Le larbin de Tout le monde en parle recevait le ministre fédéraste des Affaires étrangères, François-Philippe Champagne ; lui a posé quelques questions insipides écrites par la direction. En dehors du Québec, à Montréal, le gouvernement Trudeau conserve une bonne cote d'estime, elle est inconditionnelle. Quand on ignore tout ce qui est québécois et qu'on s'informe sur les réseaux anglophones, forcément on ne sait pas que Trudeau est nul à chier !
Dans la ville rouge, les libérastes fédérastes ont seulement perdu un point. On comprend que ceux-ci gardent une bonne image d'Ottawa. D'affréter un avion pour récupérer des soi-disant Canadiens (des citoyens de l'État post-national arrivés ici il y a cinq ans) au Maroc, ça aide.
Ensuite, l'apatride mairesse du no man's land imaginaire Mohawk est venue nous sourire un brin. Elle a parlé de se débarrasser des gangs de rue, des proxénètes, et de limiter les lieux de culte illégaux dans Montréal-Nord... mais non, tout va bien ! Elle a juste chopé le virus en se promenant dans le quartier chinois : elle voulait montrer son amour des minorités en bonne French-Pea-Soup* de service, montrer combien elle n'était pas raciste ou xénophobe, ou une nationaliste du Québec, cette place de colons qui existe quelque part à l'extérieur du Plateau.(* Le rôle du French-Pea-Soup de service, elle ou Coderre, ou Trudeau, est de faire croire aux Québécois que Montréal est toujours une ville québécoise, c'est la fiction, et que ce sont toujours des francophones qui administrent le bled immigrant communautaire communautariste...)
Les Plateauistes ont encore quelques belles années devant eux, le temps que le reste du Québec s'aperçoive que les médias de Montréal entretiennent encore la fiction que l'ancienne ville du Québec, où la population a été remplacée, fait encore partie de la nation virtuelle du Québec.
Dans peu de temps, les Plateauistes (Marc, Rebecca, Anne-Marie, Guy A., Catherine, etc.) seront aussi remplacés et la nouvelle population ne se gênera pas pour les humilier, les traiter de haut.
Dans le meilleur des cas, le mal restera circonscrit à Montréal, Laval et toutes les banlieues autour de Montréal. Dans le pire des cas, il va se répandre à Québec qui commence aussi à avoir ces quartiers ethnicisés et colorés. D'où l'élection de deux députés de Cul-S dans la belle ville de Québec.
Les souverainistes qui s'illusionnent que tous ces néo-Québécois qui ne seront jamais Québécois ou si peu vont accepter la souveraineté sans penser à la partition du Québec devraient peut-être se réveiller. Et on peut en dire autant des Premières Tribus Casse-couilles, à l'exception de quelques municipalités (comme celle des Hurons-Wendats) dont la sympathie pour les Québécois est proportionnelle à l'intérêt qu'ils y trouvent.
La partition du Québec peut paraître terrible, mais si les Québécois peuvent se débarrasser de toutes ces communautés communautaires, de Xavier Camus, de Guy A., des emmerdeurs Mohawks, des mafias, des gangs de rue, des religions exotiques, des libérastes, on ne pourra que s'exclamer avec Couillard : Allah Ackbar !
Au fond, la partition du Québec ne sera que le passage à la réalité de ce qui est déjà une réalité tue. On le voit maintenant avec la crise du coronavirus : le tiers-monde de Montréal est particulièrement atteint et ce sont les Québécois qui doivent jouer les médecins, en plus on reproche à Legault de ne pas parler les langues de la diversité et de ne pas être un Noir africain pour plaire aux "racisés". la nouvelle appellation des antiracismes qui voient des races partout.
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