Je m'attendais à attendre mais à ce point-là? Non.
J'avais apporté ma liseuse, ma tablette, mon téléphone (juste pour lire les MP3, je n'ai pas d'abonnement), une tablette de chocolat et des bonbons sans sucre.
Quelles sont les circonstances qui m'ont dirigé vers les urgences d'un hôpital?
Le jour de la tempête du mardi 12 novembre, je glisse. Mon bras droit absorbe le choc, ma main et surtout mon épaule. J'aurais dû prendre des cours pour savoir comment tomber !
Je n'ai pas ressenti de douleur tout de suite mais je sentais que mon bras allait avoir besoin de temps pour redevenir normal.
Le soir, ma main était enflée et un peu douloureuse. Étant un adepte du "ça va s'arranger tout seul", comme le type de la publicité, et aussi un adepte du stoïcisme, j'ai décidé de laisser le temps faire son oeuvre.
Bref, après une semaine, j'étais gêné par ce bras durant la nuit, et ça devenait douloureux au point de prendre des antidouleurs (en général je ne prends pas de médicaments).
Ce serait plus prudent de consulter pour voir s'il y a quelque chose de brisée, me dis-je.
Dans un premier temps, je vais dans une clinique sans rendez-vous. Il était vers dix heures du matin et la réceptionniste me dit qu'il fallait arriver vers 7h30, à l'ouverture, ou réserver en ligne.
J'essaie de prendre rendez-vous par l'intermédiaire d'Internet. Il n'y avait aucune heure de disponible.
Je passe une mauvaise nuit et je me réveille après 7h30, trop tard pour la clinique sans rendez-vous. Donc, en désespoir de cause, je me dis que je n'éviterais pas les urgences de l'hôpital le plus près de chez moi.
Aux urgences, on passe par le triage assez rapidement, en une heure trente, et on vous classe par ordre de priorité de un à cinq. Sept heures plus tard, je repasse un autre triage et je me demande pourquoi. On m'offre de prendre des Tylénols.
Je venais de comprendre le principe : si vous voulez passer le plus rapidement possible, il faut que vous souffrez le plus possible.
Vers 18h15, je songeais vraiment à partir comme le monsieur avec qui était assis à deux chaises de moi. Celui-ci s'était levé pour s'informer à la réception et il a été appelé par la suite.
J'ai fait la même chose et puis on m'a appelé vers 18 heures 20.
La salle s'était un peu vidé après 17 heures, mais de nouveaux patients semblaient arriver. J'ai eu peur d'être à nouveau au bas de la liste et qu'on me fasse attendre encore trois heures.
Je suis entré dans une petite pièce pour la consultation où j'ai attendu encore 25 minutes pour que le médecin vienne analyser ma situation. Il m'envoie à la radiologie. Enfin, ça roule relativement vite.
J'en profite pour m'avancer dans la lecture de Sérotonine, le dernier roman de Michel Houellebeck.
Je ressors de la radiologie avec une feuille qu'il faut mettre dans un petit panier, me dit-on. Où est le petit panier? Il faut se débrouiller pour le trouver même si personne n'a la science infuse.
On me donne encore de la drogue. J'avais déjà pris trois Tylénols et un anti-inflammatoire.
Je quitte finalement vers 21 heures.
Qu'en conclure?
Je peux comprendre que certains puissent préférer un système de santé à l'américaine où l'on paierait pour que ça aille plus vite. J'imagine que le temps perdu à attendre soit le prix à payer pour ne rien avoir à payer.
Il y avait un certain nombre de néo-québécois dans la salle d'attente (en minorité). On peut facilement devenir intolérant si on en voit un qui passe avant soi. Mes ancêtres ont enduré 400 hivers pour que je puisse vivre avec certains privilèges. Mais le Canada est un pays où les derniers sont les premiers et ils bénéficient des mêmes services sans avoir travaillé pour en profiter. Le Canada est trop heureux de faire le beau à nos dépens.
Est-ce vraiment une bonne idée de nous inonder avec l'immigration et d'accepter de faux réfugiés quand les urgences de nos hôpitaux sont si problématiques? Je ne dois pas être le seul à y penser.
