samedi 29 février 2020

Chanson de droite inspirée librement des "Vieux Mariés" de Sardou

Les Déclassés

On vient de noyer le dernier.
Tous nos pays sont désormais plein d'immigrés.
Si tous les crimes ont augmenté
Toutes les élites sont bien planquées
Dans leurs quartiers, sécurisés.

L'économie est relancée
Même s'il fallait tuer le bébé
De notre culture désintégrée
Par la fameuse diversité
Si racisée, si racisée

Par la pub conditionnés
À voir des couples dépareillés
On a envie de déménager
Et d'immigrer

On choisira une île déserte
Dans le Pacifique
Loin de l'Afrique
Ce soir il me vient des idées,
Du "Camp des Saints"* j'suis inspiré
Si inspiré

On a toujours bien travaillé
Rembrand, Mozart et l'ouvrier
Ont su créer une société
Que personne n'a pu dépasser
Ni égaler

Si de nouveau faut se regrouper
Ensemble on pourra y arriver
Pour recréer une société
De l'Occident
Civilisé
Civilisé



* "Le Camps des Saints" est un roman publié en 1973, écrit par Jean Raspail. Il imagine qu'un million de "migrants" Indiens envahissent la France. 
https://www.youtube.com/watch?v=dcZO0e7Fiz0

vendredi 28 février 2020

Le Québec et la France : un destin similaire en parallèle?

C'est probablement tous les pays occidentaux qui vivent un peu le même scénario puisqu'ils ont les mêmes élites de traîtres.

Mais limitons notre étude savante au Québec et à la France.

Le Québec après la Révolution Tranquille des années 60 qui l'a amené à la modernité, a connu la montée du mouvement souverainiste, après quelques épisodes terroristes que nous préférons oublier (quelques morts et quelques ratés de la vie).

Le Parti Québécois de René Lévesque a pris le pouvoir en 1976 et a perdu le référendum en 1980, en grande partie à cause des Yvettes qui ont châtré Lévesque et tous les Québécois de leur liberté. Merci aux féministes de droite des bourgeoises libérales ! Salopes !

Après 1980, en trois mots (quatre) : c'est le déclin. La libanisation a commencé avec la Convention de la Baie-James où le territoire a été plus ou moins cédé. Puis en 1990, les Mohawks ont créé des zones de non-droit où le Blanc est interdit de résidence (bien que je ne sais pas où en est l'idée d'expulser les mariages mixtes), et surtout les Blancs de la Sûreté du Québec qui est considérée comme le mal incarné du colonisateur. L'immigration forcée et massive après 1995 a transformé la ville de Montréal en ghettos culturels où le Québécois de souche est devenu minoritaire. C'est le phénomène qui s'apparente au "White flight" : si Mamadou et Mohamed arrivent, moi, je pars m'installer en banlieue.

Faisons le parallèle avec notre Mère Patrie. Les années soixante, c'est la télé, le yéyé, la jeunesse, les bons feuilletons à la télé, le bon cinéma, les magazines, Brigitte Bardeau, Alain Delon, Paco Rabanne, le Op Art, Vasarely, la modernité quoi, made in France. Avec cet air de liberté et d'abondance insouciante, ce sont probablement les plus belles années de la France de l'après-guerre. C'est une période dont les Français sont très nostalgiques. Une période un peu ringarde culturellement mais qui est restée dans les esprits.

Mai 68 a pris un certain temps à faire effet. Zemmours a écrit sur le sujet dans "Le Suicide français", un grand succès de librairie. Cependant, Gisacard d'Estaing est arrivé et bien qu'il gouvernait un parti de droite, il a amené des réformes de gauche : l'avortement, le regroupement familial.

Après 1981, en trois mots (quatre) : c'est le déclin. Le déclin mais un déclin célébré avec l'arrivée des socialistes pourris et arrogants. Avec à la tête un opportuniste, un mythomane, un prétentieux, François Mitterrand, qui a joué les monarques, et dépensé sans compter. Ses grands travaux architecturaux sont tous d'une grande laideur : la pyramide du Louvre, la Grande Bibliothèque, l'Arche de la Défense. La preuve que l'art contemporain est un désastre.
On ne parle pas de ses ministres, dont certains parmi les plus notables sont des pédophiles connus. 
La décadence se voit aussi dans les arts. Au cinéma en particulier : les films vulgaires de Bertrand Blier, des drogués défoncés comme dans Les Nuits Fauves. 
Avec un incroyable cynisme, Mitterrand a réussi à diaboliser le Front National et avec le thème récupéré de l'antiracisme ("Touche pas à mon pote") a laissé la France être submergée par une immigration incontrôlée et par l'idéologie de l'islam incompatible avec la démocratie sous sa forme actuelle. Le changement de la population se voit dans toutes les villes : Africains et Maghrébins, surtout, des Asiatiques discrets (malgré tout). 

