Depuis le Non au référendum de 1980, le Québec se complaît dans une conduite d'évitement.
Cependant, l'Histoire semble lui remettre le nez dans sa destinée.
Ainsi, il a subi la tromperie de Pierre Elliot Trudeau en 1982, celle du référendum volé de 1995.
Il a été humilié par le refus de Meech, par la bravade terroriste des Mohawks.
S'entêtant à refuser d'élire un parti nationaliste, il a revoté pour le parti le plus corrompu
de l'Histoire du Québec, un "gang de pourris" comme le qualifiait François Legault de la CAQ.
Vraisemblablement, la CAQ a de bonnes chances d'être élue en 2018.
Qui ne serait pas heureux de voir disparaître le PLQ, de voir ce parti rayé de la carte?
Il ne le sera pas complètement, mais il sera condamné à devenir le parti des non-Québécois, des fédéralistes inconditionnels.
Quant à la CAQ, elle constituera sans doute un moindre mal. Toutefois, elle sera encore
un chemin détourné pour refuser la voie royale qui aurait pu conduire le Québec à la liberté.
Elle s'occupera des "vraies affaires" de l'économie, cette science approximative qui épate
les imbéciles.
Le Québec pourra-t-il encore longtemps refusé son destin avant d'être noyé par l'immigration et
les forces du multiculturalisme?
Le "ça ne pourra pas toujours ne pas arriver" de Gaston Miron pourrait ne pas toujours arriver...
mardi 3 octobre 2017
jeudi 21 septembre 2017
L'avenir du travail... c'est trop dur, mais voler...
Il y a plein d'endroits dans le monde où les gens ont des vies de misère, à travailler comme des chiens.
Mais certaines sociétés ont besoin de se développer. Leurs rues ne sont pas pavées. Il n'y a pas de magasin. Ça pue.
Haïti, par exemple. Il y a des gens qu'ils l'ont, d'autres pas.
Pourquoi nous sommes-nous développés ici?
Nos ancêtres ont travaillé fort. Nous l'oublions parfois.
Conjugués au dynamisme commercial du monde anglo-saxon? Peut-être. Mais les Français ou les Espagnols, les Portugais et les Hollandais à une autre époque, étaient aussi industrieux.
D'après ceux qui considèrent le QI, les Européens n'ont pas le plus gros QI, pourtant ils ont presque tout inventé de ce qui fait le monde contemporain.
Les États-Unis, qui ont dominé le vingtième siècle, sont aussi une variante de l'Europe.
Il y a toujours deux côtés à une médaille. Malgré ses inconvénients, le capitalisme a amélioré la vie ordinaire. Il n'y a qu'à considérer le prolongement de la durée de la vie.
Il est si efficace qu'il produit une réserve de main-d'oeuvre.
On commence à penser au revenu universel (c'est en Norvège ou en Finlande qu'on a tenté l'expérience?). Le candidat Bernard Hamon a amené l'idée en France à la dernière élection présidentielle.
Chaque personne aurait 1000 dollars, disons, qu'elle travaille ou non.
jeudi 31 août 2017
La fin des anftifas?
La manif du 20 août 2017 à Québec est-elle la manif de trop pour les antifas?
C'est peut-être la fin pour ces zombies noirs. Ces prédateurs qui chassent en groupe comme des
hyènes sales. Ces terroristes qui servent aussi d'idiots utiles au multiculturalisme, au globalisme et à
l'islamiste.
La mascarade est terminée.
Les Québécois, en général, ont une répugnance face à la violence politique.
Cela les honore dans un monde où la vie humaine est si peu respectée (même si, historiquement,
intrinsèquement? la violence est inhérente à la politique).
La violence que les Québécois ont vu à la télé ou sur les médias sociaux leur a donné la nausée.
La manif du 20 août 2017, à Québec, a constitué un recul sans précédent des libertés.
On a vu, d'une part, une attaque de la démocratie puisque les antifas et leurs sympathisants ont voulu
empêcher, par la violence, un autre groupe de citoyens de manifester pacifiquement.
D'autre part, on a été aussi témoin de scènes qui appartiennent aux pires périodes de l'Histoire:
le lynchage, l'intimidation, la brutalité, la stigmatisation des individus, les passages à tabac en bande
organisée.
Voir des vieilles personnes qui se font agresser par une horde de sauvages a répugné la majorité des
Québécois.
Trop, c'est trop. Assez, c'est assez.
C'est probablement la fin pour les antifas qui ont commencé à sévir depuis un certain nombre
d'années au Québec, et, de façon plus visible, depuis 2012.
Hors de Montréal, déjà, ils n'avaient point de salut.
Leur sortie dominicale à Québec, une ville de droite, va peut-être leur être fatale et même à Montréal.
Ils ne seront jamais plus jamais considérés de la même façon même par l'intelligentsia complaisante
des médias qui les voyaient jusqu'à maintenant comme des jeunes révoltés, presque sympas.
Non, les masques sont tombés. Ces staliniens ont montré leur vrai visage. Les antifas sont des
fascistes de la pire espèce.
Une démocratie ne peut tolérer ces groupuscules sans verser dans l'anarchie et la violence.
S'ils ont pu jouer jusqu'à maintenant les idiots utiles du PLQ, maintenant l'opinion publique va forcer
les pantins fédérastes de ce parti à poursuivre devant la justice les méfaits de ces révolutionnaires de
sous-sol.
Si les extrémistes de gauche ne sont pas arrêtés maintenant par les gouvernements, d'autres groupes
adverses vont vouloir en découdre.
Nous ne sommes pas toutes de vieilles personnes frêles qui endurent les coups et l'humiliation sans
se défendre.
C'est peut-être la fin pour ces zombies noirs. Ces prédateurs qui chassent en groupe comme des
hyènes sales. Ces terroristes qui servent aussi d'idiots utiles au multiculturalisme, au globalisme et à
l'islamiste.
La mascarade est terminée.
Les Québécois, en général, ont une répugnance face à la violence politique.
Cela les honore dans un monde où la vie humaine est si peu respectée (même si, historiquement,
intrinsèquement? la violence est inhérente à la politique).
La violence que les Québécois ont vu à la télé ou sur les médias sociaux leur a donné la nausée.
La manif du 20 août 2017, à Québec, a constitué un recul sans précédent des libertés.
On a vu, d'une part, une attaque de la démocratie puisque les antifas et leurs sympathisants ont voulu
empêcher, par la violence, un autre groupe de citoyens de manifester pacifiquement.
D'autre part, on a été aussi témoin de scènes qui appartiennent aux pires périodes de l'Histoire:
le lynchage, l'intimidation, la brutalité, la stigmatisation des individus, les passages à tabac en bande
organisée.
Voir des vieilles personnes qui se font agresser par une horde de sauvages a répugné la majorité des
Québécois.
Trop, c'est trop. Assez, c'est assez.
C'est probablement la fin pour les antifas qui ont commencé à sévir depuis un certain nombre
d'années au Québec, et, de façon plus visible, depuis 2012.
