lundi 30 novembre 2020

La fatigue culturelle occidentale

Bien avant que l'invasion de l'Occident soit évidente, celui-ci montrait des signes de stagnation.

L'écrivain Denis Tillenac s'interrogeait dans un de ces essais sur nos sociétés muséifiées.  Certes, la beauté des villages français, ses monuments, l'architecture de ses grandes villes, son art de vivre, tout ce qui attirait autrefois et, encore aujourd'hui , les touristes du monde entier, ne sont-elles pas un décor pétrifié dans le temps, une sorte de faux-semblant permanent qui n'a plus aucun lien avec une vraie culture vivante et évolutive?

C'était dans les années quatre-vingts. Depuis nos interrogations sont autres. D'après Michel Onfray, la décadence de l'Occident, de notre civilisation, est évidente et inévitable. 

Mais est-ce bien le cas?  Le savons-nous vraiment? Avons-nous une juste évaluation de notre situation? 

Ou n'est-ce pas plutôt que nous ne savons plus dans quelle direction poursuivre notre chemin? Nous ne sommes plus qui nous sommes.

Nous ne savons plus où nous en sommes et notre Histoire s'est arrêtée. La maison Occident est envahie. Il y a des étrangers qui se sont installés (avec la complicité des élites traîtresses incapables d'avoir anticipé l'avenir); ils amènent leurs moeurs bigarrées, exogènes, et, bien qu'il y ait de la résistance, de compromis en compromis, nous ne reconnaissons plus notre décor qui subsiste, mais comme figé dans l'immobilité, telle une photographie de carte postale.

Certains veulent revivifier le paganisme. D'autres redécouvrent l'art classique, musique et peinture. On devient nietzschéen ou on s'attache à une philosophie dont espère une renaissance, un art de vivre et des réponses.

S'il existe une possibilité de renaître à nous-mêmes, il nous faudra avant tout retrouver notre chez soi. Peut-être nous faudra-t-il chasser l'envahisseur ou, plus vraisemblablement, l'absorber pour recommencer à nommer notre être civilisationnelle et, de nouveau, cultiver les champs qui ont donné au monde entier la moisson du génie qui a défini le terme de civilisation.




 

mercredi 25 novembre 2020

La loi 101 est un fétiche

 J'ai souvent pensé que la loi 101 a nui au projet de la souveraineté du Québec.

Elle a donné aux Québécois une fausse sécurité culturelle. Elle a joué le rôle de la vraie souveraineté comme une sorte de fétiche qui allait magiquement nous protéger et assurer notre avenir linguistique.

La loi 101 adoptée, beaucoup de Québécois ont dû se dire : "Pourquoi se séparer si nous pouvons avoir le beurre et l'argent du beurre?"

D'une part, elle n'a pas transformé les immigrés, forcés d'aller à l'école française à la manière d'une punition, en Québécois. Au référendum de 1995, on sait qu'ils ont voté en grande partie contre la souveraineté.

D'autre part, avec l'immigration massive et avec tous les trous qu'il y a dans la loi 101, charcutée par les tribunaux, on constate ce qu'on constate à Montréal, c'est-à-dire une anglicisation accélérée.

De plus, les Québécois de souche ont fui ce cloaque communautarisme. Combien d'immigrés peuvent vivre sans ne connaître rien à la culture québécoise, sans même connaître de Québécois? Il leur suffit de se brancher sur Internet ou d'avoir accès à la télé de leur pays d'origine pour rester artificiellement dans leur environnement culturel ; ils peuvent aussi choisir de devenir de bons Américains en choisissant l'anglais. Il y a même une joueuse de tennis québécoise qui s'y est mise : la parfaite colonisée de l'intérieur.

Le gouvernement donne même aux immigrants le choix entre le français et l'anglais quand ceux-ci ont besoin de communiquer avec les différents ministères.

La seule façon pour les Québécois de préserver leur culture est de devenir souverain.

Les pays aussi peu peuplés que l'Islande, la Lituanie, l'Estonie, ou des pays qui ont environ le même nombre d'habitants que le Québec, comme la Finlande, la Norvège, n'ont pas besoin de loi 101 pour assurer la primauté de leur culture.

Les États-Unis commencent à connaître ce problème de la double allégeance linguistique avec l'immigration espagnole, mais, jusqu'à maintenant, les espagnols ont compris qu'ils avaient intérêt à apprendre l'anglais, la puissance économique du pays étant un puissant stimulant.

Renforcer la loi 101 ne peut pas nuire, mais il faut avant tout stopper le flot incessant d'immigrés et de réfugiés (vrais et faux) qui s'installent à Montréal.

Mais, en définitive, seule la souveraineté au Québec peut permettre de survivre sans se faire broyer par le monde anglo-saxon.



  

 




mardi 13 octobre 2020

L'urgence démographique au Québec

 Pour prendre le pouvoir, le PQ, maintenant sous la gouverne de Paul Saint-Pierre Plamondon, doit mettre de l'avant la question de la démographie.

Il devrait proposer dans sa campagne électorale un référendum pour rapatrier d'Ottawa tous les pouvoirs concernant l'immigration, y compris les réfugiés. Le Québec doit pouvoir décider seul du taux d'immigration (proche de zéro!) et quels sont les critères pour immigrer au Québec ; de même, il doit détenir tous les pouvoirs pour le statut de réfugiés.

Le nouveau chef du PQ pourrait créer un ministère sur les questions de la souveraineté et le confier à Frédéric Bastien.

Advenant un Oui au référendum sur l'immigration, Bastien pourrait aller devant l'ONU pour plaider l'urgence pour le Québec de contrôler (d'arrêter) notre noyade ethnique et d'éviter notre disparition.  





vendredi 9 octobre 2020

Nos "amis" autochtones

C'est curieux la bonne opinion des Québécois envers les Autochtones, non pas qu'ils fassent les traiter en ennemis, mais ce ne sont pas nos alliés. Ils ont voté non aux deux référendums, traînent souvent le Québec devant les tribunaux ou pratiquent la politique des barricades.