Il y a à Montréal, une immigration assez nombreuse de Français qui croyaient probablement échapper à cette population bigarrée, étrangère (comme l'écrivain Maurice G. Dantec qui a dû déchanter vers la fin de sa vie en voyant le Québec vivre l'invasion migratoire).  Malheureusement, ces sympathiques Français se retrouvent avec la même arrivée de population non-européenne à Montréal. Ils retrouvent aussi les mêmes discours des dames patronnesses de la gauche québécoise qui les sermonnent sur la "haine" et la prétendue islamophobie.

Ils auront au moins échapper au Bataclan et à la décapitation pour l'instant !

Bref, j'ai mis en parallèle le Québec et la France parce que nous avons des affinités culturelles, mais c'est probablement le même scénario avec la Suède, l'Angleterre.

En gros, les années soixante auront été le sommet du bonheur en Occident, une période créative.

Puissions-nous revivre de nos cendres tel le mythique Phoenix de notre héritage culturel grec !

(Photo : nous sommes le chaton endormi.)



jeudi 27 février 2020

Le Québec est ma seule maison 2

Le Québec est ma seule maison.
C'est le seul endroit où il est possible de créer une nation française.
Est-ce que j'ai encore le droit de vivre chez moi?
On me dit que je suis un colonisateur, que mes ancêtres ont volé la terre aux Amérindiens.
Il faudrait que je sois un serf docile et que je paie une rente victimaire jusqu'à la fin des temps à ces nouveaux seigneurs.

Très bien, nous allons diviser le territoire et s'il ne reste qu'une mince bande de Gaza où les parias Québécois pourront habiter, je m'en contenterai parce que "Le Québec est ma seule maison!"

Vive le Québec... Vive le Québec libre !

(Un article du site de la Fédération des Québécois de souche, un site néo-nazi d'après FâChé Barbu (Xavier Camus) qui voit des néo-nazis partout. Je prends mon bien où je le trouve. Il y a plein d'articles sourcés qui remettent les pendules à l'heure sur notre Histoire oubliée et dénigrée. J'emmerde nos ennemis. 

Le mythe de « l’Indien ici avant nous autres »

http://quebecoisdesouche.info/le-mythe-de-lindien-ici-avant-nous-autres/    )

mercredi 26 février 2020

Le Québec est ma seule maison

Vous pouvez essayer de l'oublier. Vous pouvez voyager jusqu'au bout du monde. Vous pouvez croire que vous êtes des Américains du Nord. Vous pouvez adopter l'accent français en France. Vous pouvez êtes fiers de parler l'anglais sans accent au Manitoba. 

C'est possible de vous assimiler. C'est plus facile en Amérique du Nord en devenant un anglophone.

Mais dans presque tous les cas, vous n'échapperez pas à votre québécitude.

Brunot Blanchet en Thaïlande sera toujours Brunot Blanchet.
Céline Dion aux États-Unis est toujours Céline Dion, c'est-à-dire pour les Américains, une personne de race inférieure puisqu'elle est française.

En 2002, je suis à Buenos Aires où la population est multi-ethnique mais en majorité de descendances italienne et espagnole : un petit garçon qui perçoit ma différence (je ne sais comment) est amusé par ma singularité morphologique (plus blanc? moins latin?).
Je suis aussi de descendance européenne, mais un Blanc du Nord, un Nordique.
Peut-être que vous, vous l'oubliez, mais les autres peuples ne l'oublient jamais.
Et, de plus en plus, cette identité devient et deviendra problématique. 

Nous sommes déjà une minorité dans le monde.
Nous pouvons voyager et nous sentir en sécurité dans plusieurs pays, mais même dans les pays occidentaux, il y a un potentiel  de dangerosité, surtout dans certains quartiers.

En 2003, je marche rue Sainte-Catherine et une personne Noire francophone accompagnée d'une amie me demande un renseignement, mais, comme je ne suis pas Montréalais, je ne peux pas lui répondre. Il pense que je le snobe et commence à s'énerver, son amie le calme comme elle peut.

Une autre fois, quelques années plus tard, je marche dans le quartier Ahuntsic, pas très loin de la "Republik de Montréal-Nord", et je croise un type sur le trottoir qui me regarde avec l'air de vouloir me défoncer le crâne. J'aurais dit une banalité et il me fonçait dessus.

