mercredi 29 janvier 2020

Pourquoi le féminisme est voué à l'échec (texte évolutif)

Le problème du féminisme, qui radote sur les mêmes thèmes depuis 40 ans, vient de ses bases, de son fond de marxisme appliqué aux relations entre les sexes. En gros, on pense changer la nature humaine, mais celle-ci échappe toujours aux néo-conditionnements qu'on cherche à imposer à l'école, dans les médias.
Ce changement de paradigme peut fonctionner en partie dans une société fermée, homogène, en contrôlant tout à la manière d'un soviétisme qui ne dit pas son nom. D'une part, il y aura toujours des failles ; d'autre part, un apport extérieur comme l'immigration d'individus avec d'autres systèmes de valeurs fout tout en l'air.

Le meilleur exemple de cette dernière faille, en particulier, est la Suède où l'immigration forcée a fait augmenter le niveau de viol et de crimes sexuels à un des plus hauts en Europe. Vous vous rendez compte? Le pays par excellence de la sociale-démocratie, du féminisme pointilleux et maniaque qui oblige les garçons à jouer aux poupées et à uriner assis (j'exagère un peu ici pour les besoins de la démonstration).

Ainsi, on en est venu dans ce pays à organiser des concerts où les mâles sont exclus parce qu'il y avait des groupes de jeunes immigrés qui s'en prenaient aux filles.

Évidemment, il est interdit de nommer ces choses dans ce pays qui pratique une forme de censure très pernicieuse, comme je l'écrivais plus haut, c'est du soviétisme qui ne dit pas son nom, une forme "soft". Les médias diffusent les mêmes vérités par des journalistes gauchistes qui pensent tous de la même façon.

Je lis trois tweets du regroupement féministe PDF (Pour le droit des femmes).

C'est un mouvement qui se veut modéré et qui évite d'être anti-hommes, en théorie.

Un des tweets nous invite à signer une pétition contre la violence faite aux femmes. En quoi, la signature d'une pétition peut-elle arrêter la violence faite aux femmes? Ce qu'on nous demande est de faire une démarche simple pour prendre conscience de cette violence et la prévenir. Comment?

Quel est l'être de bonne volonté qui ne voudrait pas éradiquer toute forme de violence?

On ajoute souvent la violence faite aux femmes et aux enfants. Voilà qui devrait attendrir le plus dur des hommes ! Mais n'est-ce pas une exploitation de l'innocence des enfants? Qui voudrait s'en prendre à des enfants, des êtres vulnérables par définition?

Je pense à ces publicités où on nous invite à donner un certain montant d'argent à chaque mois en nous montrant des miséreux d'un pays en guerre ou en faillite économique. Et il y a des mouches qui volent autour du chérubin crasseux ou à moitié nu.

On peut penser aussi à ces films américains où le héros ou l'héroïne doit sauver un enfant des mains d'un infâme individu ou d'une situation difficile. C'est un scénario qui est assez fréquent et qui est efficace.

Il y a un mot pour cela : exploitation ! On exploite votre sensibilité.

Un autre tweet de PDF qui nous informe qu'il y a un "féminicide" (nouveau mot) par mois. C'est déplorable ! Autrefois on disait homicide, le mot homme étant compris comme un générique du mot humain et incluait évidemment femmes et hommes et enfants.

N'est-ce pas une façon de nous culpabiliser plus ou moins subtilement? Oui, c'est déplorable. En quoi suis-je responsable du meurtre des femmes? Celui qui le commet n'a pas la conscience pour ne pas passer à l'acte, et moi j'ai déjà la conscience pour ne pas assassiner un individu, homme ou femme, et même un animal de façon gratuite (si ce n'est pas pour me nourrir).

Enfin, un autre tweet pour dénoncer la richesse et le traitement inégal réservé aux femmes. Dans le féminisme, il y a toujours eu une forme d'anti-capitalisme, révélant peut-être le fond marxisme de cette idéologie? En revanche, on souhaiterait que les femmes gagnent le même salaire que les hommes. Le communisme n'a jamais créé les conditions qui permettraient une forme d'abondance. On pourrait même faire remarquer que le féminisme a fleuri au sein des démocraties occidentales parce que le capitalisme a permis à des femmes de s'émanciper et de revendiquer des droits qui n'existent pas dans les pays où on gagne à peine de quoi survivre.

Bref, il me semble que la spécificité du féminisme relève d'une vision parcellaire de la société et qu'il aboutit souvent à une forme de chantage émotif, une méfiance envers les sexes, à l'appel incessant de mesures gouvernementales qui essaient de boucher les trous d'un tonneau des Danaïdes qui s'appelle la vie et qui échappe à toute idéologie.

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