Notre commisération envers eux est juste de la pitié, du sentimentalisme, de la mauvaise conscience coloniale.

Les États n'ont pas d'amis. Ils ont des alliés ou pas.

Cessons cette infantilisation des Autochtones qui ne les aide en rien. Combien de milliards faudra-t-il encore leur consacrer? Huit milliards au fédéral, c'est quasi le PIB d'Haïti. Mais ce n'est jamais assez. Et où va tout cet argent?

Il y a des municipalités qui aimeraient bien toucher un peu de cet argent. La vie en régions est difficile pour tout le monde et même pour les Québécois.

On connaît près de Montréal, une principauté autochtone, une zone de non-droit où on vend tabac et cannabis sans taxes, et où il y a un casino. Vous amassez plein d'argent et vous ne payez pas d'impôts. Ces perdants du "colonialisme" doivent être riches comme Crésus pendant que leurs voisins en arrachent à la fin du mois. Et leurs "frères" des autres "nations" (ils ont tous la même origine) ne vivent pas aussi bien qu'eux, mais de là à partager... 

Le beurre et l'argent du beurre : parfois il faut impérativement honorer les traités qu'ils ne pouvaient pas lire au début de la colonie ; d'autres fois, si les tribunaux ne penchent pas de leur côté, ce sont les barricades ou ils ne reconnaissent pas le droit "européen". 

Ils ne sont pas responsables des circonstances historiques qui leur a enlevé un mode de vie archaïque... Ce sont des victimes éternelles, bénéficiaires de la rente victimaire, les Québécois les regardent, s'apitoient et paient, devenus locataires dans le pays qu'ils ont fondé et développé. Qui sont les esclaves, qui sont les bourreaux? Nous sommes les vassaux de ces nouveaux seigneurs qui vivent de leur terre dans un curieux rapport qui s'est inversé, et il faudrait en être heureux?

Grave erreur du PQ de Lévesque d'avoir reconnu les "nations" amérindiennes sans qu'il n'y ait aucune réciprocité parce que c'est bien ce qui s'est passé. Pierre Elliot Trudeau qui avait promis de renouveler le pacte constitutionnel leur a accordé ce statut boursouflé de "nation", 50 nations dans la nation, pour mieux diluer l'ethnie québécoise. Plusieurs catégories de citoyens sur un même territoire : la recette parfaite pour le ressentiment et un sentiment d'injustice justifié.

À très long terme, ces "nations" (en réalité, ce sont davantage des tribus dans le sens anthropologique du terme) ont le potentiel pour le devenir. Quand la Nouvelle-France a débuté son aventure, il y avait peu de Français sur le territoire. 

On voit que cette Constitution est une bombe qui va nous exploser à la face dans un avenir plus ou moins rapproché.

Si les Québécois ne prennent pas conscience de leur fragilité démographique et ne prennent pas les pleins pouvoirs sur le seul État qu'ils contrôlent, ils seront atomisés, submergés par mille entités qui vont les ignorer, les marginaliser, les assimiler dans la poubelle de l'Histoire.






jeudi 8 octobre 2020

Ces merdes qui ont trahi leur peuple

 Toutes les sociétés occidentales se ressemblent plus ou moins aujourd'hui. Elles se dirigent toutes vers un état plus ou moins avancé de décomposition.

Les "élites" qui les dirigent ont trahi leur peuple. Après avoir créé la nation, ils travaillent à la détruire depuis les années soixante. Que ce soit un plan concerté ou non, un complot, ne change rien au résultat.

En gros, la droite libérale et la la gauche sociétale se sont unies dans un idéal commun qui exploitent les classes moyennes, réduites à environ 30% du corps social, en plus de les assommer de leçons morales sur les grands "ismes" de notre époque : féminisme, anti-racisme, sexisme, écologisme, etc.

Paris, c'est Montréal. La France et son immigration effarante a de l'avance sur la dégradation du tissu social, mais, n'en doutons pas, les mêmes causes produisant les mêmes effets, le Québec va arriver au même stade. Pour l'instant, le mal est circonscrit à Montréal. Un jour, on apprendra que le taux de criminalité a incroyablement augmenté, que les Québécois ont fui ce cloaque de communautés bigarrées aux moeurs qui sont aux antipodes des Occidentaux, et les journalistes et chroniqueurs patentés pousseront des cris d'orfraie. 

La crise d'Oka de 1990 avait préparé les Québécois à la dépossession tranquille du territoire avec la complaisance voulue du fédéral. Devenue locataire du pays colonisé, le colon est devenu le paysan qui entretient ces seigneurs qui vivent de la rente victimaire. On peut prévoir que cette libanisation va se poursuivre et ne va pas s'arrêter après Montréal, Québec et Trois-Rivières. Devenu étranger dans sa propre maison, le Québécois évitera certains quartiers quand il visitera les villes qu'il a fondées. Peut-être même qu'on les débaptisera éventuellement pour plaire à la dernière peuplade descendue de l'avion, changeant les noms des rues, des parcs, des ponts et déboulonnant ces héros encombrants accusés de façon achronique de mille maux. Le néo-Quebecanis est en évolution ! 

Qu'est-ce qui pourrait mettre un frein à cette descente programmée? Une guerre civile? Un politicien providentiel? Un parti d'extrême droite astucieux qui avancerait masqué? Un coup d'État militaire? Trump a essayé, d'où cette lapidation quotidienne à laquelle il a droit.

