vendredi 28 février 2020

Le Québec et la France : un destin similaire en parallèle?

C'est probablement tous les pays occidentaux qui vivent un peu le même scénario puisqu'ils ont les mêmes élites de traîtres.

Mais limitons notre étude savante au Québec et à la France.

Le Québec après la Révolution Tranquille des années 60 qui l'a amené à la modernité, a connu la montée du mouvement souverainiste, après quelques épisodes terroristes que nous préférons oublier (quelques morts et quelques ratés de la vie).

Le Parti Québécois de René Lévesque a pris le pouvoir en 1976 et a perdu le référendum en 1980, en grande partie à cause des Yvettes qui ont châtré Lévesque et tous les Québécois de leur liberté. Merci aux féministes de droite des bourgeoises libérales ! Salopes !

Après 1980, en trois mots (quatre) : c'est le déclin. La libanisation a commencé avec la Convention de la Baie-James où le territoire a été plus ou moins cédé. Puis en 1990, les Mohawks ont créé des zones de non-droit où le Blanc est interdit de résidence (bien que je ne sais pas où en est l'idée d'expulser les mariages mixtes), et surtout les Blancs de la Sûreté du Québec qui est considérée comme le mal incarné du colonisateur. L'immigration forcée et massive après 1995 a transformé la ville de Montréal en ghettos culturels où le Québécois de souche est devenu minoritaire. C'est le phénomène qui s'apparente au "White flight" : si Mamadou et Mohamed arrivent, moi, je pars m'installer en banlieue.

Faisons le parallèle avec notre Mère Patrie. Les années soixante, c'est la télé, le yéyé, la jeunesse, les bons feuilletons à la télé, le bon cinéma, les magazines, Brigitte Bardeau, Alain Delon, Paco Rabanne, le Op Art, Vasarely, la modernité quoi, made in France. Avec cet air de liberté et d'abondance insouciante, ce sont probablement les plus belles années de la France de l'après-guerre. C'est une période dont les Français sont très nostalgiques. Une période un peu ringarde culturellement mais qui est restée dans les esprits.

Mai 68 a pris un certain temps à faire effet. Zemmours a écrit sur le sujet dans "Le Suicide français", un grand succès de librairie. Cependant, Gisacard d'Estaing est arrivé et bien qu'il gouvernait un parti de droite, il a amené des réformes de gauche : l'avortement, le regroupement familial.

Après 1981, en trois mots (quatre) : c'est le déclin. Le déclin mais un déclin célébré avec l'arrivée des socialistes pourris et arrogants. Avec à la tête un opportuniste, un mythomane, un prétentieux, François Mitterrand, qui a joué les monarques, et dépensé sans compter. Ses grands travaux architecturaux sont tous d'une grande laideur : la pyramide du Louvre, la Grande Bibliothèque, l'Arche de la Défense. La preuve que l'art contemporain est un désastre.
On ne parle pas de ses ministres, dont certains parmi les plus notables sont des pédophiles connus. 
La décadence se voit aussi dans les arts. Au cinéma en particulier : les films vulgaires de Bertrand Blier, des drogués défoncés comme dans Les Nuits Fauves. 
Avec un incroyable cynisme, Mitterrand a réussi à diaboliser le Front National et avec le thème récupéré de l'antiracisme ("Touche pas à mon pote") a laissé la France être submergée par une immigration incontrôlée et par l'idéologie de l'islam incompatible avec la démocratie sous sa forme actuelle. Le changement de la population se voit dans toutes les villes : Africains et Maghrébins, surtout, des Asiatiques discrets (malgré tout). 

Il y a à Montréal, une immigration assez nombreuse de Français qui croyaient probablement échapper à cette population bigarrée, étrangère (comme l'écrivain Maurice G. Dantec qui a dû déchanter vers la fin de sa vie en voyant le Québec vivre l'invasion migratoire).  Malheureusement, ces sympathiques Français se retrouvent avec la même arrivée de population non-européenne à Montréal. Ils retrouvent aussi les mêmes discours des dames patronnesses de la gauche québécoise qui les sermonnent sur la "haine" et la prétendue islamophobie.

Ils auront au moins échapper au Bataclan et à la décapitation pour l'instant !

Bref, j'ai mis en parallèle le Québec et la France parce que nous avons des affinités culturelles, mais c'est probablement le même scénario avec la Suède, l'Angleterre.

En gros, les années soixante auront été le sommet du bonheur en Occident, une période créative.

Puissions-nous revivre de nos cendres tel le mythique Phoenix de notre héritage culturel grec !

(Photo : nous sommes le chaton endormi.)



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