Hors de Montréal, déjà, ils n'avaient point de salut.
Leur sortie dominicale à Québec, une ville de droite, va peut-être leur être fatale et même à Montréal.
Ils ne seront jamais plus jamais considérés de la même façon même par l'intelligentsia complaisante
des médias qui les voyaient jusqu'à maintenant comme des jeunes révoltés, presque sympas.
Non, les masques sont tombés. Ces staliniens ont montré leur vrai visage. Les antifas sont des
fascistes de la pire espèce.
Une démocratie ne peut tolérer ces groupuscules sans verser dans l'anarchie et la violence.
S'ils ont pu jouer jusqu'à maintenant les idiots utiles du PLQ, maintenant l'opinion publique va forcer
les pantins fédérastes de ce parti à poursuivre devant la justice les méfaits de ces révolutionnaires de
sous-sol.
Si les extrémistes de gauche ne sont pas arrêtés maintenant par les gouvernements, d'autres groupes
adverses vont vouloir en découdre.
Nous ne sommes pas toutes de vieilles personnes frêles qui endurent les coups et l'humiliation sans
se défendre.
dimanche 27 août 2017
Un film d'Éric Rohmer d'avant le Grand Remplacement
"L'amour l'après-midi", d'Éric Rohmer. Un film de 1972 tourné en 16 millimètres à Paris.
Copmme c'est curieux, comme c'est étrange, on n'y voit que des Français!
Le film a été tourné avant le Grand Remplacement.
Alors, pas de Salah, d'Abdelhamid, de Dieudonné, d'Aïcha, même pas une touche d'exotisme des territoires d'outre-mer. Pas de kamis, pas de djellabas,
pas de mémés voilées du désert.
Quel soulagement ! Quel repos !
L'Ocident dans toute sa splendeur et dans toutes ses contradictions morales que Rohmer avait le grand talent d'explorer.
La France de 1972, post-68, assez différente de celle de chez Ma nuit chez Maud (photo).
Moins cultivée peut-être. Moins référentielle.
Celle qui joue la tentatrice pourrait tout aussi bien appartenir à un de ces films de cul français avec Brigitte Lahaie.
Elle n'est pas vraiment jolie, même un peu vulgaire.
Elle se dit paumée.
Bref, pour faire une histoire courte, la morale est sauve à la fin.
Ce n'est pas un de ses meilleurs films. Il manque le charme habituel, la légèreté du marivaudage.
Mais quand même.
La télé française de TVO est un refuge de cinéphiles.
Comme c'est curieux cette résistance culturelle des Francos-Machins et ce retour à nos racines françaises.
Je ne suis plus sûr que ce soit le cas aujourd'hui, mais la France a déjà été une grande culture (c'est aussi notre culture).
Elle a de beaux restes.
On voit mal comment elle pourra revenir à ce qu'elle a déjà été.
Les Français en sont nostalgiques (et nous aussi). Ils ont raison.
Note : Ma nuit chez Maud est de 1969. Je croyais que c'était plus vieux.
samedi 26 août 2017
Notes pour un post mortem souverainiste
"Dans la grande chaîne de la vie,
Où il fallait que nous passions,
Où il fallait que nous soyons,
Nous aurons eu la mauvaise partie"
Quand Les Hommes Vivront D'amour - Raymond Levesque
Est-il trop tôt pour faire le post mortem de la souveraineté du Québec?
Attendons les élections.
Comme le disait Falardeau, les peuples meurent lentement, mais l'agonie est longue.
D'ailleurs, meurent-ils vraiment?
Nos Autochtones, par exemple, ont encore la volonté de vivre de façon comme peuples distincts.
S'ils se regroupaient, ils formeraient une masse qui pourraient vraiment former une nation et non pas
une diaspora de tribus disparates, ce qui était le mode anthropologique de leur organisation sociale.
Mais les Québécois vieillissent. Ils se reproduisent peu.
J'entends par Québécois, ceux de souche et ceux de branche (jolie expression) parce que notre
nationalisme ne repose pas sur la race, mais plutôt sur la culture.
Peut-être qu'un jour, il faudra se résoudre à tourner la page et à ne plus souffrir
d'avoir raté la marche en 1980.
À mon avis, le référendum de 1980 a été le moment déterminant dans l'aventure souverainiste.
Tout était prêt : le grand homme, le bon gouvernement, les artistes, la démographie...
C'était le moment parfait pour franchir le Rubicon,pour ne pas avoir peur de l'inconnu, pour se
prendre en main, pour s'assumer pleinement et toutes les autres expressions qui signifient le
dépassement, la soif d'aventures, le goût d'être libres et de suivre sa destinée avec foi et courage.
Mais un sage dirait : à quoi bon remuer le passé?
À quoi bon vouloir changer ce qui ne peut et veut pas changer.
Peut-on libérer un peuple contre sa volonté?
D'ailleurs de quel peuple parle-t-on?
L'immigration qu'on nous inflige se sent canadienne et une partie des Québécois est fédéraliste ou est
de nulle part en train d'écouter le Superbowl à la télé..
Il n'y a plus le nombre.
La politique, c'est la démographie.
Ouais, un jour, il faudra s'y résoudre et ne plus souffrir de ce qui semble être une insulte à
l'intelligence : notre existence d'esclaves et statut de citoyens de quatrième catégorie (nous venons
après le WASP, l'Autochtone, l'immigrant).
Si un Québécois se définit comme souverainiste, c'est qu'il croit que dans un Québec souverain
les Québécois auraient été plus riches, plus heureux, plus dynamiques.
S'ils ne le deviennent pas, ce sera tant pis pour nous.
Comme individu, comme couple, comme famille, nous en prendrons note et nous irons vivre
ailleurs : ailleurs dans un autre pays, ou ailleurs dans notre tête, loin du brouhaha de l'actualité, des
chaînes continues d'infos qui alimentent incessamment cette tension historique
qui finit par former une sorte de fiction.
La fiction du Québec qui fonce dans le mur.
"Faut que je me pousse
Y a rien à faire
Toute me donne la frousse
Je mène un train d'enfer
Je sais pas si c'est moé
Qui est trop petit
Peut-être ben que l'amour est morte
Elle avait des ongles rouges
Des yeux pleins d'or à fou
Ç'a été de valeur qu'à jouze
Vouloir me mettre à genoux
Asteure faut que le me recouse le coeur
Y est patché plein de trous"
Gerry Boulet
Paroles Faut Que Je Me Pousse
vendredi 25 août 2017
La quantité devient une qualité à partir d'un certain nombre ou la reproduction humanoïde...
Le comédien Gérard Darmon, 69 ans, est de nouveau papa. Qui est Gérard Darmon? Sauf si on est un admirateur de la France et de ses talks-shows (il était souvent invité par Ardisson), il y a des chances qu'on ne sache pas qui il est. Peut-être qu'on le connaît de vue si on aime le cinéma (37,2, le matin, film des années 80 de Beinex).