En France, il existe une expatriation des jeunes Français qui ont fui l'enfer multiculturaliste vers les pays de l'Est (Roumanie, Hongrie, Russie, Estonie, etc.), qu'en sera-t-il des jeunes Québécois beaucoup moins conscientisés politiquement? Ils se suicideront, ou se résigneront à adopter les marottes de la gauche marxiste; ils deviendront écologistes et voudront sauver la planète pendant que leur société part en vrille ; ou ils chercheront une évasion dans le sport, les jeux vidéos, la drogue, etc.

Si Elon Musk réussit son pari d'aller sur Mars, qui sait? ce sera peut-être un bon plan !

("Selon mes calculs, le groupe ethnique canadien-français qui formait 79 % de la population québécoise en 1971, passera de 64,5 % en 2014, à 50 % en 2042 et à 45 % en 2050." https://vigile.quebec/articles/ethnie-fiction-ou-realisme-demographique )





 



samedi 3 octobre 2020

Combien de faux et de vrais réfugiés au Québec?

 J'utilise les chiffres données du Gouvernement du Canada sur les site Immigration et citoyenneté : https://www.canada.ca/fr/immigration-refugies-citoyennete/services/refugies/demandes-asile/demandes-asile-2020.html .

Le déluge a vraiment débuté en 2017 quand Trudeau a décidé d'être généreux avec l'argent des autres ; quand il a envoyé ce gazouillis (ce "tweet") pour inviter tous les déshérités de la Terre à venir au Canada (en réalité au Québec et en Ontario) après l'élection du méchant Trump.

Ce sont tous les réfugiés, pas seulement ceux qui ont violé illégalement les frontières, comme celle béante du chemin Roxham, gentiment aménagé par la Gendarmerie du Canada, dont les agents  aident les "migrants" avec leur valise à roulettes et leur téléphone cellulaire, guilis guilis aux petits enfants...

Nombre de réfugiés au Québec :

2017 : 25 515

2018 : 29 145

2019 : 31 265

2020 : 8090

Pour un grand total de 94 015. Si Trump est réélu, en novembre, il faut probablement prévoir un nouveau flot d'arrivants.

La plupart vont être logés aux frais des contribuables, évidemment, à Montréal et à Laval.

Certains (des méchants d'extrême droite!) se sont demandés si ces "migrants", ces illégaux, n'avaient pas contribué à aggraver la pandémie de la covid.

Selon, ce gentil journaliste des médias officiels, (https://www.latribune.ca/actualites/vos-questions-sur-la-covid-19/non-ce-netait-pas-la-faute-du-chemin-roxham-6a24b8cb92131c8f6440b3d33cf94656)

"Non, ce n'était pas la faute du chemin Roxham" (le titre se son article), parce qu'il entre chaque jour au Québec 22 000 personnes. "Jusqu'à la mi-mars (2020) au moins la moitié des nouveaux cas étaient reliés à des voyages internationaux". Cela donne quand même 50% des cas qui ne le sont pas. De novembre 2019 à mars 2020, il y a eu un total de 11 925 demandeurs d'asile (incluant tous les points d'entrée : terrestres, maritimes, dans d'autres pays), avant que le Canada se demande si ce ne serait pas mieux de fermer les frontières.

Le journaliste écrit qu'une soixantaine de passeurs par le chemin Roxham ne change pas grand-chose au tableau. Qu'est-ce qu'il en sait? 11 925 personnes depuis nombre 2019 qui ne sont pas mis en quarantaine, ni testées, qui sont laissées libres d'aller et venir, ont peut-être eu une influence sur l'évolution de cette pandémie. On a entendu parler de la pandémie en Chine en décembre 2019, sans connaître l'ampleur véritable de celle-ci, la Chine ne pratiquant pas vraiment la transparence.

Notons que le nombre de demandeurs d'asile par les points d'entrée terrestre est passé de 965 en mars 2020 à 15 en avril 2020. 

Donc, quand on écrit que la CAQ a sabré dans l'immigration, si peu de 50 000 à 40 000, il faut ajouter les 8090 de 2020 (l'année n'est pas finie), ce qui reviendra au taux habituel de néo-Québécois, parce qu'évidemment nous sommes tous des Québécois.





mercredi 30 septembre 2020

Les Rose : perdants idéalistes à l'image du Québec

La politique, c'est quand on fait le lien entre le microcosme et le macrocosme. Le père de Paul Rose qui se tuait au travail pour 20 dollars par semaine, 80 dollars par mois. Qu'est-ce que ça représenterait aujourd'hui comme salaire? toujours un salaire de misère, le salaire des Nègres blancs d'Amérique (Pierre Vallières).

Vous pouvez vous remémorer une situation semblable dans votre famille, sauf si vous appartenez à la petite bourgeoise québécoise et à leurs serviteurs qui a monté en vendant sa soumission, comme on le voit dans le film de Félix Rose, "Les Rose".

Tous ces policiers zélés qui frappaient les Québécois dans les manifs ; ceux qui ont exécuté "Les Ordres" (film de Michel Brault sur le même sujet) pendant la Loi des mesures de guerre. Les petites mains de l'oppression qui ont suivi aveuglement les chefs de la bande, nos Oncles Tom du fédéralisme, les French-Pea-Soups de service : Drapeau, Bourassa et, le vendu en tête de liste, Pierre Elliot Trudeau.

Le film de Félix Rose nous replonge dans le Québec de l'époque, quand une majorité de Québécois habitaient Montréal. Et si vous avez regardé le film à la télé (on peut aussi le voir sur le site de l'ONF), pendant les pauses commerciales, on vous vend le Québec de la diversité avec des représentants des minorités visibles à toutes les trois secondes, ceux qui vont vous remplacer et qui vont nous noyer dans une mer confuse de communautés bigarrées. C'est de cette façon que les élites ont programmé la disparition de l’ethnie québécoise.