Oui, le Québec est ma seule maison.
Mais le territoire se rétrécie.
Les francophones sont minoritaires à Montréal. Sans doute aussi à Laval.
Certains quartiers de Québec sont envahis par l'immigration. Les quartiers où on vote Cul-S (QS), comme par hasard.

Mais le Québec est ma seule maison.
C'est aussi le seul endroit où il est possible de créer une nation française.
Est-ce que j'ai encore le droit de vivre chez moi?
On me dit que je suis un colonisateur, que mes ancêtres ont volé la terre aux Amérindiens.
Il faudrait que je sois un serf docile et que je paie une rente victimaire jusqu'à la fin des temps à ces nouveaux seigneurs.

Très bien, nous allons diviser le territoire et s'il ne reste qu'une mince bande de Gaza où les parias Québécois pourront habiter, je m'en contenterai parce que "Le Québec est ma seule maison!"

Vive le Québec... Vive le Québec libre !




samedi 22 février 2020

Le revirement de l'opinion publique du Canada est l'événement le plus marquant de cette nouvelle crise autochtone

J'ai été surpris du revirement de l'opinion publique du Canada qui s'était mise du côté des Mohawks en 1990 pour mieux abaisser les Québécois qui la ramenaient un peu trop (d'après eux) : je parle ici de la population anglo-saxonne, le Canada profond, l'autre nation fondatrice, les vainqueurs des Plaines d'Abraham, les WASPs (White Anglos-Saxons Protestants).

Pas cette fois-ci !

Les Autochtones ont fait chou blanc. Le numéro de misérabilisme commence à sentir le réchauffé.

J'ai l'impression que les WASPs en ont marre des jérémiades des tribus promues au rang de "nations" en 1982 comme par magie, d'entendre dire que le Canada est post-national et, peut-être même, marre du multiculturalisme.

Toronto est au Canada, ce que Montréal est au Québec : une bande de gauchistes, pro-multiculturalistes, qui croient qu'il suffit de décréter que février est le mois de l'Histoire des Noirs pour que les Manitobains oublient leur Guess Who, les Albertains dansent du reggae et flirtent avec Aunt Jemima.

Nous ne vivons pas dans une publicité là !

Comme ces gauchistes torontois contrôlent les médias, comme au Québec, l'image que nous avons du Canada profond est fausse.

Justin Trudeau a été élu en grande partie grâce à l'Ontario et au vote immigrant de Montréal et il a essayé de poursuivre l'oeuvre de son père.
Cependant, nous sommes presque arrivés à l'implosion du processus. 
Les problèmes que Trudeau fils rencontrent pour imposer sa vision post-national viennent de Trudeau père, de la Constitution de 1982. Le Canada n'est pas post-national. Il y a quatre nations dans ce pays : Québécois, Anglos, Amérindiens et Inuits (les Inuits ont la même origine que les autres Autochtones mais un mode de vie différent). 
Le caractère totalement artificiel de cette Constitution ne colle plus avec la réalité. 
Comment penser qu'on puisse faire fonctionner 634 "nations" autochtones en harmonie avec une population qui ne se voit même pas reconnue dans son propre pays?
Ce pays est absurde !
Soit on crée un vrai pays autochtone avec un territoire (une autre question : la composante raciale pour déterminer qui appartient à une nation est discutable!), soit on trouve un autre statut à ces communautés. 
Trudeau père a pensé qu'on pouvait enfin faire taire les Québécois en 1982 et les noyer avec une masse d'immigrés et des "nations" autochtones, il aura juste réussi à mécontenter toutes les composantes de ce pays.























Pourquoi certains semblent en vouloir à l'homme Blanc?

Pourquoi certains semblent en vouloir à l'homme Blanc?

- Parce que celui-ci représente le sommet de la civilisation occidentale et par conséquent mondiale.

L'homme Blanc est employé ici dans son sens littéral, humain de sexe masculin. (D'un point de vue scientifique le mot caucasien est plus précis que blanc, mais pour les besoins de ce texte, écrivons blanc avec une majuscule. On écrit Noir avec une majuscule. Pourquoi pas Blanc...) 

La supériorité de l'homme Blanc est trop écrasante pour les médiocres. Ils ne peuvent tolérer que celui-ci est excellé dans tous les domaines  : qu'il ait tout inventé ou presque (même la pilule!) ; qu'il ait créé les sociétés les plus performantes économiquement, scientifiquement, artistiquement. Il a instauré la démocratie, l'État de droit, défini les droits de la personne à un niveau supérieur et même aboli l'esclavage qui gangrenait l'humanité depuis toujours.