Cela dit, le personnel des hôpitaux est aimable et il fait du bon travail même s'il a l'air de passer en coup de vent. Personne n'est là pour faire la conversation.
En conclusion, ne soyez pas malades et évitez de tomber pendant l'hiver!
D'après Michel Onfray (https://www.youtube.com/watch?v=etzf_OVcQ3Q )
, la messe est dite, les jeux sont faits : "Il est trop tard pour sauver notre civilisation."
Grande déclaration péremptoire et indiscutable du grand philosophe, il faudrait se résigner, partir et abandonner le combat et laisser la place... à qui?
Probablement à cette autre civilisation qui a interdit la peinture, la musique, dans le pire des cas, mais qui se reproduit à la vitesse des lapins.
Et quand on mentionne au philosophe, le côté barbare de l'État islamique, il fait remarquer qu'au départ les grands empires sont fondés par des êtres sanguinaires. Donc nous n'avons pas de leçons de morale à donner.
C'est quand même curieux d'accepter ce relativisme, comme si l'évolution vers plus de civilisation, d'humanisme, n'était pas possible. Et Onfray de nous rappeler la mort de quatre millions d'individus lors de la guerre d'Irak. Comme si tous les Occidentaux avaient été d'accord avec les États-Unis qui ne défendent que leurs intérêts et ceux de leurs alliés.
Michel Onfray me fait penser à ceux qui croient aux changements climatiques, alors que ceux-ci sont le phénomène d'une période courte de l'histoire climatique de la Terre.
L'Occident a commis des erreurs a eu des faiblesses qui l'ont mené à une situation difficile. Mais qui est assez lâche pour abandonner une civilisation qui a aboli l'esclavage, a donné des droits à tous les individus, a amélioré les conditions de vie sur toute la planète, a donné des milliards de dollars pour aider les autres peuples, a fait montre d'un esprit inventif et créatif et continue à le faire.
Michel Onfray étant de gauche, cela l'empêche d'aborder les questions qui fâchent comme celle de l'immigration. Une des erreurs des Occidentaux est d'avoir permis l'Immigration à des peuples qui ne sont pas compatibles avec ses valeurs.
Depuis, l'Occident ne sait plus qui il est. Il y a des étrangers dans sa maison et, comme on le sait tous, quand il y a de la visite à la maison, on n'est plus tout à fait soi-même.
Un des scénarios possibles est que les Occidentaux se soumettent à la façon des personnages du roman de Michel Houellebeck, "Soumission". Un autre scénario est que les peuples se révoltent petit à petit et s'affrontent. C'est la thèse de Guillaume Faye dans "Guerre civile raciale" ( entrevue avec son éditeur, Daniel Conversano : https://www.breizh-info.com/2019/03/14/114136/daniel-conversano-guillaume-faye-guerre-civile-raciale ).
Une autre thèse que l'on pourrait soutenir est que l'Occident, loin d'être en déclin, a essaimé partout dans le monde. Il a colonisé le Japon, La Chine a repris son savoir-faire et maintenant l'importe. Les pays d'Amérique du Sud, que l'on met parfois à part, sont aussi des pays occidentaux, des Européens d'origine espagnole, le plus souvent (en Argentine, une majorité des immigrants étaient des Italiens).
Maintenant, on peut aussi dire que si la race caucasienne disparaît, son génie va aussi disparaître. C'est possible. Cependant, si nous devenons rares, nous deviendrons aussi précieux et à préserver que ces plantes exotiques.
Le Québec a commencé son déclin le soir de la défaite du référendum de 1980.
Depuis, il survit comme il peut, mais tout se dégrade, tout s'en va à vau-l'eau, sa culture comme le reste.
Il a quelques sursauts pour donner l'illusion : un vote pour la CAQ, parti nationaliste mou ; un vote pour le Bloc, parti nationaliste mou de gauchistes.
Que penser du Gala de l'ADISQ?
C'était un ramassis de clichés pour cocher les cases de la rectitude politique : diversité, féminisme, culpabilité occidentale...
Premièrement, entre des bouts de gala, se taper ces pubs de merde où on nous impose la diversité à toutes les deux secondes. En plus de payer pour accueillir les faux réfugiés et une immigration de remplacement, il faudrait les voir à toutes les deux secondes ! Croyez-vous qu'en Afrique, il y a systématiquement un Caucasien ou un Asiatique dans les publicités, un couple bizarroïde qui forme une famille de fiction? J'en doute.