Que pensez du militantisme musclé du FLQ? Les Québécois ne sont pas violents et il y avait une montée des souverainistes (le RIN est né en 1960) qui aurait probablement amené tôt ou tard l'élection du PQ. Le FLQ a-t-il nui ou favorisé une prise de conscience des Québécois? Qui sait? On le dit mais en 1980 le Québec a dit Non au référendum. Par ailleurs, nos adversaires se servaient souvent du FLQ, par amalgame, pour prêter au PQ des visées totalitaires, parfois encore. De nos jours, le mot terroriste a pris une autre connotation, selon l'usage politique qu'on lui octroie. Par exemple, on l'emploie rarement pour les Mohawks de la crise d'Oka de 1990. Le fédéral leur a même acheté des terrains...  

D'un point de vue politique les objectifs à moyen et long termes du FLQ n'étaient pas claires. Ils ont joué les révolutionnaires amateurs, en tremblant devant leur audace, inspiré des mouvements qui secouaient le monde à l'époque (Irlande, Cuba, Palestiniens).

Ils ont accepté de jouer les méchants et de marquer leur vie à jamais pour l'idéal d'un Québec, maître dans sa maison.  

De plus, le FLQ a été infiltré dès le début. Les gouvernements fédéral et provincial savaient parfaitement où étaient incarcérés Cross et Laporte. Ils auraient pu éviter le meurtre de Laporte et les deux mois de misère que Cross a dû endurer. Mais en adoptant la Loi des mesures de guerre, on effrayait les Québécois pour mettre un frein au désir de souveraineté qui montait dans la population. 

Le but du jeune Félix Rose était sans doute d'humaniser et d'adoucir l'image de son père qui devait faire frémir dans les beaux quartiers de Mourial (sic). Une partie de leurs habitants fuiront quand le PQ prendra le pouvoir en 1976. C'est un documentaire avec des visées plus personnelles qu'une fresque historique.

Dans cinquante ou dans cent ans, comment seront jugés les felquistes, quand le Québec aura été transformé en Louisiane du Nord? Qui vivra verra, mais nous savons que l'Histoire est écrite par les gagnants. 










 


lundi 28 septembre 2020

Quiz amusant : Êtes-vous d'extrême droite? Faites le test.

Suis-je d'extrême droite? Basons-nous sur le site de Wikipédia qui sait tout mais qui n'est pas totalement neutre. Il suffit de comparer extrême droite et extrême gauche : "Pour le chercheur en sciences politiques Sofiane Ouaret, le terme « extrême gauche » est connoté négativement. Imposé de l'extérieur, il est utilisé historiquement comme un instrument de délégitimation. L'expression est plus polémique que scientifique."

Le terme d'extrême droite n'a pas droit à ce distinguo de la soi-disant légitimité scientifique.

Voyons si j'ai des affinités avec un ou plusieurs de ces "types".

Types d'extrêmes droites


Bon, voilà après ce tour d'horizon rapide, je conclus que j'ai deux points d'accord partiel sur dix-sept, donc environ 10% à 15% d'extrême droitiste en moi. Je devrais éviter la prison pour l'instant.



jeudi 24 septembre 2020

La souveraineté du Québec par défaut

Peut-être qu'un jour le Québec deviendra souverain par défaut : Montréal et une partie du Québec (l'ouest du Québec) feront sécession : les Cris, les Mohawks, les Inuits déclareront leur souveraineté ; plus improbable, l'Alberta en fera autant en vendant son pétrole aux États-Unis. Le Québec est déjà morcelé idéologiquement. En gros, il y a les mondialistes et les gauchistes qui sont représentés à Ottawa et qui occupent la plupart des médias officiels ; il y a les nationalistes ; et il y a les Québécois fédéralistes mous qui rêvent de chimères libertariennes, ou qui ne ratent jamais un match de hockey ou une finale du Superbowl. Mais qu'est-ce qui pourrait rendre effective cette souveraineté par défaut? Un parti sécessionniste qui prendrait le pouvoir à Montréal? On pourrait le croire en se référant aux partis qui ont déjà tenté de donner une voix aux Anglophones, comme le parti Égalité. Cependant, les Anglophones, eux-mêmes, sont noyés par l'immigration et n'arrivent plus à faire bloc. La possibilité d'une énième crise autochtone est plus envisageable. On se souvient de la funeste crise d'OKa en 1990. Depuis, de multiples barrages de routes, de ponts, arrivent à intervalles réguliers pour irriter les Québécois et leur faire sentir que le territoire ne leur appartient plus tout à fait. C'est ainsi que les pays se divisent, se déchirent et finissent par se désagréger, souvent après une guerre civile : par exemples, l'ex-Yougoslavie, l'Ukraine. Quand ils ne se divisent pas de façon définitive, ils finissent comme le Liban ou la Libye, des pays que l'on veut fuir. Les souverainistes sous-estiment le nationalisme autochtone. Présentement, les tribus autochtones, promus au rang de nations par la Constitution canadienne de 1982 (et épargnant dix mille ans de civilisation), se contentent du statu quo, mais la grenouille pourrait bien s'enfler et nous éclater en plein visage. Les Québécois auraient intérêt à comprendre la nature ethnique de leur combat parce que, de toute façon, le multiculturalisme les a condamné à être une minorité parmi d'autres. Si on remplaçait par exemple les Japonais par des Africains, le Japon demeurerait-il le Japon? Poser la question, c'est y répondre. Nous pouvons attendre d'être dilués dans la mer de la fausse diversité et nous deviendrons cette grenouille dans l'eau bouillante qui ne prend pas conscience d'être cuite.


https://quebec.huffingtonpost.ca/2019/01/09/carte-interactive-territoire-indigene_a_23638186/

Une carte interactive pour découvrir sur quel territoire autochtone vous habitez : 

https://native-land.ca/?lang=fr








mercredi 9 septembre 2020

Slogan pour un parti souverainiste : "Vous n'êtes pas écœurés d'être pauvres, bande de caves?"

