème à une caissière
Ô, toi, déesse du supermarché!
Quand tu prends la bouteille de Ketchup
pour la passer sous le lecteur laser,
Tes doigts de fée sont des caresses.
Tous mes sens sont en émoi
Devant la beauté de tes gestes.
Tu glisses dans les sacs biodégradables
Toutes les victuailles en traçant dans les airs
Les spirales archétypiques du nombre d'or
Qui forment avec celle de ton corps
Une symphonie ponctuée par le tiroir de la caisse enregistreuse.
Quand tu prends la bouteille de Ketchup
pour la passer sous le lecteur laser,
Tes doigts de fée sont des caresses.
Tous mes sens sont en émoi
Devant la beauté de tes gestes.
Tu glisses dans les sacs biodégradables
Toutes les victuailles en traçant dans les airs
Les spirales archétypiques du nombre d'or
Qui forment avec celle de ton corps
Une symphonie ponctuée par le tiroir de la caisse enregistreuse.
Manif de PEGIDA à 11h devant l'Assemblée nationale
Manif de PEGIDA à 11h devant l'Assemblée nationale. Pour ceux qui veulent se faire filmer et ficher par la police politique du PLQ...
Les antifas, les fascistes d'extrême-gauche, les idiots utiles de la mondialisation, y seront-ils? À Montréal, ville d'hystériques, ils sont toujours là quand il y a un groupe qui ne pense pas comme eux, encore plus violents que les flics casqués et armés.
La résistance à l'islam, j'approuve, mais quand c'est le gouvernement qui l'encourage, il y a un déséquilibre dans la lutte. Les Québécois sont des gens pacifiques (endormis?). Ils ne vont pas faire la Révolution.
Les peuples occidentaux ont intégré les valeurs de la démocratie.
Cependant, les élites les trompent et abusent de leur bonté.
En Allemagne, par exemple, qui a eu le passé qu'on connaît. Jusqu'à quand les Allemands vont-ils supporter le projet suicidaire de la maudite folle qui les dirige?
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Les-antifas-faux-rebelles-vrais-collabos-25136.html
mercredi 12 octobre 2016
Lecture : "Tout bouge autour de moi", Dany laferrière.
"Tout bouge autour de moi". Quand il quitte (s'enfuit?) d'Haïti, le livre s'effondre. Il n'a plus rien à dire. Je pense que c'est du remplissage (parce que le livre est une commande? Il écrit au début qu'il doit un livre à son éditeur). On a l'impression qu'il cherche à se justifier, il n'aime pas le mot diaspora (les Haïtiens qui ont fui la misère de leur pays de misère.)
Certains chapitres sont inutiles, celui où il suggère des expositions de peintres primitifs haïtiens. Bonne idée, Roger!
Et que penser de cette phrase : "Il arrive qu'une nouvelle situation, si elle dure un certain temps, provoque d'importants changements dans la vie des gens."
C'est d'une incroyable banalité!
Grand écrivain? Je n'avais pas détesté son roman "Vers le Sud". de là à dire que c'était un chef-d'oeuvre...
Mais il est membre de l'Académie française. Tant mieux pour lui. Il doit toucher une rente pour s'acheter de la gomme, des chips...
Haïti, le Québec et le monde.
"Au moment de l'Indépendance, le monde occidental s'est détourné de cette nouvelle république (...). L'Occident a toujours refusé de reconnaître cette arrivée au monde (...)",écrit Dany Laferrière dans "Tout bouge autour de moi".
En effet, il a raison, l'Occident avec un gros O (Haïti n'est pas incluse dans l'Occident?) se fout d'Haïti.
Les Occidentaux (?) ne se lèvent pas en pensant à Haïti, pas plus qu'ils ne pensent au Québec.
Les gros pays se fichent des petits pays. La France se fiche du Québec.Le Québec (imaginons qu'il soit un vrai pays!) se fiche des Franco-Ontariens.
Ce qu'il écrit me rappelle ce qu'écrit Jean Larose dans "La Petite Noirceur" : "(...) cette conviction risible que "les Français s'intéressent à nous" (Québécois); en fait, c'est nous qui sommes intéressés à "l'intérêt que les Français nous portent".
C'est ce qu'on appelle le provincialisme, le caractère provincial.