Même d'un point de vue de la force physique. C'est anecdotique, mais vous avez peut-être vu durant l'hiver, à moins vingt degrés, ces employés de la construction qui montaient de zéro des édifices en suivant les plans d'un architecte, des ingénieurs.

Autrefois, c'étaient des cathédrales, ou des châteaux, ou des hôpitaux, en pierres des champs, avec des vitraux magnifiques. Ensuite, des peintres géniaux ornaient les murs de leur talent. Puis, des musiciens comme Bach venait donner des concerts, jouer de l'orgue.

C'est inégalé et la meute des médiocres qui profitent de la démocratie et l'ont transformé en expériences socialistes qui nivellent par le bas ne peuvent pas le supporter parce qu'ils n'arriveront jamais à ce niveau.

L'homme Blanc arrive en Amérique où vivaient des tribus nomades qui se faisaient la guerre entre eux et vivaient simplement. Cent ans plus tard (peut-être moins), vous avez des nations efficaces où on mange à sa faim et où règne l'ordre et la démocratie.

Le niveau du quotient intellectuel dans les démocraties occidentales a tendance à baisser avec l'arrivée massive de l'immigration de pays du tiers monde. Ce sera probablement la tendance pour les cent prochaines années puisque la population de l'Inde, de l'Afrique va exploser. 

Peut-être que le milliard de Chinois va compenser et qu'ils prendront la tête des leaders mondiaux. Les Chinois, qui ne partagent pas nos valeurs démocratiques, malheureusement, savent apprécier ce qui est beau comme le prouve l'excellent pianiste Lang Lang qui interprète de la musique occidentale parce que ce sont les oeuvres qui ont atteint le plus haut niveau de complexité.

Cette attaque contre l'homme Blanc menée par différents groupes ethniques et même par les femmes Blanches, avec la montée du féminisme, n'augure rien de bon et va peut-être détruire le monde occidental.

Pourquoi croyez-vous que les migrants veulent absolument venir vivre en Occident? Parce que ce sont les pays les plus évolués. Vont-ils réussir à les détruire de l'intérieur? C'est possible. Le multiculturalisme engendre la division, la violence, la méfiance. On le voit présentement en Suède, autrefois un modèle de société, un pays trahi par ses élites socialistes, et qui s'effondre avec l'immigration de pays non occidentaux : un véritable suicide ethnique.

La notion de race avait presque disparu des discours publics. On ne lui prêtait pas une valeur scientifique et c'était tabou de l'étudier (ce l'est toujours). On naît Blanc dans un pays de Blancs. C'était dans l'ordre des choses. Et si vous êtes assez âgés, vous avez connu une société où on n'y pensait même pas. Vous n'étiez ni fiers de l'être ou de ne pas l'être. De nos jours, cependant, c'est devenu un sujet politique. Et soudainement, on prend conscience (on nous fait prendre conscience en voulant culpabiliser les Blancs) de qui on est.

Il ne faut pas penser que l'homme occidental va accepter passivement de disparaître et va accepter de se laisser diminuer
par ces discours qui sont du racisme inversé. Il sera peut-être submergé par le nombre des médiocres. C'est une possibilité.
Zemmours aime bien citer cette phrase : "À partir d'un certain pourcentage, la quantité devient une qualité." En d'autres mots, le nombre impose sa loi et sa domination.

Un jour, on regrettera sans doute, peut-être, sa disparition. C'est possible aussi qu'il émigre et trouve un endroit où il pourra recréer Notre-Dame-de-Paris, et le Louvre, et Saint-Pierre de Rome, et le MOMA, et...

(Photos : un des châteaux de Louis II de Bavière qui a inspiré ceux de Walt Disney. La Suède, avant et après l'invasion migratoire.)  






mercredi 19 février 2020

Quelles conclusions tirées de ce soulèvement?

Ce n'est pas nécessaire d'attendre la fin de ce festival de blocages qui vont peut-être se multiplier ici et là puisque ces pays (le Canada et le Québec) ne manquent pas de forces destructrices qui les tirent dans tous les sens ; il y a même un mot-clé (un hashtag #) shutdownCanada.

Oui, il y a des gauchistes tellement mentalement atteints qu'ils veulent détruire la prospérité de leur pays, s'humilier pour se plier à la volonté d'une minorité qu'ils considèrent être les damnés de la Terre.
C'est particulièrement vrai au Québec. Il y a une mairesse souriant souvent bêtement qui concède le territoire de sa ville à chaque conseil de sa ville, prouvant son ignorance de l'Histoire du Québec, son sado-mascochisme, ou la traîtrise de son peuple?