Bon passons.
Comme je l'avais écrit écrit sur Twitter, deux jours avant : le gala va commencer par du rap et une illustration de la diversité. Yo ! Montreehall-Nord, la Republik ! Et le type avec sa casquette qui se prend pour Eminem, habillé en joueur de Basketball. Des paroles en bilingue, une nova-langue qui est la transition avant notre anglicisation définitive comme au Nouveau-Brunswick.
Maintenant, il faut aussi ajouter l'espagnol.
L'espagnol est une très belle langue, mais que penserais-tu Madame Fuego-Fuego, si j'allais vivre dans ton pays de langue espagnole pour imposer le français?
C'est du pur colonialisme et nous devrions nous taire par ouverture d'esprit.
Bon, ensuite, le Louis-José Houde mur à mur, l'humour qui a pris une si grande place depuis que nous sommes des perdants officiels du combat politique. S'il fait autant l'unanimité, c'est peut-être qu'il est assez insipide pour ne pas effrayer les patrons de la grande tour.
Enfin ! une reconnaissance pour les soi-disant Premières Nations qui cumulent trois nationalités : la leur, la canadienne et la québécoise (accessoirement). Les artistes autochtones auront maintenant leur catégorie ghetto. Et qu'est-ce que cela ajoute à la culture francophone du Québec, une culture minoritaire? De beaux textes en langage amérindien que personne ne comprend.
Le grand chef misérabiliste Ghislain Picard qui doit avoir un salaire dans les six chiffres en tant que chef flanqué d'une petite grand-mère. Maintenant il faut nécessairement une femme avec un homme.
Voyons voir, les rappeurs de merde, ensuite Marie-Mai, Ariane Moffat et un type, l'Amérindienne et la pianiste, Ginette Reno,
les Trois Accords (les champions du deuxième degré et leurs textes d'une stupidité affligeante voulue et assumée)... En voilà une représentation équilibrée où la femme n'est pas oubliée puisque c'est l'homme qui est quasi absent. J'oubliais le groupe avec ces drôles de chapeau : voilà le nouvel homme québécois, il rit perpétuellement de lui-même.
Ah ! ces hommes avec leur guitare phallique, ils ont trop longtemps pris toute la place ! Depuis, ils subissent une sorte de punition rétrospective entre ridicule et auto-contrition...
Deux prix à une pianiste qui n'écrit pas de paroles, forcément. C'est le Québec d'aujourd'hui, il est aphone et instrumental pour emporter l'approbation du plus grand nombre. Il n'a plus de mots pour se nommer et oser défendre son identité, mot tabou même chez les nationalistes.
Quel grand texte avons-nous ajouter au corpus de la chanson française avec ce gala? Aucun. L'excellent Pierre Flynn était absent, bizarrement.
Bref, un gala où l'âme québécoise était évanescente jusqu'à la caricature. Forcément, promenez-vous à Montréal, sur la rue Sainte-Catherine et vous ne verrez que notre fantôme, que l'ombre de nous-mêmes. L'âme québécoise est à Québec en attendant que la population soit aussi remplacée et que la ville de Québec devienne un nouveau Montréal, multiculturel et engoncé dans ses habits de gauchiste.
Problème avec un oeil, je m'informe pour la démarche la plus rapide.
J'avais eu un problème semblable avant l'ère Charest et le règne des escrocs du parti Libéral du Québec, de triste mémoire, et en peu de temps j'avais pu voir un spécialiste.
Maintenant, je vais attendre trois semaines pour un optométriste, et je vais le payer n'étant pas un pauvre de chez "Les pauvres" de Plume Latraverse.
Pensez-vous que les envahisseurs qui violent notre territoire en passant illégalement par le chemin Roxham attendent pour voir un médecin? Vous savez ceux qui ont des portables et qui portent des espadrilles de marque, sapés comme des joueurs de Basketball millionnaires.
Non seulement ils n'attendent pas, ils doivent être examinés dès leur arrivée au cas où ils auraient le scorbut ou une maladie transmissible ; en plus, c'est gratuit ! Et pour les les lunettes, si éventuellement, ils en ont besoin. Même chose, tout cela est gratuit et payez par vous, les caves !