Bref, tout ça pour dire que, malgré l'âge, un homme peut avoir l'occasion de "disperser" son patrimoine génétique.
Mais pour quoi faire? De quel droit ? Gérard Darmon est-il un génie cosmique?
S'il fallait être un génie pour avoir le droit de se reproduire, nous ne serions pas ici !
La nature compte sur la quantité pour qu'à un moment une mini-pépite émerge du tamis : une sur dix milliards de grains de sable qui retourneront à la mer.
À partir d'un certain nombre, a écrit quelqu'un, la quantité devient une qualité (phrase qui demande réflexion pour la piger).
D'ailleurs, le génie ne prouve rien, car les enfants de génie s'illustrent rarement à l'ombre de leurs ultra-intelligents géniteurs (père et mère, ou père ou mère), souvent écrasés par le poids de la renommée.
Stng a combien d'enfants? (Si on présume que Sting est génial!) Picasso a eu une belle descendance qui s'est fait connaître ... en gérant ce lourd héritage financier et artistique.
mardi 22 août 2017
Courage et bon vent aux futurs universitaires !
À la fin du mois d'août, j'ai toujours une pensée pour ceux et celles qui commencent leur cursus universitaire. Souvent, c'est avec un mélange d'angoisse... et d'angoisse... Non, d'enthousiasme dans le meilleur des cas (l'apanage de la jeunesse), ou de fébrilité, ou d'appréhension.
C'est long un bac ! Beaucoup d'allers-retours.
Évidemment, jeune, on n'a pas la même perception du temps que plus âgé.
Bonnes études !
C'est long un bac ! Beaucoup d'allers-retours.
Évidemment, jeune, on n'a pas la même perception du temps que plus âgé.
Bonnes études !
jeudi 17 août 2017
Le mythe de Montréal territoire Mohawks
"(...) territoire traditionnel et non cédé des Kanien’keha:ka (Mohawks). L’île connue sous le nom de “Montréal” est désignée “Tiotia:ke” dans la langue des Kanien’keha:ka. Il s’agit d’un site qui a longtemps servi de lieu de rencontre et d’échanges entre les nations, y compris le peuple Algonquin. »
Les Anishnabe contestent avec raison cette revendication mohawk. Le territoire traditionnel des Mohawks est situé dans le nord de l’État de New York. Au Québec, les Mohawks sont eux-mêmes des migrants. Les ancêtres de la population actuelle sont arrivés au Québec après la fondation de Montréal.
Le site de la communauté attikamek de Wemotaci indique combien doux étaient les Iroquois-Mohawks dont se revendiquent nos gens de la gauche régressive (et notez la provenance des Iroquois-Mohawks qui est clairement mentionnée) :
« Vers 1670-1680, une épidémie de petite vérole anéantit la tribu des Attikamègues; ceux qui survivent sont massacrés par les Iroquois, peuple conquérant venu du nord des États-Unis. »
Je conseille à ceux qui veulent en savoir plus la lecture de Les Iroquoiens du Saint-Laurent. Le Peuple du maïs, de Roland Tremblay (Éditions de l’Homme, 2006)."
https://francoisdoyon.com/2017/08/17/jai-honte-de-fierte-canada-montreal-2017/
http://revue.leslibraires.ca/nos-libraires-craquent/essai-quebecois/les-iroquoiens-du-saint-laurent-le-peuple-du-mais
Mon Régis, ta ville est trop Blanche !
Prendre l'autobus et croiser de plus en plus l'Afrique.
La mémé du désert avec son voile qui veut témoigner de sa pseudo religion, fondée par un violeur, un voleur, un sociopathe.
Respect ! C'est tellement une belle civilisation ! (Pas un écrivain, pas un musicien ! Pas un peintre ! Ou presque. Célébré universellement.)
Ils ne seraient pas ici si leurs pays n'étaient pas dans le chaos! Chaos qu'ils recréent partout où ils vont.
La "diversité" a pratiquement tué la France, la Suède, avec la complicité des élites capitalistes, le plus souvent, qui ont besoin de main-d'oeuvre à bon marché.
Ensuite, la présence de la "diversité" est justifiée par des discours culpabilisants si le peuple essaie de s'y opposer.
On lui dira qu'il a la haine et que le racisme est laid.
On dénoncera l'extrême-droite ou on la manipulera.
Et les idiots utiles de l'extrême-gauche iront contre manifester.
Bref, après la France, c'est le Québec.
Qu'ils soient Haïtiens est peut-être un moindre mal : même langue (créole?), même religion (vaudou?).
Les Québécois veulent en échange : un territoire québécois à Haïti pour aller se bronzer pendant l'hiver, la double nationalité et le droit de vote. Ben quoi !
mardi 8 août 2017
Le Canada : un État post-national?
Le Canada : un État post-national?
Pendant longtemps, le Canada n'avait pas de personnalité.
Il arrivait mal à se démarquer sur la scène internationale.
La puissance des États-Unis, son dynamisme, le faisait paraître comme un sous-produit du monde
anglo-saxon qui distillait un ennui bourgeois telle une rue de Westmount le dimanche. l'hiver, à
15h33.
Après la Deuxième Guerre Mondiale, il n'avait même pas réussi à obtenir un siège au Conseil de
Sécurité.
Tout au plus, soulignait-on son rôle de médiateur dans les conflits mondiaux, suite à la création des
Casques bleus par par le ministre canadien des Affaires étrangères, Lester Bowles Pearson.
Depuis, c'est le rôle qu'il aime jouer : le bon gars un peu épais sur qui on peut compter.
Me André Sirois, fonctionnaire à l'ONU, disait que le Canada était la bonne poire, le pigeon, qui
allongeait le fric : des sous pour les réfugiés, contre la faim dans le monde, pour le droit aux filles
d'étudier, etc.
Le mouvement souverainiste québécois a amené le Canada à se définir, même en négatif.
Depuis, pour neutraliser le Québec, pour tuer dans l’œuf toute volonté nationaliste, il s'est forgé une
personnalité : celle de prétendre ne pas en avoir !
Le Canada est-il vraiment devenu un état post-national?
Non, pas vraiment. Il nie seulement la nation québécoise et la nation anglo-saxonne (dans ce dernier
cas, seulement en apparence!).
Il a reconnu un grand nombre de nations autochtones, par exemple, et il promeut
constitutionnellement le multiculturalisme depuis 1982.
Donc, le dernier immigrant arrivé de son pays dysfonctionnel, en descendant de l'avion, peut
continuer à célébrer la vision idyllique qu'il a de l'enfer qu'il a fui.
Toi, Mohammed, toi Bamboula, toi Aïcha, toi avec le truc bizarre sur la tête, le Canada aime
ta nation ! Organise ton festival, le premier ministre pourra se déguiser !
Bref, le Canada est-il post-national?