Le Québec est aussi le lieu où s'il y a une stupidité à faire, elle se fera ! Qu'est-ce que nous n'avons pas connu? Terrorisme, tueries de masse, anarchie étudiante. C'est ici que ça se passe ! Un Bock-Côté pourrait l'analyser mieux que moi... Mais venons-en à notre sujet ! 

Quelques conclusions :

1 ) Les médias sont toujours aussi donneur de leçons. Les journalistes disent tous plus ou moins la même chose. On ne voit pas beaucoup le peuple s'exprimer parce que le peuple c'est bête. Ça travaille, ça paye des impôts et des taxes, mais ça ne dit pas son opinion à la télé. On laisse des experts larmoyants exposer des dissertations laudatives, ou on fait un topo personnalisé ("people") pour anesthésier avec l'émotion l'ombre d'une révolte populiste.

2) Si en 1990, durant la crise d'Oka, l'opinion publique du Canada avait pris une sorte de plaisir à voir le Québec humilié par les Mohawks (le Québec qui jouait les victimes, d'après eux, qui faisaient chanter le Canada, était devenu le bourreau en s'en prenant à ces braves guerriers, dont certains avaient participé à la guerre du Vietnam et venaient des États-Unis). Il n'y avait aucun raisonnement qui tenait : c'était les Québécois, les racistes, les méchants.
Dans cette reprise d'Oka, en moins dramatique (pour l'instant), je suis surpris du revirement de l'opinion publique canadienne. La réconciliation tant souhaitée par le gouvernement Trudeau, le Canadien de la rue s'en tape comme de l'an quarante.
Les grosses Indiennes qui braillent, c'est bon pour CBCNews Network, mais l'Albertain en a déjà assez. Du moins, c'est l'impression que j'ai d'après les commentaires nombreux qu'on peut lire sous les articles (une vraie sociologie de l'opinion publique non censurée, parfois).
Le Canada détestait ou était indifférent au Québec, perçu comme trop demandant, et maintenant il ajoute dans la balance les 50 nations, leurs chefs qui gagnent un salire dans les six chiffres, leurs plumes et leurs tam-tams.

3) Se greffent aux pleurnicheries autochtones, la jeunesse militante de gauche, les écolos, les anars, les anti-progrès. Ces "fragiles" anti-progrès qui s'identifient aux Autochtones ont une vision rousseauiste de ceux-ci qui ne correspond pas à la réalité. (Dans la série "Paisirs de la Nouvelle-France" :1649: Début du génocide de la nation huronne par les Iroquois.
republiquelibre.org/cousture/COUS )
4) Le multiculturalisme signe un autre échec éclatant. Non seulement les immigrants, migrants, faux-réfugiés et réfugiés récemment arrivées ne s'intègrent plus, mais les éléments fondateurs du Canada, Autochtones, Québécois, Anglo-Saxons n'arrivent plus à être unis comme des compatriotes devraient l'être. Certains Albertains parlent de séparation, les Québécois parlent de séparation, les Mohawks s'y croient déjà. Comment cela finira-t-il? Dans l'acrimonie et le ressentiment.

5) Les négociations avec les Autochtones signifient presque toujours qu'ils obtiennent ce qu'ils veulent d'une façon ou d'une autre, à plus ou moins long terme et que nous payons docilement la rente victimaire.

(Caricatures de 1990 : https://journals.openedition.org/communication/4540?gathStatIcon=true  )






Cocus contents québécois : rente victimaire éternelle autochtone

Qu'est-ce qu'un serf au Moyen-âge ? Personne attachée à une terre, dont les biens et le travail appartiennent au propriétaire de cette terre (seigneur, roi, communauté religieuse) envers qui elle a des obligations. ( -Précisons, qu'en théorie, les Cris ont abandonné leurs droits territoriaux. En théorie parce qu'ils visent aussi la souveraineté. Et le jour où ils se déclareront souverains de quel côté l'ONU penchera-t-elle? Et l'opinion publique internationale? - Précisons aussi que je n'ai rien contre les personnes de cette origine. Mon point de vue est purement politique. Le Québec a aussi des ententes avec d'autres Autochtones, donc ce billet concerne tous les différents groupes autochtones qui concluent une entente avec le Québec.)

J'aimerais comparer les avantages d'un enfant Québécois et d'un enfant Cri qui naissent aujourd'hui. Pour voir. Un étudiant québécois doit payer ses droits de scolarité, par exemple. Si on compare l'argent que reçoit une municipalité québécoise et une autochtone, cela représente combien d'argent par habitant? 

Depuis que le Québec pellette des millions à la "nation" (tribu) Cri, les Cris ne doivent plus savoir quoi faire de l'argent de la rente victimaire. Pendant combien de décennies allons-nous devoir la payer comme les Allemands qui ont dédommagé les victimes de la Shoa? 