C'est que nous vivons dans un pays, le Canada, un pays qui adore jouer le beau sur la scène internationale, à l'ONU, en particulier. On dirait même que c'est son seul rôle, soit de jouer les vertueux. Le juriste André Sirois qui a travaillé à l'ONU a maintes fois écrit sur la bêtise de ce pays qui est prêt à faire n'importe quoi pour avoir l'air du bon élève (https://www.ledevoir.com/opinion/libre-opinion/543339/le-canada-ne-doit-pas-appuyer-le-pacte-sur-les-migrations) .
Le fils de l'autre nous l'a appris, le Canada est un pays post-national. C'est la nation de toutes les nations... sauf de celles qui l'ont fondée, c'est-à-dire nous les Québécois (et les Anglos-Saxons), autrefois connus sous le nom de Canadiens français.
Pour être plus précis, nous n'avons pas fondé un pays, mais nous l'avons colonisé. Puis nous avons été reconnu comme un des deux peuples fondateurs.
Je sais que quelqu'un va me ramener les Premières Nations... bla bla... qui ont fondé le pays du ? L'organisation sociétale des Amérindiens était la tribu, me semble-t-il...
Cette histoire des Amérindiens qui ont aidé Cartier à survivre à l'hiver. Je crois plutôt que nos ancêtres ont été assez intelligents pour faire la déduction. De toutes façons, ils y seraient arrivés tout seuls comme ils l'ont fait sur de multiples territoires aux quatre coins du monde.
Quatre cents plus tard et nous voici les citoyens de quatrième catégorie : une non-nation parmi une nuée d'envahisseurs qui, eux, n'oublient jamais d'où ils viennent, et qui ont parfois deux passeports, dont celui du Canada accroché à leur cou. Ça peut servir pour se faire payer des choses.
Moi, ce que j'aime des réseaux sociaux comme Facebook et Twitter, surtout, c'est qu'on peut râler toute la journée, exprimer sa parole citoyenne de citoyens frustrés, ventiler sa haine ou ses ressentiments.
On pouvait le faire autrefois dans les pages des lecteurs des journaux, cependant tout passait par la censure et le biais éditorial des imprimés.
De plus, en choisissant un pseudonyme, on peut rester peinard et préserver son identité, sa réputation éventuellement. Bien sûr, il ne faut pas se leurrer à propos de l'anonymat sur Internet. Avec l'adresse IP, les autorités peuvent savoir qui a écrit ceci ou cela et éventuellement te coller une amende ou t'amener devant les tribunaux.
Il ne faut pas être naïf, tous ceux qui sont sur Internet sont probablement fichés, leurs coordonnées connues, leur idéologie décryptée.
Ça ne fait rien. Quel plaisir d'écrire sur le dièse de Tout le monde en parle pour déblatérer sur la bêtise des animateurs trop payés ! Ensuite, on est bloqué par Guy A. et on peut jouer les martyr !
Je me demande d'ailleurs pourquoi Twitter ne vend pas ses mots-clés, ses dièses (dits "hashtags"). Les propriétaires pourraient modérer les propos. Twitter ferait encore plus de sous en vendant du hashtag que du hash !
Sur Twitter, je suis Jacques Cartier. J'ai changé de pseudonyme parce que sous un autre nom, je discutais parfois avec un type qui me semblait convenable. Puis un jour, parce qu'il n'aimait pas mon opinion, il a envoyé mon pseudonyme au mot-clé de la police en disant que j'étais peut-être dangereux. Depuis, j'évite les discussions.
Cela dit, il faut faire attention. Respecter la loi. Ne pas écrire de propos qui pourraient être mal interprétés. Notre liberté de parole est encore acceptable, tandis qu'en France diverses associations profitent des lois pour traîner devant les tribunaux le moindre discours qui peut leur paraître diffamatoire. Ces temps-ci, les bien-pensants veulent faire taire Zemmour, entre autres.
Ça ne prendrait pas grand-chose pour changer la donne. Un cas de jurisprudence sur l'islamophobie, ou le sexisme, ou le racisme, ou la xénophobie, soit toutes les causes que les gauchistes adorent, et la liberté d'expression, fragile oisillon des démocraties, serait en péril.