Non, il est plutôt pluri-national au carré, au cube, à la puissance 100, à la puissance du nombre de
pays, de tribus, de "minorités" qui existent sur la Terre !
Une plume dans le cul, un turban sur la tête, une chatte excisée, une bizoune coupée, un hidjab, une
burqa : il prend tout la grosse pute, il accepte tout ou presque !
Si Claude Lévis-Strauss avait eu besoin d'un proxénète du relativisme culturel, le Canada se serait
porté volontaire.
Mais, en fait, il ne faut pas se leurrer, le Canada est encore une nation anglo-saxonne dans l'âme qui
joue à ne pas l'être.
L'Anglo-Saxon est un aristocrate qui accepte toutes les communautés, mais de loin, dans des réserves
folkloriques.
On a vu la reine d'Angleterre, parfaitement à l'aise avec des Zoulous ou d'autres cultures exotiques à
la National Geographic.
La tradition continue dans les pays vassaux de sa majesté, comme le Canada, et permet de globaliser
la vie internationale au service des élites mondialisées qui aiment bien essayer de nouveaux
restaurants..
Quand la nation québécoise sera devenue folklorique, une autre Louisiane, il commencera sans
doute, avec le vague sentiment de culpabilité de l'avoir anéantie, à célébrer sa culture de plus en plus
évanescente, comme il le fait maintenant avec les Autochtones.
Le Québec sera respecté poliment comme on respecte les gens pour qui on n'a aucune considération
sincère et que l'on prend en pitié.
Pendant longtemps, le Canada n'avait pas de personnalité.
Il arrivait mal à se démarquer sur la scène internationale.
La puissance des États-Unis, son dynamisme, le faisait paraître comme un sous-produit du monde
anglo-saxon qui distillait un ennui bourgeois telle une rue de Westmount le dimanche. l'hiver, à
15h33.
Après la Deuxième Guerre Mondiale, il n'avait même pas réussi à obtenir un siège au Conseil de
Sécurité.
Tout au plus, soulignait-on son rôle de médiateur dans les conflits mondiaux, suite à la création des
Casques bleus par par le ministre canadien des Affaires étrangères, Lester Bowles Pearson.
Depuis, c'est le rôle qu'il aime jouer : le bon gars un peu épais sur qui on peut compter.
Me André Sirois, fonctionnaire à l'ONU, disait que le Canada était la bonne poire, le pigeon, qui
allongeait le fric : des sous pour les réfugiés, contre la faim dans le monde, pour le droit aux filles
d'étudier, etc.
Le mouvement souverainiste québécois a amené le Canada à se définir, même en négatif.
Depuis, pour neutraliser le Québec, pour tuer dans l’œuf toute volonté nationaliste, il s'est forgé une
personnalité : celle de prétendre ne pas en avoir !
Le Canada est-il vraiment devenu un état post-national?
Non, pas vraiment. Il nie seulement la nation québécoise et la nation anglo-saxonne (dans ce dernier
cas, seulement en apparence!).
Il a reconnu un grand nombre de nations autochtones, par exemple, et il promeut
constitutionnellement le multiculturalisme depuis 1982.
Donc, le dernier immigrant arrivé de son pays dysfonctionnel, en descendant de l'avion, peut
continuer à célébrer la vision idyllique qu'il a de l'enfer qu'il a fui.
Toi, Mohammed, toi Bamboula, toi Aïcha, toi avec le truc bizarre sur la tête, le Canada aime
ta nation ! Organise ton festival, le premier ministre pourra se déguiser !
Bref, le Canada est-il post-national?
Non, il est plutôt pluri-national au carré, au cube, à la puissance 100, à la puissance du nombre de
pays, de tribus, de "minorités" qui existent sur la Terre !
Une plume dans le cul, un turban sur la tête, une chatte excisée, une bizoune coupée, un hidjab, une
burqa : il prend tout la grosse pute, il accepte tout ou presque !
Si Claude Lévis-Strauss avait eu besoin d'un proxénète du relativisme culturel, le Canada se serait
porté volontaire.
Mais, en fait, il ne faut pas se leurrer, le Canada est encore une nation anglo-saxonne dans l'âme qui
joue à ne pas l'être.
L'Anglo-Saxon est un aristocrate qui accepte toutes les communautés, mais de loin, dans des réserves
folkloriques.
On a vu la reine d'Angleterre, parfaitement à l'aise avec des Zoulous ou d'autres cultures exotiques à
la National Geographic.
La tradition continue dans les pays vassaux de sa majesté, comme le Canada, et permet de globaliser
la vie internationale au service des élites mondialisées qui aiment bien essayer de nouveaux
restaurants..
Quand la nation québécoise sera devenue folklorique, une autre Louisiane, il commencera sans
doute, avec le vague sentiment de culpabilité de l'avoir anéantie, à célébrer sa culture de plus en plus
évanescente, comme il le fait maintenant avec les Autochtones.
Le Québec sera respecté poliment comme on respecte les gens pour qui on n'a aucune considération
sincère et que l'on prend en pitié.
Les grands tabous au Québec
Les grands tabous au Québec
C'est-à-dire les sujets dont on ne discute pas ou peu ou qu'on a passés sous silence depuis des décennies.
1) Les Yvettes de 1980. Le féminisme de droite (les Yvettes), et le féminisme de gauche peu intéressé par la question nationale (voir le numéro de La Vie en Rose qui a suivi le référendum), ont empêché le Québec d'accéder à son indépendance. Ce lien essentiel entre les sexes, qui a été rompu par cette idéologie, est sans doute un des grands symptômes de la crise de civilisation des sociétés occidentales. Donc ce n'est pas particulier au Québec, on le voit, entre autres, en Suède. Quand ceux qui devraient être des partenaires sont perçus comme étant des ennemis de l'intérieur, il devient difficile de résister aux agressions de l'extérieur: la pensée socialisante du féminisme a aussi tendance à être pro-multiculturelle. Nos sociétés en sont revenus de l'extrémisme idéologique du féminisme (en partie), mais pour le Québec, le mal est fait. Peut-être que les historiens du futur y verront un moment signifiant de notre histoire ou peut-être que ce sujet restera un tabou.
2) Les """"""nations""""" autochtones. Gros con Canada a tellement voulu empêcher la souveraineté du Québec qu'il a manigancé la partition du territoire québécois en accordant un statut de nation à une cinquantaine de tribus, qui, depuis, ne se peuvent plus et envisagent déjà une complète autonomie. Que ces nations soient constituées sur la base d'une appartenance raciale ne semble déranger à peu près personne. Quand on mentionne la souveraineté du Québec, il y a toujours quelqu’un pour nous affirmer que les Québécois sont des immigrants, comme s'il n'y avait pas une distinction entre des colonisateurs et des immigrants.
Il n'y avait rien au Québec avant l'arrivée des Français, en arrivant ils ont créé le droit et ils ont créé la notion de nation qui ne faisait pas partie de la réalité anthropologique de ces tribus.