Les Cris ont viré les plus radicaux anti-Québécois comme Matthew Coon Come. Ils ont changé d'avocats. Les premiers qui plaidaient lors de la Convention de la Baie-James étaient des anglophones qui n'avaient aucune sympathie pour le Québec. Cette rhétorique guerrière est dépassée. Le Québec a pris le moule de la soumission créative : le Québec propose des projets, travaille ; les Cris travaillent un peu quand même et touchent le pactole.    

On dit que le coût de la vie est élevé en régions. Je n'en doute pas, mais c'est aussi le cas des Québécois qui vivent sur la Côte Nord, en Gaspésie, etc. Le Québécois de Sept-îles qui aimerait la chasse ou la pêche paye son permis. Il ne peut pas comme l'autochtone pratiquer la chasse traditionnelle en moto quatre roues et armé d'un fusil Winchester dernier modèle (je caricature un peu ici).

Et que penser des autres "nations" (pour employer le langage officiel imposé par la Constitution de 1982) qui n'ont pas les dividendes d'un barrage d'Hydro-Québec ou des droits de la coupe de bois d'une de nos belles forêts? Ce sont les pauvres de la manne identitaire. Ils ont beau appartenir à la même race (ce qui semble le critère douteux de l'appartenance à une "nation" autochtone), parce que les autochtones ont la même origine asiatique, le beau gâteau préparé par les serfs Québécois leur échappe.

Inutile de rappeler qu'après la défaite des Plaines d'Abraham, les Québécois n'ont eu aucun pouvoir pour décider du sort des Autochtones. Aurions-nous créé des "réserves" dignes de l'Apartheid (qui n'est pas ce qu'on croit d'ailleurs, un mensonge de la bien-pensance qu'on a entretenu depuis longtemps)? Ce n'est pas le chemin qu'avaient pris les Français colonisateurs. Les historiens écrivent que les Français avaient essayé d'intégrer les Autochtones, mais que ceux-ci préféraient leur mode de vie. C'est leur droit, j'en conviens. Toutefois, depuis la Constitution de 1982, il y a plusieurs types de citoyens au Canada et au Québec, et nous ne sommes pas parmi les privilégiés de la chaîne alimentaire.

Bref, nous, Québécois, nous retrouvons dans une situation où quand l'idée saugrenue nous prend de développer le territoire, de bouger un doigt de pied ! il faut négocier et payer éventuellement. Combien de projets économiques ont-ils été abandonnés ou seront abandonnées pour ne pas se heurter aux anti-progrès écologiques ou à la fureur plus ou moins revancharde d'une dite "Première Nation"? Quand nous aurons la bonne idée d'exploiter l'or bleu, l'eau, choisissons un lac loin des territoires revendiqués (s'il y en a - même l'île d'Anticosti est dans l'oeil des Inuits du Labrador) : ainsi nous aurons une chance de faire un peu de profits. 

La prospérité d'un pays n'est pas écrite dans le ciel, elle dépend des choix politiques de ses dirigeants. Autrefois, au début du vingtième siècle jusqu'après la guerre 39-45, le beau pays de l'Argentine était considéré comme un des pays le plus riche au monde. La dictature et l'égoïsme de la classe dirigeante a fait chuter ce pays dans le quart monde. Pensons-y !

(Tableau des revenus par province : vous n'êtes pas en tête de liste !) (Photo : Le grand chef Boyardee des Cris (unilingues anglophones) et tout sourire le représentant des larbins du système, François Legault.)








samedi 15 février 2020

Nous d'abord ! Rien à cirer des revendications autochtones!

Le Canada qui est une sorte de succédané, d'ersatz des États-Unis, mais en plus ennuyeux puisque les Canadiens (les Canadiens, je veux dire les anglophones, le Canada étant anglais) talentueux s'expatrient aux États-Unis (Neil Young, Joni Mitchell, David Foster, etc.)... Donc, le Canada devient intéressant quand il est en crise, au bord du chaos.

Malheureusement, il ne tombe jamais dans le précipice pour se fracasser en mille morceaux!

Cependant, les crises révèlent les fractures profondes qui habituellement hibernent entre deux hivers, ou deux courts étés.