Sous le modèle de We Are the world ou de Do they know it's Christmas?, j'ai pensé écrire une chanson pour l'arrêt de l'immigration de ces faux réfugiés qui envahissent légalement ou illégalement la civilisation occidentale avec la complicité crasse des politiciens.
(1st verse)
It all began in the sixties
When the left open the gate to non-Europeans countries
Politicians find a way an artificial way to stimulate economy
Having a slave manpower that you dont have to pay plenty
(Chorus)
Stop !
Stop the invasion
The invasion
And hope that some day
They all retrurn in their freaking country
Freaking country
With all the false guilt that the left have
Begin to raise the idea that we are wrong
That our democracies was based on exploitation
And that we own something to all those people
And that we are more racists than others
And that we all have the sins of the world
As if the humans didn't share the same trend
Of battle and brutality and racism
Stop
Stop the Invasion...
After the disgusting assassination of Kadhafi
By our corrupt politicians
The road was open for Africa
They all take the road to Europe
Also the Middle East and Asian countries
And the moron of Angela Merkel
Help them to invade our land
Now don't think that we hate you
Like us you are a human being
We don't share the same value
I don't like your religion
That doesn't mean that I wish you hell
Be happy in your land
I'll be happy in mine
And we could meet as tourists in freaking Florida
Stop !
Stop the Invasion...
René Lévesque n'était pas dupe : les francophones hors-Québec sont en sursis... Peut-être même que les Québécois vont le devenir peu à peu si on considère ces chansons bilingues et le franglais. Pourquoi voulez-vous que Mme Bombardier flatte tout le monde?
Pour être plus précis, René Lévesque utilisait un anglicisme ("honte dur lui "!) à propos des francophones hors-Québec : "Des dead ducks". Aujourd'hui on dirait des morts vivants. Peut-être est-ce exagéré. Ils ont le désir de continuer à être francophones.
Dans un pays normal, le Québec, nous n'aurions pas besoin de loi 101, nous n'aurions pas besoin de légiférer sur le bonjour-hi.
Les Français de France n'ont pas besoin de loi (pas encore!), c'est un pays normal. Ils se permettent même les anglicismes (trop).
J'ai l'impression que pour les nationalistes "officiels", le Bloc, la CAQ, le PQ, l'identité québécoise se limite à la langue. C'est un peu court !
Même si vous passez toutes les lois du monde, tant qu'il y aura une immigration de masse, de remplacement, ça ne sert à rien.
L'immigrant qui vient d'un pays non-francophone, dont ce n'est pas la culture, se fout de la culture québécoise. Il ne sait même pas ce que c'est à "Mountreehall" (l'ancienne ville francophone et québécoise autrefois connue sous le nom de Montréal). Il ira vivre en Ontario éventuellement ou il va continuer à nous baver en regardant sa télé "ethnique".
Par ailleurs, on voit que même s'il y a une importante "communauté" haïtienne, cela n'apporte pas au Québec un surplus d'âme. Les Haïtiens ont déjà leur pays auquel il s'identifie. On peut en dire autant des francophones du Maghreb ou des Français qui viennent ici en touristes.
On dit que souvent les Français qui immigrent au Québec repartent après sept ans. Ils ont fait le tour et ils ont perdu leur enthousiasme des beaux paysages. Et comme ils constatent que le Québec subit la même invasion qu'en France, ils devient la suite du scénario, c'est-à-dire des quartiers entiers qui sont "kébahisés" avec des cafés interdits aux femmes et différents voiles islamiques plein les rues, avec le sentiment pour l'indigène de visiter l'Afrique du Nord.
La seule solution pour le Québec est de faire comme la Hongrie et certains pays de l'Est : 1) Stop à l'immigration de remplacement. Cette immigration qui coûte une fortune est un scandale. C'est une forme d'ethnocide en douce du peuple québécois.
2) Il faut encourager la natalité quoique cette mesure semble rétrograde à l'heure du féminisme triomphant. Madame a sa carrière et elle protestera si on lui demande deux point trois enfants et si on lui dit que mettre les enfants en garderie à deux ans est un peu cruel.
