jeudi 27 octobre 2016

Quelques réflexions sur la "culture du viol"

Spontanément, cette expression me semble être un abus de langage. Encore un concept du lobby subventionné, ou non, des féministes pour culpabiliser tous les hommes, les fixer dans une sorte de stupeur conceptuelle, en les assommant de statistiques que personne ne vérifie, et que l'on gonfle à volonté : une femme sur deux, blablabla.

Mais en y réfléchissant, que pourrait-on appeler la culture du viol?

1) Je pense à la guerre. C'est un comportement vieux comme le monde. La guerre suspend les règles de la civilisation et la barbarie autorise les pires comportements.
Déjà les Amérindiens se faisaient la guerre, prenaient des esclaves. Avant et après eux, toutes les armées du monde. Encore dernièrement les troupes de l'ONU...

2) Dans les prisons que je n'ai jamais eu le loisir de connaître (Dieu merci!). On dit que c'est un comportement assez répandu. Vrai? Faux? Dans quelle proportion?

3) Les agressions collectives qu'on a vues à Cologne et en Égypte pendant le printemps arabe :  taharrush ginsy ou taharoch gensi5 (تحرّش جنسي taḥarruš ǧinsī « harcèlement sexuel ») ou taharrush gamea.
Je vous réfère à l'article de Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Agression_sexuelle_de_masse

4) Alex Jones dénonçait Michele Obama qui a invité des rappeurs qui, dans leurs paroles, mentionnent la drogue que l'on glisse dans le verre d'une femme pour ensuite pouvoir abuser d'elle.

5) Les proxénètes de Montréal et d'ailleurs, souvent membres des gangs de rue, qui séduisent nos jeunes femmes pour ensuite les exploiter comme prostituées.

Bref, ce sont tous des comportement que l'homme civilisé déplore et qui n'appartiennent pas à la normalité, qui ne l'ont jamais été. Le viol a toujours été sévèrement puni (faites des recherches) et il l'était encore plus autrefois quand on infligeait des punitions corporelles.

Le féminisme occidental a une cible : l'homme occidental, plus précisément le Blanc, de tradition catholique. Son marxisme culturel ne lui permet pas de dénoncer les agressions quand elles sont faites par une personne qui appartient à une minorité.
On le voit en Suède. On l'a vu en Allemagne.

C'est sans doute pourquoi les hommes occidentaux, qui se sentent depuis quelques années sur la défensive, ne vont pas adhérer en masse à cette dernière indignation conceptuelle de l'idéologie féministe. Quel père encouragerait son fils à violer une femme? C'est dans ce sens que ce concept de "culture du viol" est absurde.
Il y a sans doute des zones grises, mais une approche idéologique ne me paraît pas la meilleure façon d'aborder ce problème.

Pour plus d'infos, avec des statistiques à l'appui, on peut écouter (si vous avez le temps et la patience) Stefan Molyneux qui fait le tour de la
question et examine tous les cas de figure qu'on oublie parfois, comme les lesbiennes qui agressent d'autres lesbiennes : https://www.youtube.com/watch?v=k9s5H-RNjxY

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