Cette crise-ci n'est pas entre le Québec et le Canada. Ouf ! À quelque part, ça soulage ! À un moment donné, on peut en avoir assez de jouer les méchants, certains diraient que nous jouons les victimes. Il y a des gens dans l'Ouest qui pensent vraiment que le Québec est l'enfant gâté de ce pays. Ils n'ont jamais digéré qu'une partie des Québécois veuillent se séparer et briser leur beau rêve d'une union "Coast to Coast". (Si ça peut les consoler, je ne comprends pas non plus pourquoi nous ne sommes pas devenus souverains en 1980 !) Nous les invitons à vérifier les statistiques sur quels citoyens ont les plus bas revenus au Canada. Aussi, qu'ils étudient l'histoire du Canada et comment le Québec a façonné ce pays de toutes les façons (hymne national, drapeau, Constitution, etc.) et a payé plus que sa part et continue à le faire.

Le Canada ne va pas se déclarer en faillite à cause du blocage des voies ferrées, mais quand même ! la Banque du Canada n'imprime plus la monnaie. Ce sont les taxes et les impôts des contribuables qui vont devoir amortir les pertes ou le gouvernement qui va faire gonfler la dette nationale.

Parce que les rentes victimaires, ce sont nous qui les payons en partie !

Je n'ai jamais compris pourquoi certains Québécois sont si sympathiques aux revendications des Amérindiens et des Inuits, des soi-disant Premières Nations, termes que je ne reconnais pas. Je suis désolé mais ce n'était pas des nations. Leur mode de vie était la tribu, le clan, quand les Français sont arrivés, et à quelque part c'est encore le cas.

Les Amérindiens et les Inuits ont voté comme un seul homme contre la souveraineté du Québec. Ce ne sont pas nos alliés. Par conséquent, pourquoi devrions-nous approuver tout ce qu'ils réclament aveuglement? La politique, c'est un échange. Quand René Lévesque et le PQ ont reconnu le concept de nation autochtone, ils espéraient (sûrement) une réciprocité politique qui n'est jamais venue.

Je n'ai rien contre eux comme groupes, je comprends que l'Histoire les ait frustrés, mais ce n'est pas de notre faute. Pendant combien d'années allons-nous devoir payer cette rente victimaire? Nous ne sommes pas des serfs, nous ne sommes pas des esclaves.

Pour contrer le Québec en 1982, certains ont écrit que le Canada a reconnu dans la Constitution 50 Premières Nations pour ne pas en reconnaître une, celle du Québec. Depuis, le Canada est pris avec ce problème des revendications, des compensations, des rentes victimaires (comme je le décris vachement!). Ça ne finit pas, ça ne finit plus, et ça ne finira pas. C'est une sorte d'infantilisation à l'échelle d'une nation qui a créé plusieurs types de citoyens avec des droits différents, une aberration qui marche comme un canard : le CanaRda, pays boiteux et plus dysfonctionnel qu'il y paraît, sauf pour les immigrants, migrants et réfugiés qui ont compris où étaient l'argent!

Ajoutons que c'est une preuve que le multiculturalisme est un échec. Il y a quatre nations dans ce pays : les Français, les Anglais, les Amérindiens et les Inuits. Les Mohawks, ces Américains qui jouent aux Indiens, sont déjà séparés (ou ils le croient). L'ambition des Cris est probablement de faire la même chose quand ils en auront la capacité et le désir. En théorie, ils ont perdu leur droit sur la terre, mais s'ils allaient devant l'ONU, peut-être soutenus par une vedette d'Hollywood, genre Leonardo Di Caprio, croyez-vous que les Québécois auraient la sympathie de l'opinion internationale? Bien sûr que non, on a vu ce qui s'est passé en 1990 lors de la crise d'Oka.

(Photo : Notre tête quand nous pensons au Canada !)







    

mardi 11 février 2020

Pseudo-pays du Québec : cessons de radoter !

Le Québec est le non-pays, le pays virtuel, le pays souhaité et rêvé, le pays des compromis, des demi-solutions, qui nous laissent sur notre faim et qui règlent à demi les problèmes pour reporter la solution, qui sera aussi une demi-solution, à plus tard.

Les Québécois sont divisés et cette division pourra les mener à leur disparition à plus ou moins long terme.

Ils sont divisés : entre souverainistes et fédéralistes, les demi-souverainistes et les demi-fédéralistes ; entre Montréal et Québec ; entre les pro-immigration et les anti-immigration ; entre la droite et la gauche ; entre les colonisés pro-Américains et les anarchistes anti-Américains ; entre les soi-disant Premières Nations, la prétendue diversité et les De-souchiens (jeu de mots que certains immigrés aiment bien faire en nous traitant de chiens en passant).

Mais cessons de rêver ! Cessons de tergiverser ! De radoter que les médias sont contre nous. Oui, ils le sont ! Ne les regardons plus ! Ignorons-les !

De quoi le Québec a-t-il besoin? demandait cette autre mollassonne, reine du compromis et de l'écoute citoyenne, j'ai nommé Marie-France Bazzo, à sa défunte émission qui tournait en rond comme tout le Québec.