 "Vous n'êtes pas écœurés d'être pauvres, bande de caves?"

C'est la question à poser aux Québécois, inspirée évidemment de celle de Claude Péloquin écrite à la main sur la murale de Jordi Bonet du Grand Théâtre de Québec.

Comment se fait-il que depuis que les Québécois ont perdu le pays qu'il avait créé et développé en 1759, ils ont parmi les revenus les plus bas au Canada? 

Ce n'est pas normal. Est-ce dû au "modèle" québécois que la droite des radios de Québec vilipende? Est-ce parce que les Québécois ont renâclé à l'effort comme certains préjugés le véhiculent ici et là?

Non, les Québécois n'ont pas renâclé à l'effort ! Hommes et femmes ont défriché ce pays à la force de leurs bras et de leur ventre. Ils ont été mineurs, pêcheurs, bûcherons, éducatrices, infirmières, mères au foyer. Ils ont construit des stades, des barrages impressionnants, des gratte-ciel. Ils ont travaillé dans les mines qui leur ont ruiné la santé. Ils ont travaillé dans les usines où on les payait un salaire de misère. Ils ont élevé des familles nombreuses malgré les fins de mois difficiles et la misère à grignoter dans leur assiette.

Personne ne leur a fait de cadeaux. Quand il a fallu nationaliser l'électricité, Parizeau est allé chercher l'argent dans un autre pays parce qu'on ne volait pas prêter d'argent à ces porteurs d'eau..

En ce qui concerne le modèle québécois, de généreux programmes sociaux, celui-ci existe dans d'autres pays où les citoyens ont des revenus plus élevés, comme la Suède, la France.

Devrait-on remettre en question l'État providence ou le modérer? Peut-être.

Il reste que la cause la plus probante pour expliquer la relative pauvreté des Québécois (nous ne sommes pas en Haïti quand même) est le régime canadien qui a toujours favorisé l'Ontario ou donné des cadeaux ici et là selon le vote que le parti au pouvoir à Ottawa voulait aller chercher ou conserver (un contrat au Nouveau-Brunswick, le Labrador aux Terre-Neuviens!).

Au fil du temps, les Québécois sont devenus des citoyens de quatrième catégorie. Quel est le budget d'une municipalité Cri, par exemple, si on la compare à une municipalité québécoise? Un petit Québécois de souche qui naît aujourd'hui n'a aucun privilège. C'est encore plus vrai si c'est un petit garçon. Il subira la discrimination positive qui est réservée aux femmes et aux minorités de tout acabit quand il cherchera un emploi ou voudra bénéficier d'une bourse d'excellence (réservée aux filles!).

Maintenant, comment la souveraineté va amener la richesse aux Québécois? Tenir tous les leviers de leur développement est en soi les débuts d'un temps nouveau. Organiser la société pour que toutes les ressources du Québec profitent aux Québécois devrait être le credo (comme dit Trump) d'un gouvernement souverainiste.

Il n'y a pas de recettes magiques, cependant une chose est claire : la fédération canadienne nous a rendu pauvres et continue à nous laisser dans la pauvreté.

Vive le Québec libre !

The Frog Song, par Robert Charlebois / Jean Chevrier (extrait)

Ton beurre est dur pis tes toast sont brûlés
Ton lait est sûr, ton jaune d'oeuf est crevé
T'as pu l'eau chaude pour te faire un café instantané

You're a frog, I'm a frog, kiss me
And I'll turn into a prince suddenly
Donne-moi des peanuts, j'm'en vais t'chanter
Alouette sans fausse note

Sept heures et quart t'embarques dans l'autobus
Ton sac c'est tout pour aller travailler
Un beau voyage en groupe organisé, comme toué matins

You're a frog, I'm a frog, kiss me
And I'll turn into a prince suddenly
Donne-moi des peanuts, j'm'en vais t'chanter
Alouette sans fausse note

Ton boss est dur l'hiver y va se promener
Su'a côte d'Azur pendant qu'il t'fait chômer
Pis le reste du temps y te fait trop travailler, toé tu te
plains pas



 


jeudi 3 septembre 2020

"Les peuples qui meurent, ça meurt longtemps." Pierre Falardeau

Quels sont les scénarios possibles pour le peuple Québécois devenu une ethnie parmi tant d'autres dans le Canada post-national et multiculturaliste?

Par une sorte de miracle, un réflexe de survie inespéré, il pourrait choisir de devenir souverain. S'il réalise que ce qui est arrivé à Montréal, soit le remplacement de la population et l'anglicisation, se répand peu à peu dans les autres villes comme Québec, Trois-Rivières, le peuple Québécois va peut-être enfin se réveiller. Voter pour la CAQ était déjà un sursaut national pour se débarrasser des corrompus du PLQ, pour réduire l'immigration et pour encadrer les demandes de minorités exotiques.

Le soir d'un référendum gagnant pour la souveraineté, il y aurait probablement les débuts d'un désir de sécession et de partition du territoire par les minorités montréalaises et par les communautés autochtones à qui on a a fait croire qu'ils étaient des nations. Au moins, les choses seraient claires : un peuple, un territoire. Il n'y a rien qui pourrait l'empêcher, le Canada serait trop heureux d'humilier les Québécois et de se leur faire payer leur audace. Les souverainistes sont souvent trop naïfs en pensant que le droit international prévaudrait. Entre un Autochtone qui joue les martyrs et un Québécois Blanc, à qui l'ONU et l'opinion internationale vont accorder leur soutien?