Je me réfère ici à l'historien français de l'Afrique, Bernard Lugan, qui pourrait certainement nous éclairer sur cette question parce que les historiens et les anthropologues québécois sont tellement pétris de respect envers leur objet d'études qu'ils ne sauraient nous éclairer sur cette question.
Je passe sur les mœurs de ces merveilleux autochtones pour ne pas enfoncer le clou...
Si les Français n'avaient pas colonisé la Nouvelle-France, ils feraient encore caca dans les buissons. Bien sûr, si vous auriez aimé vivre à l'âge de la pierre, votre nostalgie se comprend.
3) Les gangs de rue de Montréal-Nord. Qui sont-ils? On les connaît un peu. Pas une semaine, parfois à tous les deux jours, sans qu'un type se fasse poignarder. Les journaux parlent de faits divers, événement de peu d'importance? Si le poignardé survit, il refuse de collaborer avec la police ("ces racistes!") la plupart du temps.
Ces gangs pourrissent leur quartier, mais il ne faut pas le dire, le montrer.
Je vais à Montréal depuis 2002, quelques jours par année, et les deux fois où j'ai craint pour ma sécurité comme par hasard... Une ville où on évite de regarder les gens dans les yeux dans le métro, est-elle la ville du mythique "vivre ensemble"? Je ne pense pas. Et si vous allez vous promener dans Montréal-Nord, ne portez pas de bleu ou de rouge...
4) Saint Dany Laferrière. Pour continuer dans la même teinte (?). Très apprécié à "Tout le monde en parle" pour remplir les quotas prévus pour la diversité ; moins aimé par les souverainistes parce qu'on ne l'a jamais entendu dire quelque chose de positif sur le Québec (je peux me tromper), exprimer une quelconque gratitude. On ne lui demande pas de se mettre à genoux!
Quand il a eu du succès, il est allé vivre en Floride, jouer les Américains, pour s'extasier sur son "américanité" (du vent!), un Elvis Gratton de luxe qui pense au-dessus de ses moyens. Autrement dit, il était de passage au Québec, c'était un touriste. "Nous sommes tous des Québécois", répète le couillon à Couillard, mais qu'est-ce que Laferrière a de Québécois? On se le demande encore.(Un peu comme Arcade Fire !)
Son récit sur le tremblement de terre de 2010 à Haïti est savoureux. Il avait son passeport canadien dans le cou et il a sauté dans le premier avion disponible, laissant sa maman... se débrouiller?... Brave, le mec!
Ensuite, il s'est paré dans la posture du grand écrivain qui doit témoigner. Lui, soulever des pierres pour retrouver des survivants? Que nenni !
Élection à l’Académie française. Vous voyez comment la colonisation française d'Haïti a eu du bon ! Ses lycées étaient les meilleurs. Depuis, Haïti n'a pas pris du mieux...
Je ne peux m'empêcher de penser que son élection a aussi une raison politique. C'est bien pour l'Académie d'avoir un représentant de la diaspora francophone.
Un Noir en plus pour bien monter l'ouverture ethnique des Académiciens...
5) La circoncision. Je vais essayer de faire court, de couper dans le vif du sujet (?!!!). Voilà une question qui peut vous faire passer pour antisémite. Cela m'est arrivé sur les réseaux sociaux. J'ai eu le malheur de remettre en question ce rituel sadique et une personne connue à une époque (O. R. : je tairai son nom) m'est tombé dessus. C'est aussi arrivé à une candidate péquiste qui exprimait les mêmes réserves sur cette violation de l'intégrité physique d'un individu, d'un enfant? à qui on ne demande pas la permission (si vous avez dix-huit ans, c'est votre problème).
L'excision soulève de l'indignation avec raison, pourquoi la circoncision est-elle passée sous silence comme si les petits garçons ne valaient pas la peine qu'on s'occupe d'eux?
Dans quelle condition est-elle pratiquée? Qui paye pour cette barbarie, si elle se fait dans une clinique? Elle touche quelles groupes?
6) Les francophones hors-Québec. Les Acadiens, les Francos-Ontariens-Manitobains-Albertains, tous les Francos-Machins. Les a-t-on déjà entendus exprimer une solidarité quelconque avec le Québec? Se prononcer pour l'indépendance du Québec? Penser à immigrer au Québec pour augmenter le nombre de francophones au Québec?
Dans "La Petite Noirceur" de Jean Larose, il soutient que les Acadiens ont un sentiment de supériorité envers les Québécois. Vrai ou faux? Mais on peut remarquer à quel point ils sont fiers de parler anglais sans accent, comme de vrais colonisés quoi. Le stade supérieur de la colonisation : être fier de ne pas avoir l'accent québécois comme Eugénie Bouchard.
(Photos : de fraîche actualité, déjà ils ont leur couleur, rouge et noir.)
C'est-à-dire les sujets dont on ne discute pas ou peu ou qu'on a passés sous silence depuis des décennies.
1) Les Yvettes de 1980. Le féminisme de droite (les Yvettes), et le féminisme de gauche peu intéressé par la question nationale (voir le numéro de La Vie en Rose qui a suivi le référendum), ont empêché le Québec d'accéder à son indépendance. Ce lien essentiel entre les sexes, qui a été rompu par cette idéologie, est sans doute un des grands symptômes de la crise de civilisation des sociétés occidentales. Donc ce n'est pas particulier au Québec, on le voit, entre autres, en Suède. Quand ceux qui devraient être des partenaires sont perçus comme étant des ennemis de l'intérieur, il devient difficile de résister aux agressions de l'extérieur: la pensée socialisante du féminisme a aussi tendance à être pro-multiculturelle. Nos sociétés en sont revenus de l'extrémisme idéologique du féminisme (en partie), mais pour le Québec, le mal est fait. Peut-être que les historiens du futur y verront un moment signifiant de notre histoire ou peut-être que ce sujet restera un tabou.
2) Les """"""nations""""" autochtones. Gros con Canada a tellement voulu empêcher la souveraineté du Québec qu'il a manigancé la partition du territoire québécois en accordant un statut de nation à une cinquantaine de tribus, qui, depuis, ne se peuvent plus et envisagent déjà une complète autonomie. Que ces nations soient constituées sur la base d'une appartenance raciale ne semble déranger à peu près personne. Quand on mentionne la souveraineté du Québec, il y a toujours quelqu’un pour nous affirmer que les Québécois sont des immigrants, comme s'il n'y avait pas une distinction entre des colonisateurs et des immigrants.
Il n'y avait rien au Québec avant l'arrivée des Français, en arrivant ils ont créé le droit et ils ont créé la notion de nation qui ne faisait pas partie de la réalité anthropologique de ces tribus.
Je me réfère ici à l'historien français de l'Afrique, Bernard Lugan, qui pourrait certainement nous éclairer sur cette question parce que les historiens et les anthropologues québécois sont tellement pétris de respect envers leur objet d'études qu'ils ne sauraient nous éclairer sur cette question.