C'est simple, voici le programme en trois points :

1 ) Souveraineté du Québec ;
2) Arrêt de l'immigration (réfugiés, faux réfugiés);
3) Interdiction des religions exotiques au Québec et qui contredisent nos lois, nos moeurs et notre histoire.

Bon, cela ne sera pas facile car nous avons pratiquement cédé une grande partie du territoire aux Amérindiens et aux Inuits. Et vous croyez qu'ils vont accepter de s'allier aux Québécois? Certains, oui, peut-être, mais la plupart vont aller pleurer à l'ONU ou à Ottawa.
Je pense que nous, les souverainistes, sous-estimons complètement la portée de ce problème.

Il n'est pas exclu que Montréal et d'autres municipalités veuillent se détacher d'un Québec souverain.

Bref, la souveraineté du Québec, si elle demeure possible, ne sera pas facile. Et encore faudrait-il qu'il y ait un parti pour présenter le projet. Les jeunes souverainistes sont dans une mouvance de gauche et dans le compromis.

La situation du Québec n'est pas facile mais celle de la plupart des pays occidentaux ne l'est pas non plus.

Je pourrais cesser aussi de radoter et ne plus rien écrire, ne plus aller sur Twitter. La vie ne se limite pas à la politique, heureusement. Essayons d'être joyeux et sereins malgré tout !

(Photo dont je n'ai pas le @ . Merci à l'auteur !)



lundi 10 février 2020

Paroles de Mila - #jesuismila

« Je déteste la religion. » Puis : « Le Coran, il n’y a que de la haine là-dedans, l’islam, c’est de la merde, c’est ce que je 

pense. Je ne suis pas raciste, pas du tout. On ne peut pas être raciste envers une religion. J’ai dit ce que j’en pensais, vous 

n’allez pas me le faire regretter. Il y a encore des gens qui vont s’exciter, j’en ai clairement rien à foutre, je dis ce que 

je veux, ce que je pense. Votre religion, c’est de la merde, votre Dieu, je lui mets un doigt dans le trou du cul, merci, au 

revoir. »


dimanche 2 février 2020

Le Québec est fini dans dix ans au minimum

XYZ de Twitter : "Le fédéral pompe 50,000 immigrants plus 20-30,000 illégaux par année dans le marché locatif de Montréal."
Trump : Justin, peux-tu me débarrasser de mes immigrants?
Trudeau : Mais oui, Donald, envoie-les en taxi jusqu'au Vermont.
Trump : Et les Frogs, ça ne les dérange pas?
Trudeau : Mais non, ils payent et en les culpabilisant avec les médias ils gobent tout : les religions exotiques, le mois de l'Histoire des Noirs, le multiculturalisme Tu devrais voir les cartes électorales rouges!
Trump : Quoi? Ils continuent de voter pour vous? Ah ! Les cons !
Trudeau : (Il s'étouffe de rire !) Mais oui, mais en fait ce sont les villes où nous avons remplacé la population comme Montréal, Toronto, Vancouver. Les faux réfugiés que nous faisons vivre pendant une année deviennent Canadiens, tout en gardant leur vraie nationalité, et ensuite ils s'allient à la gauche aliénée, marxiste culturelle, qui fait le travail de sape en amont.
Trump : Christ ! Vous avez compris le système ! Mais les Démocrates veulent faire la même chose ici. Je résiste un peu pour la forme, mais ça me fait plaisir de t'aider en jouant les Bonnes Hommes Sept Heures. À chaque fois que les médias me présentent comme le diable en personne, les gauchistes comme toi et Macron prenez de la valeur.
Trudeau : Gauchiste, oui et non, Donald, je suis un bon Libéral, je travaille comme toi pour mes amis des banques, mes amis capitalistes. Mais je suis content de pouvoir compter sur mes autres amis, les idiots utiles de la gauche progressive. Tu devrais les voir s'enthousiasmer dans les médias qu'on finance.
Trump : Ah ! Vous êtes chanceux, vous financez en plus la propagande. Ici, c'est différent, mais en fait l'entreprise des merdeux comme CNN font ma contre-publicité et ça ne me coûte pas un sou.
Trudeau : Alors, on se revoit au G7 ou ailleurs dans un de nos partis mondialistes?
Trump : Oui, amène ta femme, elle ira jouer au golf avec Mélanie.
Trudeau : Cool, man ! Au revoir !
Trump : Au revoir, mon grand, j'aime tes chaussettes ! (Rires.)
Trudeau : Va chier, Red Neck ! (Rires.)