Le Québec d'autrefois a senti qu'il éait isolé et que personne ne s'intéressait à lui. Il avait besoin de reconnaissance qu'il est allé cherché à travers ses artistes, entre autres,et en s'exportant, en voyageant.
De la même façon, monsieur Laferrière, qui fait partie des élites mondialisées, a la possibilité de donner une voix à son pays trop souvent connu pour ses malheurs et trop souvent caricaturé (pauvres, vaudou, vaudou, pauvres).
Nous avons donc cela en commun.
Cependant, les petits pays restent de petits pays et leur influence dans le monde est marginal.
Mais vivons-nous vraiment pour plaire aux autres?
Soyons d'abord heureux de qui nous sommes et notre rayonnement n'aura plus de frontières.
En effet, il a raison, l'Occident avec un gros O (Haïti n'est pas incluse dans l'Occident?) se fout d'Haïti.
Les Occidentaux (?) ne se lèvent pas en pensant à Haïti, pas plus qu'ils ne pensent au Québec.
Les gros pays se fichent des petits pays. La France se fiche du Québec.Le Québec (imaginons qu'il soit un vrai pays!) se fiche des Franco-Ontariens.
Ce qu'il écrit me rappelle ce qu'écrit Jean Larose dans "La Petite Noirceur" : "(...) cette conviction risible que "les Français s'intéressent à nous" (Québécois); en fait, c'est nous qui sommes intéressés à "l'intérêt que les Français nous portent".
C'est ce qu'on appelle le provincialisme, le caractère provincial.
Le Québec d'autrefois a senti qu'il éait isolé et que personne ne s'intéressait à lui. Il avait besoin de reconnaissance qu'il est allé cherché à travers ses artistes, entre autres,et en s'exportant, en voyageant.
De la même façon, monsieur Laferrière, qui fait partie des élites mondialisées, a la possibilité de donner une voix à son pays trop souvent connu pour ses malheurs et trop souvent caricaturé (pauvres, vaudou, vaudou, pauvres).
Nous avons donc cela en commun.
Cependant, les petits pays restent de petits pays et leur influence dans le monde est marginal.
Mais vivons-nous vraiment pour plaire aux autres?
Soyons d'abord heureux de qui nous sommes et notre rayonnement n'aura plus de frontières.
lundi 10 octobre 2016
Le peuple
Le peuple a toujours raison, affirmait Bernard Landry au lendemain d'une élection.
Le peuple a bon dos.
Soit on le pare de toutes les vertus, et on verse dans le populisme.
Soit on l'accable de tous les maux et on s'en méfie, et on privilégie alors une caste, une élite, qui le guide vers la lumière de la raison.
Bref, le peuple est une abstraction commode comme celle des chiffres qui "sont des innocents qui avouent n'importe quoi sous la torture (Alfred Sauvy).
Joli colibri
"L'homme fort protège ce qu'il y a de plus fragile !" Comme le disait Lao Tseu... Non, ce n'est pas vrai, mais il aurait pu le dire! Entre deux lavages. Il n'y avait pas de machine à laver dans le temps, tout se faisait à la main. Pour se laver les cheveux, c'était toute une histoire! Jouer au golf? N'y pensez pas! Ça n'existait même pas.
dimanche 9 octobre 2016
L'indépendance : hasta la muerte?
Aux Francs-Tireurs, Richard Martineau rappelle à Mathieu Bock-Côté que le peuple a dit non à deux référendums.
C'est vrai, mais ce dernier aurait dû répliquer que le deuxième référendum a été volé parce que les fédérastes n'ont pas respecté le cadre démocratique de cette consultation, et parce qu'on
a accordé en vitesse la nationalité à des néo-néo-Québécois qui descendaient de l'avion pour bourrer les urnes d'un non "décisif" à 0,4 pour cent.
On dit, d'ailleurs, qu'une grande partie de ces immigrants sont repartis.
Combien d'entre eux avaient la double nationalité?
C'est quand même fort de café! difficile à accepter : des individus qui ont la double nationalité et qui viennent dire à des "de souche" (la majorité francophone a voté oui) qu'ils n'ont pas le droit de se séparer.