Bon, cessons de rêver ! Le scénario le plus probable est une lente et pénible résiliation de l'ethnie québécoise à son statut de peuple minoritaire en voie de disparition.

Cela peut prendre un certain temps, mais tôt ou tard, le peuple Québécois deviendrait les Cajuns du Nord, une réserve ethnique animée par quelques chanteurs fringants jouant de l'accordéon. On peut en avoir un avant-goût en écoutant les chansons bilingues de plusieurs artistes québécois. La prochaine étape sera le "chiac" à la façon de Radio Radio, le groupe acadien de la Nouvelle-Écosse. (Le chiac, parfois appelé la chiacque, est un dialecte franglais ou anglo-français du Canada. Ce mélange vernaculaire est parlé principalement au Nouveau-Brunswick au Canada, notamment dans la région de Moncton, où il est fortement influencé par la communauté anglophone. Un Chiac, ou Chiacque au féminin, est un habitant acadien du Sud-Est du Nouveau-Brunswick.)

Le sort de l'Acadien est aussi une fin possible pour le peuple Québécois. Le peuple Acadien est fier et il fait bloc, mais il est aussi très tranquille, il ne fait pas de vagues et accepte son sort de minorité. De la même façon que tous ces francophones dispersés dans le Canada, en Ontario, au Manitoba. Le chanteur manitobain Daniel Lavoie affirmait que les francophones du Manitoba ressentaient une sorte d'orgueil à parler un anglais sans accent et qu'ils se foutaient des Québécois (Dieu sait pourquoi?); ce sont de parfaits colonisés et si leurs enfants parlent anglais en une génération ils seront assimilés (comme les Jack Kerouac, Alanis Morrissette, Justin Bieber et les Eugenie Bouchard - fière de ne pas avoir d'accent québécois - le prouvent, de même que tous les Québécois qui sont partis vivre aux États-Unis au dix-neuvième siècle.)

Quelques ethnologues et anthropologues viendront étudier le phénomène dans cinquante ans et ils seront tous bien tristes de la disparition dans l'indifférence quasi totale des premiers bâtisseurs de l'Amérique du Nord, de la disparition de ce peuple qui aurait pu être nation.


Notre compatriote, Pierre Falardeau, avait anticipé les chemins possibles :

«Moi je n’abandonnerai jamais. [...] Si on choisit collectivement d’abandonner, y’a un prix à payer pour ça. Si on choisit de s’écraser, si on choisit de s’allonger, le monde y vont s’essuyer les pieds sur nous autres. Pis les peuples qui meurent, ça meurt longtemps. Pis c’est douloureux, pis ça fait mal. Faque, si vous décidez d’abandonner ça va être bin long, pis ça va être tough. Vous avez besoin d’être tough.»






mercredi 22 juillet 2020

Un million sur votre compte (politique fiction)

Décrets du gouvernement : 

1) Chaque citoyen recevra un million de dollars sur son compte ;
2) Pour éviter l'inflation prix des produits de consommation, des loyers, des taxes, des assurances, etc., seront fixés par le ministère du budget chaque année ;
3)  L'impôt sera perçu sur le salaire gagné par chaque citoyen et non sur les intérêts du salaire universel ;
4) Toutes les prestations d'aide sociale, les subventions aux organismes, seront abolis ;
5) Interdiction de transférer dans d'autres pays plus de 1 000 dollars par année ;
6) Le gouvernement maintient les services publics d'éducation, de la santé et de la défense et de la sécurité nationale ;

dimanche 19 juillet 2020

Ce qu'aurait pu dire Marine Le Pen lors du débat présidentiel 2017

- Marien Le Pen, vous avez été choisi au sort pour débuter ce débat. Nous vous proposons une brève introduction.

- Merci. 
  Mes chers compatriotes, c'est d'abord à vous que je veux directement m'adresser. Nous, Français et Françaises, nous venons de traverser des années difficiles sous la gouvernance incompétente des socialistes de François Hollande. Lui et son gouvernement, dont faisait partie Emmanuel Macron avant de le trahir, n'ont pas su assurer votre sécurité, devoir régalien premier de tout État qui se respecte.
Après l'attentat qui a décimé la direction de Charlie Hebdo, cette bande d'anarcho-gauchistes, il aurait fallu fermer les frontières, expulser les indésirables, arrêter le flot incessant de l'immigration.
Peut-être cela aurait suffi à éviter le Bataclan et Nice où nos concitoyens, nos frères nos soeurs, nos pères, nos mères, ont été massacrés. Sans parler de la décapitation du père Hamel dans son église, de tous ces autres citoyens poignardés et violentés pour un mauvais regard, et de tous ces quartiers où règne la loi des racailles.

Si je suis élu, j'entends mettre un frein à la sauvagerie qui ravage notre pays par de grandes et de petites incivilités, à fermer les frontières et à stopper l'invasion migratoire. Les radicalisés qui possèdent souvent une citoyenneté de papier seront expulsés. J'entends mettre en place une politique de ré-migration, d'interdire la double nationalité. J'entends aussi interdire toutes formes de prosélytisme religieux qui sont contraires à notre culture chrétienne : construction de lieux de culte, nourriture spéciale, vêtements exotiques, mœurs étrangères, excision, circoncision, lois parallèles.

Toutes les lois et les chartes européennes et onusiennes qui ne vont pas dans le sens de la protection de la civilisation française occidentale seront abrogées.

Peut-être ainsi réussirons-nous à arrêter le déclin de notre pays qui a commencé avec le départ du Général de Gaulle et la trahison des élites mondialistes qui l'ont remplacé après 1968.


dimanche 12 juillet 2020

Les sociétés occidentales : sociétés des fanatiques de la "justice sociale marxisante"

Les jeunes Français, de plus en plus, s'expatrient et vont vivre dans les pays où l'État n'est pas pseudo-communiste et te vole un grand pourcentage de ton travail pour faire vivre les envahisseurs du tiers-monde qui détestent l'Occident mais qui néanmoins l'exploitent en profitant des programmes sociaux que les Blancs Occidentaux ont réussi à se donner en travaillant, en se développant économiquement, en étant ingénieux puisqu'ils ont pratiquement créer le monde contemporain par leur génie inventif.