Je passe sur les mœurs de ces merveilleux autochtones pour ne pas enfoncer le clou...
Si les Français n'avaient pas colonisé la Nouvelle-France, ils feraient encore caca dans les buissons. Bien sûr, si vous auriez aimé vivre à l'âge de la pierre, votre nostalgie se comprend.
3) Les gangs de rue de Montréal-Nord. Qui sont-ils? On les connaît un peu. Pas une semaine, parfois à tous les deux jours, sans qu'un type se fasse poignarder. Les journaux parlent de faits divers, événement de peu d'importance? Si le poignardé survit, il refuse de collaborer avec la police ("ces racistes!") la plupart du temps.
Ces gangs pourrissent leur quartier, mais il ne faut pas le dire, le montrer.
Je vais à Montréal depuis 2002, quelques jours par année, et les deux fois où j'ai craint pour ma sécurité comme par hasard... Une ville où on évite de regarder les gens dans les yeux dans le métro, est-elle la ville du mythique "vivre ensemble"? Je ne pense pas. Et si vous allez vous promener dans Montréal-Nord, ne portez pas de bleu ou de rouge...
4) Saint Dany Laferrière. Pour continuer dans la même teinte (?). Très apprécié à "Tout le monde en parle" pour remplir les quotas prévus pour la diversité ; moins aimé par les souverainistes parce qu'on ne l'a jamais entendu dire quelque chose de positif sur le Québec (je peux me tromper), exprimer une quelconque gratitude. On ne lui demande pas de se mettre à genoux!
Quand il a eu du succès, il est allé vivre en Floride, jouer les Américains, pour s'extasier sur son "américanité" (du vent!), un Elvis Gratton de luxe qui pense au-dessus de ses moyens. Autrement dit, il était de passage au Québec, c'était un touriste. "Nous sommes tous des Québécois", répète le couillon à Couillard, mais qu'est-ce que Laferrière a de Québécois? On se le demande encore.(Un peu comme Arcade Fire !)
Son récit sur le tremblement de terre de 2010 à Haïti est savoureux. Il avait son passeport canadien dans le cou et il a sauté dans le premier avion disponible, laissant sa maman... se débrouiller?... Brave, le mec!
Ensuite, il s'est paré dans la posture du grand écrivain qui doit témoigner. Lui, soulever des pierres pour retrouver des survivants? Que nenni !
Élection à l’Académie française. Vous voyez comment la colonisation française d'Haïti a eu du bon ! Ses lycées étaient les meilleurs. Depuis, Haïti n'a pas pris du mieux...
Je ne peux m'empêcher de penser que son élection a aussi une raison politique. C'est bien pour l'Académie d'avoir un représentant de la diaspora francophone.
Un Noir en plus pour bien monter l'ouverture ethnique des Académiciens...
5) La circoncision. Je vais essayer de faire court, de couper dans le vif du sujet (?!!!). Voilà une question qui peut vous faire passer pour antisémite. Cela m'est arrivé sur les réseaux sociaux. J'ai eu le malheur de remettre en question ce rituel sadique et une personne connue à une époque (O. R. : je tairai son nom) m'est tombé dessus. C'est aussi arrivé à une candidate péquiste qui exprimait les mêmes réserves sur cette violation de l'intégrité physique d'un individu, d'un enfant? à qui on ne demande pas la permission (si vous avez dix-huit ans, c'est votre problème).
L'excision soulève de l'indignation avec raison, pourquoi la circoncision est-elle passée sous silence comme si les petits garçons ne valaient pas la peine qu'on s'occupe d'eux?
Dans quelle condition est-elle pratiquée? Qui paye pour cette barbarie, si elle se fait dans une clinique? Elle touche quelles groupes?
6) Les francophones hors-Québec. Les Acadiens, les Francos-Ontariens-Manitobains-Albertains, tous les Francos-Machins. Les a-t-on déjà entendus exprimer une solidarité quelconque avec le Québec? Se prononcer pour l'indépendance du Québec? Penser à immigrer au Québec pour augmenter le nombre de francophones au Québec?
Dans "La Petite Noirceur" de Jean Larose, il soutient que les Acadiens ont un sentiment de supériorité envers les Québécois. Vrai ou faux? Mais on peut remarquer à quel point ils sont fiers de parler anglais sans accent, comme de vrais colonisés quoi. Le stade supérieur de la colonisation : être fier de ne pas avoir l'accent québécois comme Eugénie Bouchard.
(Photos : de fraîche actualité, déjà ils ont leur couleur, rouge et noir.)
lundi 7 août 2017
Où sont passés les Québécois et les Québécoises?
Il y a toute une génération qui arrive à maturité et qui, même, a dépassé cette maturité pour toucher au vieil âge.
C'est une génération qui a énormément contribué à construire le Québec tel qu'on le connaît. Un Québec plus prospère, plus sûr de lui-même, avec des programmes sociaux qu'on nous envie.
Car contrairement à ce que pensent ces colonisés de la droite qui sévissent dans la ville De Québec, la Révolution Tranquille a été une grande période de notre Histoire.
Elle aurait dû atteindre son apogée avec un Oui au référendum de 1980... Malheureusement, notre destinée collective s'est un peu arrêtée à ce moment.
Quoiqu'il en soit il y a un travail qui a été fait par cette génération qui semble avoir disparue des médias.
Où sont passés les Claude Péloquin, les Claude Jasmin, les Lise Payette, les Bernard Landry, les Andrée Ferreti, les Janette Bertrand, les Gilles Vigneault, les Lucien Francoeur, les Robert Charlebois, les Michel Trmeblay, les Gilles Proulx, les Normand Lester ?
Bon, chaque personne mérite de se reposer après une vie bien remplie, mais quand même.
Quand Claude Péloquin a déclaré qu'il y avait un génocide des Québécois à Montréal, il était le seul qui pouvait l'affirmer parce qu'il a connu un avant et un après. Il a connu le Montréal qui était vraiment québécois et qui bruissait d'une vie riche culturellement et politiquement.
Allons-nous tous disparaître comme ces vénérables aînés?
Peut-être est-ce inévitable, mais je déplore cette disparition en douce de notre âme collective.
C'est une génération qui a énormément contribué à construire le Québec tel qu'on le connaît. Un Québec plus prospère, plus sûr de lui-même, avec des programmes sociaux qu'on nous envie.
Car contrairement à ce que pensent ces colonisés de la droite qui sévissent dans la ville De Québec, la Révolution Tranquille a été une grande période de notre Histoire.
Elle aurait dû atteindre son apogée avec un Oui au référendum de 1980... Malheureusement, notre destinée collective s'est un peu arrêtée à ce moment.
Quoiqu'il en soit il y a un travail qui a été fait par cette génération qui semble avoir disparue des médias.
Où sont passés les Claude Péloquin, les Claude Jasmin, les Lise Payette, les Bernard Landry, les Andrée Ferreti, les Janette Bertrand, les Gilles Vigneault, les Lucien Francoeur, les Robert Charlebois, les Michel Trmeblay, les Gilles Proulx, les Normand Lester ?