3) Le Québec devrait se séparer du Canada.
4) Il faudrait encourager les "dead ducks" du Canada, les francophones hors-Québec à venir vivre au Québec.
A-t-on déjà entendu ceux-ci se prononcer pour l'indépendance du Québec? Non, les Franco-Ontariens sont trop fiers de vivre dans une province plus riche que le Québec!
La solidarité devrait exister dans les deux sens et je n'ai jamais senti que les francophones hors-Québec, les Franco-Machins, les Acadiens, étaient reconnaissants envers les Québécois d'avoir mené cette lutte inutile car, je le répète, dans un pays normal nous n'aurions pas besoin de loi spéciale pour protéger notre culture.
Bref, c'était mes réflexions du moment et je ne sais pas pour qui voter au fédéral. Le Bloc gauchiste ne me convainc pas du tout. J'aurais voter pour une Martine Ouellet qui savait bien faire chier le "ROC", le reste du Canada. Le Bloc, version Duceppe 2.0, ce sera la même insipidité, la même rectitude politique. Les députés vont jouer les bons citoyens et voter dans le sens du courant. C'est le Bloc qui a fait retirer la citoyenneté d'honneur d'Aung San Suu Kyi (compliqué comme nom !).
Vive le Québec libre !
On attend toujours le réchauffement climatique, outre une période de canicule il y a quelques semaines déjà, le thermomètre oscille entre 22 et 28.
La tête à claques de la Suède va pouvoir retourner à l'école le vendredi. C'est loupé pour le prix Nobel donné par la même clique de bobos gauchistes qui dirigent le monde... la "Planète" comme les écolos disent de façon ampoulée.
La Planète !
Seigneur ! Si la "Planète" décide de péter fort, elle va tous nous expédier dans le néant cosmique. N'ayez pas peur, cela ne va pas arriver !
Donc, il ne fait pas si chaud, mais juste assez pour bronzer idiot et écouter la radio francophone de Radio-Canada qui nous joue la musique pop de cette période historique entre la souveraineté manquée et le nationalisme tranquille d'oncle Legault.
Eh bien ! Rien pour nous impressionner. Des chansons francophones qui soudainement ajoutent un refrain anglophone. On se demande pourquoi. C'est sans doute un prolongement des dialogues de mon salon de Safia Nolin, chanteuse genre, folk, genre, et de Catherine Dorion, députée de Taschereau, genre full citoyenne.
Que penser du rap, cette musique communautaire, en direct de la "Republik". C'est du bla bla parano avec des rythmes volés ici et là. Si une carrière dans le monde du spectacle peut éviter la prison à quelques-uns, Yo !
En gros, il y a une pléthore de nouveaux artistes au Québec, ceux de la génération Passe-Partout, ou un peu avant, ou un peu après, mais aucun n'a produit une oeuvre qui ajoute au patrimoine du Québec. On cherche les classiques qui s'ajouteraient aux classiques des Léveillé, Leclerc, Lévesque, Charlebois, Vigneault, Julien, Dufresnes, Dubois, Desjardins; aux classiques des groupes comme Octobre, Offenbach, Beau Dommage, Harmonium... et j'en oublie.
Eh salut ! mon nom n'est pas Catherine Pogonat ! Le prix de la musique Polaris sera bientôt décerné. La liste des nommés ressemblent à la liste de la rectitude politique : des femmes... femmes... enfin reconnues malgré le patriarcat ! La diversité évidemment, mais il y a deux ans on avait donné le prix à une zozo de Colombie, un deux pour une puisque femme opprimée de la diversité opprimée, Lido Pimienta, qui s'était vite mis le doigt dans la bouche avec des commentaires anti-Blancs : depuis, le comité qui attribue le prix doit y aller prudemment avec les numéros de cirque. Et ne pas oublier les minorités, ce qui inclut les Québécois, sorte de survivance folklorique qui paie 23% des impôts au CanaRda, le pays post-national boiteux, et qu'il ne faut pas négliger ; mais combien d'anglophones écoutent le groupe Karkwa qui avait gagné le prix en 2007 ? Normal, ce n'est pas leur culture.
Bon, voilà le vomi du mois, et pourtant je suis de bonne humeur !