C'est pourquoi il devrait y avoir un moratoire sur l'immigration et que le droit de vote devrait être donné après dix-huit ans, une majorité citoyenne (je sais que cela ne changera pas). L'immigration est utilisée par les fédérastes pour tuer le nationalisme québécois, et pour se faire élire jusqu'à la
fin des temps.
Demander aux souverainistes de convaincre chaque année cinquante mille immigrants, puis l'année suivante une autre bâche, puis une autre bâche, est une tâche impossible.
Cette immigration imposée au peuple québécois crée un déficit démocratique. Chaque année, le vote souverainiste perd de sa valeur. Il ne vaut plus rien à Montréal qui vote en masse pour les fédérastes (à l'exception des députés de QS) ; dans la ville de Québec, il est annihilé pour d'autres raisons. Nul
doute que la seule députée élue du PQ dans la ville de Québec, Agnès Maltais, sera en danger très bientôt, puisque Taschereau est un quartier populaire qui accueille un grand nombre d'immigrants.
Mais on sait que ces conditions absurdes vont continuer au moins jusqu'en 2018, qu'il y aura des milliers d'immigrants de plus avec le droit de vote. Les souverainistes rament à contre-courant.
Le peuple est divisé. L'intégralité du territoire est remise en question par les "partitionnistes" de Montréal et par les Premières Nations.
Que pouvons-nous espérer? Que faut-il faire? Abandonner?
Abandonner serait se suicider.
Y aura-t-il un changement de paradigme? Le peuple québécois, les immigrants y compris, vont soudainement réaliser que former un petit pays serait une aventure exaltante et même avantageuse d'un point de vue économique. Improbable, mais qui sait?
Il faut relire "Le Mythe de Sisyphe", de Camus.
Malgré l'absurdité apparente, vivre c'est lutter, lutter c'est vivre ; sinon, c'est la mort.
C'est vrai, mais ce dernier aurait dû répliquer que le deuxième référendum a été volé parce que les fédérastes n'ont pas respecté le cadre démocratique de cette consultation, et parce qu'on
a accordé en vitesse la nationalité à des néo-néo-Québécois qui descendaient de l'avion pour bourrer les urnes d'un non "décisif" à 0,4 pour cent.
On dit, d'ailleurs, qu'une grande partie de ces immigrants sont repartis.
Combien d'entre eux avaient la double nationalité?
C'est quand même fort de café! difficile à accepter : des individus qui ont la double nationalité et qui viennent dire à des "de souche" (la majorité francophone a voté oui) qu'ils n'ont pas le droit de se séparer.
C'est pourquoi il devrait y avoir un moratoire sur l'immigration et que le droit de vote devrait être donné après dix-huit ans, une majorité citoyenne (je sais que cela ne changera pas). L'immigration est utilisée par les fédérastes pour tuer le nationalisme québécois, et pour se faire élire jusqu'à la
fin des temps.
Demander aux souverainistes de convaincre chaque année cinquante mille immigrants, puis l'année suivante une autre bâche, puis une autre bâche, est une tâche impossible.
Cette immigration imposée au peuple québécois crée un déficit démocratique. Chaque année, le vote souverainiste perd de sa valeur. Il ne vaut plus rien à Montréal qui vote en masse pour les fédérastes (à l'exception des députés de QS) ; dans la ville de Québec, il est annihilé pour d'autres raisons. Nul
doute que la seule députée élue du PQ dans la ville de Québec, Agnès Maltais, sera en danger très bientôt, puisque Taschereau est un quartier populaire qui accueille un grand nombre d'immigrants.
Mais on sait que ces conditions absurdes vont continuer au moins jusqu'en 2018, qu'il y aura des milliers d'immigrants de plus avec le droit de vote. Les souverainistes rament à contre-courant.
Le peuple est divisé. L'intégralité du territoire est remise en question par les "partitionnistes" de Montréal et par les Premières Nations.
Que pouvons-nous espérer? Que faut-il faire? Abandonner?
Abandonner serait se suicider.
Y aura-t-il un changement de paradigme? Le peuple québécois, les immigrants y compris, vont soudainement réaliser que former un petit pays serait une aventure exaltante et même avantageuse d'un point de vue économique. Improbable, mais qui sait?
Il faut relire "Le Mythe de Sisyphe", de Camus.
Malgré l'absurdité apparente, vivre c'est lutter, lutter c'est vivre ; sinon, c'est la mort.
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