Ces jeunes Français fuient aussi l'insécurité qu'amène la prétendue diversité qui est en fait un autre nom pour le Grand Remplacement ethnique. Des chercheurs l'ont déjà noté : le multiculturalisme, ce sont les conflits qui se multiplient, les actes de violence motivés par un sourd ressentiment qui trouve toujours un prétexte, soit le colonialisme, soit le supposé racisme des Blancs, soit les guerres de religion. 

Ces actes de violence sont parfois juste de la bêtise à l'état pur comme on vient de le constater à Bayonne où un chauffeur d'autobus a été assassiné par des Français de papier :
https://www.fdesouche.com/1397583-bayonne-un-conducteur-de-bus-en-etat-de-mort-cerebrale-apres-avoir-ete-sauvagement-tabasse-par-une-bande-de-jeunes

Ces assassins portaient des noms arabes, deux Mohamed, et africains, Moussa et Sélim. On dit que leur casier judiciaire était long comme le bras. Le chauffeur a exigé le port du masque "pandémique" et qu'ils paient leur passage comme tout le monde. Cela lui a été fatal.

Aux infos françaises, leurs noms ne sont pas mentionnés sans doute pour ne pas attiser la "haine", parce que non seulement un Français peut se faire agresser dans la rue, ou être la victime du terrorisme, mais en plus, il doit se taire et ne pas dénoncer les incivilités quotidiennes ou les actes de barbarie comme au Bataclan en 2015 où on ne saura jamais s'il y a eu des actes de torture en plus de la tuerie de centaine de personnes. Encore une fois il ne fallait pas attiser la haine de la fictionnelle extrême-droite, les méchants imaginaires.

En dernière heure, on apprend la censure sur YouTube de Dieudonné (qui est pourtant un ami du système multiculturel, pro-immigration), un individu parmi tant d'autres. L'État met le paquet pour adopter des lois de plus en plus liberticides pour faire taire la dissidence. On se dirige tout droit vers une censure de pays dictatoriaux comme la Russie de l'ère communiste ou la Chine maoïste. N'ont le droit à l'expression que les gauchistes culturels : féminismes, anti-racismes, pro-LGBTismes. Perdre sa chaîne YouTube est une chose, mais c'est possible aussi de ruiner sa carrière par une maladresse langagière ou un comportement qu'on jugera condamnable. Vous serez dénoncé sur les réseaux sociaux et cela ruinera votre carrière, comme on le voit au Québec avec quelques personnalités du monde médiatique.

J'ai donné plusieurs exemples de la France, un pays en décomposition, j'aurais pu mentionner la Suède, ou l'Angleterre, ou le Canada, ou l'Espagne. 

Les seuls pays occidentaux qui résistent sont les pays de l'Est, dit-on, comme la Roumanie, la Hongrie, la Pologne, etc. Ajoutons la Suisse et les pays de l'Amérique du Sud, comme l'Argentine, l'Uruguay, le Chili. Ces pays résistent mais pour combien de temps? Ils ont aussi leur gauche progressive et les multinationales diffusent la même propagande multiethnique dans la publicité.

On dit que le cinéma depuis 2005 est soumis à la censure systématique et se doit d'adopter les codes de la dictature douce des pays post-nationaux d'où la transformation systémique de tous les contenus. Les admirateurs de Stars Wars, par exemple, sont obligés de se taper ces héroïnes froides qui "en ont", de vraies "femchos". D'après les connaisseurs, Disney a ruiné la série. Il y a aussi évidemment l'inévitable Noir ou Asiatique démographiques, le couple métissé ou homosexuel, dans les séries, le Viking Noir au détriment de la vraisemblance historique.

Bref, on pourrait décrire en long et en large, ce que sont devenues les sociétés occidentales, soit des sociétés de cinglés où plus rien n'est spontané et si par malheur vous n'adhérez pas au consensus vous serez exclus dans le pire des cas ou vous sentirez un pur étranger. 

Le Québec n'échappe pas à cette réalité comme on peut le voir dans nos publicités qui ont adopté le multiculturalisme allant de soi, comme tous les médias et formes d'expression culturelle. On justifiera ce changement par le changement de la démographie, une démographie que le gouvernement fédéral a modifié pour contrer la souveraineté du Québec en l'inondant par l'immigration que nous le voulions ou pas, sans que nous ayons voté pour l'accepter. Montréal est pratiquement tombée et d'autres villes, comme Québec, sont en cours de transformation.

Verrons-nous un jour les jeunes Québécois s’exiler vers les pays qui résistent encore au socialisme multiethnique? 

Une autre solution pour le Québec serait de se séparer de Montréal et d'accepter la partition du territoire. (Lire mon billet sur la question :
https://orbenitide.blogspot.com/2020/03/la-partition-du-quebec.html )
 Si les Québécois de souche ont pu faire élire un gouvernement pro-Québécois comme le gouvernement de la CAQ, ce ne sera pas forcément toujours possible avec la ville de Montréal, une ville ennemie du Québec, et de plus en plus de municipalités et de régions (Laval, Montérégie, Outaouais) qui votent systématiquement pour le Parti Libéral provincial ou fédéral, cette bande de pourris qui échappent à la loi.

Il y a de quoi être pessimiste quand à l'avenir des sociétés Occidentales et de la vie de l'homme Blanc, du caucasien. 