Bon, chaque personne mérite de se reposer après une vie bien remplie, mais quand même.
Quand Claude Péloquin a déclaré qu'il y avait un génocide des Québécois à Montréal, il était le seul qui pouvait l'affirmer parce qu'il a connu un avant et un après. Il a connu le Montréal qui était vraiment québécois et qui bruissait d'une vie riche culturellement et politiquement.
Allons-nous tous disparaître comme ces vénérables aînés?
Peut-être est-ce inévitable, mais je déplore cette disparition en douce de notre âme collective.
Message à ces parasites, ces envahisseurs, ces profiteurs, ces déserteurs !
Je pense à ces parasites qui viennent nous envahir, dont 70% sont des Haïtiens, dit-on, et 30% sont des
bédouins du désert (?) puisque plusieurs portent des vêtements inappropriés au Québec.
bédouins du désert (?) puisque plusieurs portent des vêtements inappropriés au Québec.
Donc ces Haïtiens avaient été accueillis généreusement par les États-Unis suite au tremblement de terre
de 2010. Un geste de solidarité pour leur permettre de fuir une situation intenable.
Mais maintenant, il n'y a plus de tremblement de terre. Il n'y a pas de guerre à Haïti. Vous n'êtes plus des
réfugiés, vous êtes des lâches et des déserteurs qui refusent de retourner pour reconstruire votre pays.
Vous venez ici profiter des largesses d'une société qui s'est bâtie petit à petit, qui est devenue plus
prospère grâce au travail de nos aïeux, des Québécois qui étaient des gens simples, qui avaient des
familles nombreuses, vivant souvent dans des taudis, et qui ont lutté depuis des générations pour créer
une société plus agréable à vivre.
Vous êtes des lâches et des profiteurs !
Vous profitez de nos impôts et de nos taxes !
Retournez dans votre île et rebâtissez votre pays !
(Photo : gauchistes, anarchistes qui vivent dans un monde parallèle.)
jeudi 3 août 2017
La destruction du Québec par l'immigration massive
Je me réveille au petit matin et je suis inquiet pour le Québec.
Si Montréal est finie, le Québec l'est peut-être aussi.
Nous sommes détruits par le Canada et son multiculturalisme, par l'immigration massive, par le
communautarisme, par les traîtres du PLQ et du PLC, par nos colonisés de tous bords (QS, CAQ,
PQ), et par notre propre bêtise ignorante d'aveugles politiques.
Les traîtres de fédéralistes ont conquis Montréal par l'immigration massive et ils sont en train de faire
la même chose, petit à petit, avec la Ville de Québec.
Certains quartiers sont déjà gangrenés par les gangs et la mafia.
Le taux de criminalité va augmenter.
Les grands centres vont devenir dangereux à fréquenter.
Le français va décliner.
Le pouvoir politique va échapper à la majorité francophone, puisque nous sommes assez fous pour
donner le droit de vote à des étrangers.
Va nous échapper aussi le sentiment de vivre dans notre propre pays.
C'est une catastrophe.
Si Montréal est finie, le Québec l'est peut-être aussi.
Nous sommes détruits par le Canada et son multiculturalisme, par l'immigration massive, par le
communautarisme, par les traîtres du PLQ et du PLC, par nos colonisés de tous bords (QS, CAQ,
PQ), et par notre propre bêtise ignorante d'aveugles politiques.
Les traîtres de fédéralistes ont conquis Montréal par l'immigration massive et ils sont en train de faire
la même chose, petit à petit, avec la Ville de Québec.
Certains quartiers sont déjà gangrenés par les gangs et la mafia.
Le taux de criminalité va augmenter.
Les grands centres vont devenir dangereux à fréquenter.
Le français va décliner.
Le pouvoir politique va échapper à la majorité francophone, puisque nous sommes assez fous pour
donner le droit de vote à des étrangers.
Va nous échapper aussi le sentiment de vivre dans notre propre pays.
C'est une catastrophe.
samedi 24 juin 2017
24 juin 1880 - Ô Canada : de chant patriotique québécois à hymne national «canadian»
24 juin 1880 - Ô Canada : de chant patriotique québécois à hymne national «canadian»
L’hymne «Ô Canada» origine d’une commande faite à Adolphe-Basile Routhier pour souligner la fête de la Saint-Jean-Baptiste de 1880 et la tenue à Québec du Congrès National des Canadiens français. Routhier en rédige le texte en français, puis confie la musique à l’illustre compositeur Calixa Lavallée. Au fil des ans, le «Ô Canada» devient l’emblème de la culture française et catholique du Québec. L’œuvre est même reprise en 1934, dans le film Maria Chapdelaine pour illustrer l’attachement aux traditions nationales.
Cependant, le gouvernement du Canada entreprend en 1967 de faire du «Ô Canada» un hymne national pan-canadien. Le débat fait cependant rage à propos d’une version anglaise du texte qui reflèterait mieux la réalité «canadian». Le débat semble clos en 1980, mais reprend de plus belle en 2010, cette fois afin d’adapter le texte au dogme multiculturaliste. Pendant ce temps au Québec on se désintéresse de l’œuvre. Ironiquement, ceux-là même à qui s’adressait le chant patriotique, lui préfèrent désormais des chansons telles que «Gens du Pays» ou «Mon plus beau voyage». Si bien que le «Ô Canada» n’est plus guère de nos jours associé qu’à une célèbre équipe de hockey.
Serge Gauthier, « Ô Canada : du chant patriotique canadien-français à l’hymne national du Canada », Encyclopédie du patrimoine culturel de l’Amérique française, http://www.ameriquefrancaise.org/…/%C3%94_Canada_:_du_chant…
dimanche 28 mai 2017
Charles Dickens... et sa barbe.
Le Gibraltar d’Amérique
Le célèbre écrivain britannique Charles Dickens est de passage à Québec le 27 mai 1842. Il tombera sous le charme de la ville. Il dira alors de Québec : « Voici l’impression que fait au visiteur ce Gibraltar d’Amérique: ses hauteurs vertigineuses, sa Citadelle en quelque sorte suspendue dans les airs, ses pittoresques rues à pic, ses portes sourcilleuses, et la vue saisissante qui frappe le regard à chaque détour: elle est à la fois unique et inoubliable » (traduction). Magnifique description de notre ville. À la suite de cette citation, on lui a généralement attribué cette comparaison avec le poste militaire britannique de Gibraltar en Espagne. En réalité, il n’a fait que répéter ce qu’avait dit, une trentaine d’années plus tôt, l’ingénieur militaire Friedrich de Gaugreben en poste à Québec.
Citation tirée de Charles Dickens, American Notes and Pictures from Italy, New York, Charles Scribner’s Sons, 1900, p. 249.
Photographie : Charles Dickens, J. Paul Getty Museum.
samedi 6 mai 2017
La France macronienne : en marche vers le néant !
