Je "pogne" la fin d'une émission sur Jacques Brel. L'animateur interroge ses filles. Brel les a élevées comme les aristocrates des siècles passés, de loin, en passant, les confiant à leur mère, poursuivant sa carrière, certains diraient égoïstement.
Les filles, femmes mures maintenant, toujours toquées de leur père. Le père est souvent le grand amour inconditionnel des filles, l'amour indépassable, me semble-t-il. Pas toujours évidemment. Femmes qui restent toujours filles? Hommes, comment devenir un mythe : ayez des filles.
Memento mori.
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