Qu'est-ce qui manque au Québec ? demandait Marie-France Bazzo dans ses émissions insipides style Plateau qui ne menaient à rien.
Il manque un Maxime Bernier qui serait souverainiste. Il a tout compris : arrêt de l'immigration, promotion de notre identité nationale. 

Vive le Québec ! Vive le Québec libre !

P.S. Sur l'exil des Français : voir les vidéos de Daniel Conversano ou ceux de JM Corda : https://www.youtube.com/watch?v=LBr6WMZmeAM



mardi 9 juin 2020

Coup d'État militaire en Suède (fiction politique)

Après une série de viols particulièrement odieux qui avaient défrayés les manchettes et que les médias avaient essayé de cacher ou de minimiser, l'opinion publique suédoise s'était retournée.

Le citoyen suédois, souvent discret, silencieux, obéissant, était devenu sceptique sur la gouvernance du gouvernement socialo-féministe qui avait encore accepté un lot de réfugiés de ces pays du tiers-monde totalement incompatibles avec les mœurs et les valeurs occidentales ; les mœurs et les valeurs de tout pays normal en fait, de tout pays qui a à cœur la sécurité de ces citoyens et qui leur donne la première place.

La première ministre féministe, la blonde glaciale, lesbienne et sans enfant, s'était targué d'un discours contre le patriarcat qu'il fallait continuer à combattre quand un journaliste l'avait interrogé sur les viols à répétition.

Le pays socialo-féministe détenait le triste record du plus haut taux de viols en Europe et ce taux augmentait d'année en année. Les violeurs n'étaient jamais expulsés du pays après avoir purgé des sentences parfois ridicules où une juge gauchiste leur trouvait des circonstances atténuantes.

C'était sans parler des incivilités et des délits de toutes sortes qui sévissaient dans ces villes suédoises autrefois si calmes et sereines, presque ennuyeuses. Maintenant des hordes de jeunes hurlaient pendant la nuit. On entendait des explosions. Le trafic de drogues étaient à son apogée. On ne circulait plus dans ces quartiers. À Malmö, les Juifs avaient fui en Israël ou en Norvège. Les vieux qui le pouvaient prenaient leur retraite au Portugal.

Il advint que parmi la vague des récents viols plusieurs jeunes filles de haut gradés de l'armée suédoise avaient subi ce crime répugnant. La fille d'un général, entre autres, violée en bande, puis égorgée. Son corps nu avait été retrouvé dans une forêt. 

L'ambiance du mess était devenue lourde. 

Un soir, on passa le film "La Source", d'Ingmar Bergman, le grand cinéaste qui s'était pratiquement exilé de son pays, excédé par les impôts abusifs du gouvernement socialiste. Maintenant, ces impôts servaient à l'accueil du tiers-monde. On négligeait les vieux. Les retraites devenaient de plus en plus chiches, celle de l'armée en particulier, à qui on demandait des tâches subalternes comme d'aider les migrants à s'installer dans le pays en construisant des campements provisoires en attendant que les services sociaux payent et assurent aux néo-Suédois un train de vie qui les gardait dans le désœuvrement tout en leur donnant les aides pour que leur famille prospère et grossisse les fidèles d'Allah, le plus souvent.

Le général était entré dans le grand mess et le silence se fit pesant. Cependant, pris d'un élan de sympathie, tous les militaires s'étaient mis à applaudir. Le général, d'ordinaire si flegmatique, était ému, et avec un bref sourire avait remercié ces hommes et ces femmes qui n'avaient jamais été aussi prêts à tous les combats.

En parallèle, les incidents se multipliaient avec les migrants qu'on installait généreusement, mais qui trouvaient toujours à redire, se plaignant de la nourriture, des lits inconfortables, des horaires. Un soldat en vint aux mains avec l'un d'entre eux, puis un autre. Les migrants manquaient de respect aux femmes militaires.

Ce fut bientôt tout le bataillon qui refusa de continuer à être le bouffon des migrants. Quand la ministre des armées se présenta, elle ne montra aucune sympathie envers ses militaires et menaçait les indisciplinés de la cour martiale. Le général se montra solidaire de son armée. Quand il fut destitué, ce fut la goutte qui fit déborder le vase. Tous les militaires se solidarisèrent avec lui.

On en parla à Stockholm à l'Assemblée nationale. La ministre des armées fut applaudie une dernière fois... avant l'entrée du bataillon dans l'hémicycle parlementaire. 

Le général exigea de la première ministre qu'on lui donne l'accès à toutes les chaînes de télévision et il annonça que l'armée prenait le pouvoir. La colère qui sourdait silencieusement chez tous les Suédois qui avaient encore la raison trouva enfin une oreille attentive.

L'Union européenne était médusée. Cependant l'opinion publique en France, en Angleterre, aux Pays-Bas, comprenait et établissait des parallèles avec la situation de leur pays respectif.

En Suède, bizarrement ou pas, les banlieues immigrantes devinrent soudainement très calmes. La chienlit était terminée.

Il n'y eut aucune ratonnade punitive, juste une expulsion systématique des immigrants des dix dernières années, la fermeture des frontières, interdiction des religions exogènes, la fin des programmes sociaux offerts aux étrangers, la fin de l'accueil des réfugiés.

On offrit l'exil à la première ministre. Certaines ministres finirent en prison.

C'est ainsi que la Suède redevint la Suède. Puis ce fut la France. Après une série d'attentats islamistes tout aussi salauds les uns que les autres, une mini guerre civile avait éclaté, puis l'armée et ;la police se rangèrent du côté des citoyens (pour une fois). Les pays du Maghreb furent forcés de rapatrier leurs compatriotes qui se retrouvèrent enfin dans leur culture d'origine.

L'Europe redevint peu à peu l'Europe, c'est-à-dire le phare de la civilisation et du bien-être de vivre.