Ce serait surprenant si Marine Le Pen était élue demain. Elle a complètement loupé le débat. Il faudra changer de chef ou saboter le parti qui est trop connoté négativement.
La seule chose qui va changer la France, c'est une guerre civile ou une partition. Le pays est déjà divisé ethniquement.
C'est comme le Québec.
La mondialisation tue les nations. Elle divise les peuples réduisant les individus à être des consommateurs.
Imposer des valeurs communes devient de plus en plus difficile, d'autant plus que l'État surimpose ses citoyens. Ceux-ci finissent par se demander ce que le gouvernement leur apporte. Il est vu comme un gestionnaire plutôt moins efficace que le contraire, composé de politiciens qui s'en mettent plein les poches.
Sarkozy et Hollande, c'était blanc bonnet, bonnet blanc. Ils ont fait la même politique : ni de gauche ni de droite. Si Macron est élu, il continuera sur cette lancée ni de droite ni de gauche, mais mondialiste tout schuss !
lundi 1 mai 2017
Qui est l'écrivain qui écrit notre époque?
Quels sont les écrivains qui, aujourd'hui, témoignent de notre société?
Je pense à un écrivain dont toute l'oeuvre est un commentaire sur la société de notre temps.
À l'exception de Houellebeck, je ne vois pas.
Bien sûr, il n'a pas la force créatrice d'un Hugo, d'un Balzac ou d'un Zola.
Le génie se fait rare. (Le dernier en date a été Simenon?)
Peut-être est-ce l'époque justement qui demande des livres qui sont relativement courts et faciles à lire?
La littérature était l'art par excellence du dix-neuvième siècle.
Depuis l'invention du cinéma, l'image a tout envahi.
L'attention du citoyen moyen, répartie par période de trente minutes, n'excède pas une semaine! :
soit le temps de lire le dernier Goncourt ou le dernier succès des ventes en librairie.
J'ai ainsi l'insigne honneur de proposer Michel Houellebeck comme récipiendaire du Prix Nobel. Cela nous fera changement des "nobellisés" que personne ne connaît, que personne ne lit et qui ne reflètent rien de leur siècle.
Je pense à un écrivain dont toute l'oeuvre est un commentaire sur la société de notre temps.
À l'exception de Houellebeck, je ne vois pas.
Bien sûr, il n'a pas la force créatrice d'un Hugo, d'un Balzac ou d'un Zola.
Le génie se fait rare. (Le dernier en date a été Simenon?)
Peut-être est-ce l'époque justement qui demande des livres qui sont relativement courts et faciles à lire?
La littérature était l'art par excellence du dix-neuvième siècle.
Depuis l'invention du cinéma, l'image a tout envahi.
L'attention du citoyen moyen, répartie par période de trente minutes, n'excède pas une semaine! :
soit le temps de lire le dernier Goncourt ou le dernier succès des ventes en librairie.
J'ai ainsi l'insigne honneur de proposer Michel Houellebeck comme récipiendaire du Prix Nobel. Cela nous fera changement des "nobellisés" que personne ne connaît, que personne ne lit et qui ne reflètent rien de leur siècle.
mercredi 26 avril 2017
Le grand Remplacement du côté de la ville de Québec
Je n'avais pas remarqué que le Centre Durocher avait été rasé. Il y a eu des protestations non entendues relayées par le journal de quartier Droit de Parole : en vain.
Si l'édifice est remplacé par un immeuble d'habitation,on va vite noter le changement démographique. C'est déjà le cas juste en marchant dans la rue, quand on se promène dans les parcs l'été.
On a remplacé la population de Montréal et celle de certaines de ses banlieues, et le projet du Grand Remplacement continue avec la ville de Québec.
On va nous dire que nous ne faisons plus d'enfants.
En réalité, l'immigration est la voie facile pour les obsédés de l'économie qui ne pensent qu'à court et à moyen termes. De plus, cela diminue les salaires à la baisse et fournit une main-oeuvre abondante et servile.
On pourrait aussi encourager la natalité comme on l'a fait au Danemark, ou trouver une solution au déficit des retraites.
Le parti Libéraste (le PLQ) nous a montré que le Québec avait beaucoup d'argent puisqu'il a volé les Québécois de centaines de milliards (Commission Charbonneau, La Caisse de Dépôt, les baux de Marc Bibeau, l'évasion fiscale, etc.).
http://www.droitdeparole.org/2016/12/saint-sauveur-quartier-a-vendre/
(Photo : Nathalie Côté, Droit de Parole.)
Si l'édifice est remplacé par un immeuble d'habitation,on va vite noter le changement démographique. C'est déjà le cas juste en marchant dans la rue, quand on se promène dans les parcs l'été.
On a remplacé la population de Montréal et celle de certaines de ses banlieues, et le projet du Grand Remplacement continue avec la ville de Québec.
On va nous dire que nous ne faisons plus d'enfants.
En réalité, l'immigration est la voie facile pour les obsédés de l'économie qui ne pensent qu'à court et à moyen termes. De plus, cela diminue les salaires à la baisse et fournit une main-oeuvre abondante et servile.
On pourrait aussi encourager la natalité comme on l'a fait au Danemark, ou trouver une solution au déficit des retraites.
Le parti Libéraste (le PLQ) nous a montré que le Québec avait beaucoup d'argent puisqu'il a volé les Québécois de centaines de milliards (Commission Charbonneau, La Caisse de Dépôt, les baux de Marc Bibeau, l'évasion fiscale, etc.).
http://www.droitdeparole.org/2016/12/saint-sauveur-quartier-a-vendre/
(Photo : Nathalie Côté, Droit de Parole.)
dimanche 16 avril 2017
L'intelligence : produit ou instrument de la conscience? (Philo 101)
J'écoute une discussion sur la singularité technologique. Je me demande si cette hypothèse conceptuelle (pléonasme?) ne confond pas conscience et intelligence. L'Intelligence est-elle la conscience? Ou est-elle l'instrument de la conscience? Un ordi, aussi poussée soit-il, peut-il faire advenir la conscience?
Si le cerveau est seulement le réceptacle à la conscience, celle-ci n'est donc pas réductible au cerveau. Peut-être que sa source se trouve dans un non-espace sous-quantique qui échappe pour l'instant à notre investigation?
Wikipédia : "La singularité technologique (ou simplement la singularité) est l'hypothèse que l'invention de l'intelligence artificielle déclencherait un emballement de la croissance technologique qui induirait des changements imprévisibles sur la société humaine. Au-delà de ce point, le progrès ne serait plus l’œuvre que d’intelligences artificielles, ou « supra intelligence » qui s’auto-amélioreraient, de nouvelles générations de plus en plus intelligentes apparaissant de plus en plus rapidement, créant une « explosion d'intelligence » créant finalement une puissante superintelligence qui dépasserait qualitativement de loin l'intelligence humaine."
https://fr.wikipedia.org/wiki/Singularit%C3%A9_technologique
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